septembre 2010 (29)

jeudi 30 septembre 2010

xrcic d styl

A la manir d Gorgs Prc

"Vous ici ?", clama-t-il.
"Oui", affirma Gaston.

mercredi 29 septembre 2010

C'est lamentable

Cet après-midi, j'ai vainement essayé d'avancer sur des dessins à faire. Ce soir, je dois constater que je ne suis parvenu à rien de rien. Rien.

lamentable

mardi 28 septembre 2010

Pris par le temps

Voilà comment sont les choses. Vous repoussez un peu et encore un peu plus et vous finissez par vous apercevoir qu'il est déjà presque trop tard.

Ce soir, je ne vais pas vous raconter de grandes histoires. J'ai presque hésité à écrire ce billet tout à l'heure et puis il a fallu que j'aille voir mon frangin. Après, j'étais invité à dîner. Je rentre juste. Remarquez, je n'ai pas long à raconter, aujourd'hui. La journée de travail s'est déroulée normalement, avec son petit lot d'amusements informatiques comme je les aime. Pas trop, juste ce qu'il faut pour qu'une journée soit réjouissante. Je vais finir par croire que je suis masochiste alors que tant me disent sadique. Je peux pousser le vice jusqu'à être les deux à la fois, après tout ! Je ne manque pas de ressources et adore brouiller les pistes.
Demain, peut-être, j'arriverai à dessiner. C'est que ça commence à devenir urgent que je reprenne mes ustensiles de dessin. J'ai quelques demandes en retard (voire très en retard) et il ne serait pas trop mal que je finisse par les honorer. C'est tout pour aujourd'hui.

lundi 27 septembre 2010

Enfin ! De l'action !

J'ai passé une nuit exécrable. Lorsque le réveil a sonné, j'étais d'une humeur massacrante. Ça ne s'est pas arrangé par la suite.

Je finis de boire mon dernier bol de café du matin et je file pour Périgueux. Avant de fermer la porte de mon chez moi, je regarde l'heure. Il est 7h18. Je suis à la bourre.
J'arrive au boulot avec quelques minutes de retard. J'ai à peine le temps d'aller pisser que l'on me saute sur le paletot pour me raconter qu'il y a un problème avec le copieur connecté qui sert d'imprimante. Je me renseigne et je m'aperçois que seules les personnes utilisant un PC ne parviennent pas à imprimer. Je suis soulagé et vais me soulager un peu plus en un endroit discret où l'intimité est préservée autant qu'elle est de rigueur.

Je préfère toujours que le problème vienne des PC plutôt que des Mac. C'est comme ça. Ça me donne l'occasion de pouvoir pester et râler tout mon saoul. Je questionne, j'interroge et je patauge. Je fais quelques tests d'impression. Parfois, ça marche, parfois non. Je poursuis mes investigations quelque temps avant de décider d'aller dire ce que je pense à cet abruti de serveur PC. Je cherche dans les divers réglages et ne trouve rien de bien ennuyeux. Du coup, ça l'est fort, ennuyeux. J'arrête et relance les services d'impression et cela ne résout rien. Alors, je décide de sortir le grand jeu. Je désinstalle l'imprimante partagée et je la réinstalle. Cela suffit à tout faire refonctionner. Il ne me reste plus dès lors qu'à passer de poste à poste pour supprimer l'ancienne imprimante et installer la nouvelle. Voilà une bonne chose de faite.

On m'attrape dans le couloir. Il faut que je trouve un grand écran pour le début d'après-midi. J'ai un 22" qui traîne dans un coin. Je promets de m'occuper de l'installer avant 13h30.
Un collègue me cherche. Deux des presses numériques refusent d'imprimer depuis vendredi. Je vais voir ça de plus près. Pour la première, c'est juste un tiroir mal réglé. Rien de bien méchant. Pour la seconde, c'est un petit réglage incorrect. Problèmes résolus en un temps record.
Le téléphone sonne. C'est une collègue du centre d'appels qui ne parvient plus à envoyer de courriers électroniques depuis le logiciel de gestion commerciale. Je vais voir ce qu'il se passe. Je demande que l'on m'explique le problème. J'écoute et ne vois aucune solution à ce stade. Je demande que l'on me fasse une démonstration de la panne. Elle est de toute splendeur. Ce qui ne manque pas de me questionner, c'est que l'on est parvenu à faire fonctionner la chose en tout début de matinée. J'observe le comportement de Outlook puis celui du logiciel de gestion. Je jette un œil sur la configuration réseau, fait deux ou trois pings et ne trouve rien qui cloche. Je tourne l'énigme dans ma tête. J'envoie un courrier électronique sans passer par le logiciel de gestion, ça fonctionne plutôt bien. J'écarte un souci venant de Outlook et du réseau. Alors, je me penche sur le cas du logiciel de gestion commerciale. Je regarde les paramètres et les préférences et ne trouve rien de bizarre. Je compare avec un autre poste sur lequel tout fonctionne, c'est configuré de la même manière en tous points.
On m'appelle ailleurs pour une autre raison. Je m'en vais tout en continuant à faire travailler une partie de ma cervelle sur cette question. Je reviens un peu plus tard avec un semblant de début d'idée. Quelque chose de très tenu, juste un petit doute qui me titille. Je regarde la fiche client qui pose problème et je trouve. C'était vraiment une chose toute bête, aussi bête qu'une adresse de courrier électronique mal saisie.
Tant que je suis là, on me dit qu'il y a comme un problème sur un autre poste. Je vais voir. Là, il s'agit d'une collègue qui cherche à envoyer des courriers électroniques en les imprimant sur une imprimante virtuelle. Je lui explique comment utiliser le logiciel calmement et m'en vais.

Il est un peu plus de midi. Tout le monde est parti. Je peux souffler un peu. Je vais boire un café et puis je sors fumer une cigarette. Je me souviens alors que je dois installer l'écran. Je le fais vite fait. Je vais faire une petite visite aux serveurs pour m'assurer que tout va bien et je bois un autre café. Je fume encore une cigarette en attendant la reprise du boulot, à 13H30.

Le début d'après-midi est calme. On m'appelle. Il faut installer un scanner sur un Mac. Je prends le numériseur (pour pas répéter scanner) et ses câbles et je le pose à proximité du Mac. Je branche tout, j'appuie sur le bouton de mise en marche du scanner, le Mac le reconnaît illico. Ça a été rapide.
On me dit que l'une des presses numériques est tombée en panne en plein milieu de l'impression d'une commande. Je vais voir. Il y a un message d'erreur. C'est le four. Je tente un reset, rien à faire. Sans doute est-ce le fusible thermique qui a lâché. Il faudra démonter le four pour réparer ça. Ce ne sera pas moi qui le ferai. Je pique un four sur une autre presse, l'installe, redémarre la machine, ça marche. On peut imprimer les 600 cartes qui manquent pour la commandes.
Je reçois un courrier électronique. C'est une personne de la poste qui me donne un numéro de téléphone à appeler pour installer un logiciel d'affranchissement en réseau. J'appelle. Là, on m'explique qu'il suffit de prendre l'application déjà installée en local sur un poste, je le mettre dans un dossier sur le serveur et de faire pointer les postes clients sur l'application contenue dans le dossier. La seule difficulté est de penser à attribuer les bons droits pour les utilisateurs. Cela fait plus de quinze jours que les services de la Poste me font languir pour m'expliquer comment on peut faire. J'en viens, avec mon esprit tordu, à me demander s'ils n'ont pas un peu cherché à nous conduire à faire appel aux services de leurs techniciens. Je dis ça, je dis rien, hein.
Entre temps, un collègue s'est occupé de finir d'imprimer les cartes de la commande en cours. Je reviens et je le trouve en train de les trier. Je m'enquiers de savoir ce qu'il fait et il me montre des cartes tachées par des résidus d'encre sèche. Heureusement, ces taches s'enlèvent très bien à la gomme. C'est comme cela que j'ai terminé ma journée de travail, avec une gomme à la main.

dimanche 26 septembre 2010

Nous y sommes

Aujourd'hui, à n'en plus douter, nous sommes entrés dans l'automne.

Depuis ce matin, je me dis qu'il ne fait pas très chaud. Malgré le soleil, la journée m'a semblée un peu triste et fraîche. Le thermomètre me renseigne. Il fait un tout petit moins que 15° chez moi. On entre dans la période des journées courtes et des nuits froides. C'est comme ça.
Ça me fait penser qu'il va falloir que je fasse rentrer du bois de chauffage et du fuel. Pour le moment, je ne pense pas qu'il soit nécessaire de chauffer. Il ne faut pas pousser non plus. Il suffit de porter un pull, après tout.
Par contre, je me demande si je ne suis pas en train de m'enrhumer, moi. Depuis ce matin, je ne me sens pas trop en forme. J'ai essayé de dessiner toute la journée sans arriver à quoi que ce soit d'intéressant. Alors, puisqu'il en est ainsi, en attendant qu'il en soit autrement, il faudra vous contenter de ça et de rien d'autre.

samedi 25 septembre 2010

Amortissement 4 chevaux

Aujourd'hui, j'ai remplacé les amortisseurs avant de la 4cv Renault de mon frère.

Elle date de 1952, cette quat'chevaux. Elle avait encore ses amortisseurs d'origine jusqu'à aujourd'hui. Du reste, je ne suis pas formellement certain qu'ils étaient foutus, ces amortisseurs. La procédure est simple et à la portée de n'importe qui à la condition que ce n'importe qui sache dévisser et visser. Je vous explique. On ne sait jamais, des fois que vous auriez à effectuer l'opération, des fois que vous auriez une 4cv Renault ou que vous souhaitiez en acheter une.

amortisseur 4cv

Donc, pour commencer, vous desserrez les cinq écrous borgnes d'une des roues avant. Vous placez un cric sous la voiture et vous la levez juste assez pour pouvoir déposer la roue. Vous déposez donc une roue en enlevant les cinq écrous et vous la posez là où vous pouvez. Vous prenez une clé à œil de 14 et une douille de 12 que vous emboîtez sur votre clé à cliquet. Il va sans dire que vous pouvez très bien utiliser une clé plate de 14 et une clé à pipe de 12 ou tout ce que vous voudrez qui peut faire l'affaire. Même, vous pourriez le faire avec deux clés à molette. Avec ces deux outils, vous otez le support d'amortisseur du bas. Celui-ci est constitué d'une vis, de deux entretoises, d'une rondelle et d'un écrou. Repérez l'ordre de tout cela.
Alors, on passe à la fixation haute. Là vous avez un écrou et un contre-écrou de 16. Vous commencez par dévisser le contre-écrou en maintenant l'écrou principal puis vous passez à l'écrou lui-même. La tige de l'amortisseur est libre et vous n'allez donc pas parvenir à dévisser cet écrou si simplement que cela. En bout de tige, l'amortisseur présente un plat que vous maintiendrez grâce à une clé plate de 5. Si jamais cela force, n'insistez pas et usez de dégrippant ! Dans le cas qui nous occupe, ce n'était pas grippé et tout est venu facilement avec un peu de patience. En effet, le manque d'espace fait que vous opérez par huitième de tour.
Votre amortisseur est libre. Vous le laissez tomber et le retirez par en-dessous. Vous prenez l'amortisseur neuf et vous procédez en ordre inverse. Vous remontez la roue, vous bloquez un peu les écrous, vous descendez le cric et vous finissez de serrer vos écrous de roue. Vous passez alors à l'autre côté en suivant la même procédure.

amortisseur 4cv

Je n'ai pas eu plus de problème pour l'autre côté si ce n'est que l'un des silent-blocs est tombé et que je n'ai pas réussi à le retrouver. C'est un mystère. Après avoir fouillé, démonté une partie des tôles du dessous de la voiture, toujours rien. La seule possibilité que je vois est que cette pièce serait tombée dans le tunnel qui protège les commandes de boîte à vitesses. Il faudra déposer ce tunnel. Pour l'instant, j'ai prélevé un silent-bloc sur l'un des amortisseurs arrières qui seront à monter en leur temps. En tout, si l'on omet le temps passé en vain pour retrouver cette pièce perdue, il ne faut guère plus d'une petite demi-heure par amortisseur.

Cette 4cv mériterait bien une bonne restauration complète. Cela me fait penser que ma 2cv aussi, mériterait que je m'en occupe plus et mieux. C'est dans les projets.

vendredi 24 septembre 2010

Veolia, j'aime pas trop

L'histoire débute il y a presque deux ans. En rentrant du travail, un soir, je trouve une lettre de Veolia dans la boîte aux lettres.

"Les démarches successives de notre technicien pour accéder à votre installation sont restées vaines.
Je vous invite donc à prendre rendez-vous avant le 28 novembre 2008 au 0811 xxx xxx afin d'effectuer le relevé de votre compteur.
Passé ce délai, le branchement sera fermé en application du règlement de service.
"

Dès le lendemain, j'appelle le numéro de téléphone donné dans ce courrier et tente d'expliquer que je travaille, pars pour Périgueux chaque matin vers 7 heures et en reviens vers 18 h 30 et que, de ce fait, il m'est bien difficile de me trouver à Azerat en semaine. Je note au passage que j'habite à Azerat depuis 2002 et que, jusque là, on n'a jamais eu trop de difficulté à relever le compteur qui se trouve dans la cave en mon absence. On me conseille d'envoyer un courrier à l'agence de Terrasson-Lavilledieu pour exposer mon cas. Je le fais dans une lettre bien moqueuse dans laquelle j'explique comment trouver ce foutu compteur en indiquant bien que la porte menant à la cave est ouverte et qu'il suffit de la pousser pour procéder à ce relevé de consommation. La lettre est très moqueuse. J'adore faire cela.
Je n'ai plus de nouvelles de Veolia si ce ne sont les factures qui me parviennent avec une belle régularité. Bien.

Il y a quelques mois de cela, je reviens du travail et je trouve un courrier de Veolia dans ma boîte à lettres. Ce courrier m'informe que l'on a procédé, il y a presque une semaine de cela, à un remplacement de mon compteur. Je note amusé que l'on a su trouver le chemin vers le compteur d'eau en mon absence et que ce remplacement a été fait sans avertissement préalable. Je descends à la cave voir le nouveau compteur. Il est bien là. On a même pris soin de remettre la laine de verre qui est censée le protéger des grands froids. Bien, bien, bien.

L'autre jour, je descends à la cave chercher quelque chose. Tout en cherchant, je m'aperçois que le sol est bien humide. Je m'en étonne et cherche l'origine de cette présence d'eau. Je ne mets pas bien longtemps à trouver. Ce sont les techniciens de chez Veolia qui, en changeant le compteur, ont mal fixé le raccord à la sortie du compteur. Vu comme ça goutte, je doute énormément qu'ils ne se soient aperçus de rien. Enfin bon... Ce matin, j'ai réparé ça.

veolia

veolia

veolia

J'ai hésité à appeler Veolia pour les engueuler, lorsque je me suis aperçu de la fuite. Je ne l'ai pas fait parce que je suis presque certain qu'ils m'auraient envoyé promener. Dans le fond, je n'ai pas eu de problème pour régler le problème. Sans être un plombier d'élite, je me débrouille. Je me demande ce que cela m'aurait coûté si j'avais dû faire appel à un plombier. Ce que je reproche surtout aux services de chez Veolia, c'est qu'il me semble impossible qu'ils ne se soient pas aperçu qu'il y avait une fuite. Quoi que, si cela se trouve, ils ne s'en sont pas aperçu. Il est possible qu'ils aient coupé l'eau bien avant le compteur, et qu'ils l'aient rétablie après avoir tout remis en place sans même aller voir si tout allait bien. Dans ce cas, c'est à mon sens une faute professionnelle.

jeudi 23 septembre 2010

Casse-toi, maintenant

A l'heure où j'écris ces lignes, la polémique fait rage. Plus ou moins de manifestants que pour la journée de mobilisation du 7 septembre ? Comme le veut la tradition, on se dispute sur les chiffres entre organisations syndicales et forces de l'ordre.

Qu'en sera-t-il de l'avenir du régime de retraite en France à l'issue de cette journée d'action ? Pour nombreux, l'affaire est entendue depuis que le parlement a adopté les nouveaux textes régissant le sujet. Il nous faudra travailler plus longtemps. Pour ceux qui restent, il est encore possible de faire faire machine arrière à ce gouvernement qui semble gagner en impopularité au fil des jours. Mais est-ce le rôle d'un gouvernement d'être populaire ? Rien n'est moins sûr.
Au delà de cette histoire de retraites, je verrai d'un bon œil un départ anticipé de l'équipe en place. Président compris, bien entendu. Je ne suis pas allé manifester, aujourd'hui. Je l'avais plus ou moins prévu et j'ai eu autre chose à faire. D'ailleurs, j'ai encore autre chose à faire dans peu de temps. J'ai tout de même pris le temps de m'exercer à dessiner notre futur ex-président de la République. Avec le pot que j'ai, vous allez voir que je vais finir par savoir le dessiner pile-poil au moment où il devra laisser sa place à quelqu'un d'autre.

sarkozy

mercredi 22 septembre 2010

Retraites, ouverture du dialogue

Alors que l'on apprend que la grève débute dès ce soir et que l'on espère qu'elle battra son plein demain, peut-on imaginer que le gouvernement sera prêt à revoir sa copie ?

Si je fais grève demain, je triche. Demain, grève ou pas, je ne travaille pas. Ai-je la légitimité pour aller manifester, dès lors ? Moi, la retraite, je m'en fous un peu. Il faut dire les choses telles qu'elles sont. Si je manifeste, ce n'est pas tant pour que l'on puisse partir à la retraite à 60 ans que contre Sarkozy et son régime de merde. Je sais bien que ce n'est pas bien d'être trop individualiste et pourtant je le dis, je n'ai pas envie de partir en retraite. Ce que j'aimerais, ce serait de pouvoir travailler jusqu'au bout dans ce que j'aime faire ou de crever. Je n'ai pas trop envie de vivre vieux, quoi qu'il en soit. Je pense que l'on devrait avoir le droit de mourir à 60 ans. Ça, ce serait de la réforme qui aurait de la gueule, oui !

Là, il devrait y avoir un dessin mais je l'ai vraiment trop raté. Je le referai pour demain.

mardi 21 septembre 2010

Redressons la barre

Je sens comme un coup de mou dans les commentaires. Je reconnais que j'ai été méchant avec vous, je ne vous ai pas donné les merdes que vous attendiez durant quelques jours. J'y remédie aujourd'hui, heureux veinards.

piaf bizarre

lundi 20 septembre 2010

Un peu de tout

Alors que je commence à préparer mon repas, je m'assieds devant l'ordinateur le plus proche pour écrire le billet du jour. Je n'ai aucune idée de ce que je vais pouvoir vous raconter.

Tandis que l'un des ordinateurs travaille pour traiter un lot de photos, j'en prends un autre et je commence ce billet sans savoir où je vais. Je n'ai pas de dessin à vous montrer, je ne vous montrerai certainement pas de photos du mariage, et je n'ai aucun sujet intéressant. La tâche est ardue. Mais baste ! A cœur vaillant, rien d'impossible !

Ma journée de travail a été très ennuyeuse. Pas grand chose à faire mis à part de tenter de réparer un PC qui a un gros souci. Je ne comprends pas très bien où se situe son problème alors je cherche, à l'instinct. Il m'aura fallu attendre la fin de journée pour mettre le doigt sur une piste envisageable. On verra demain ce qu'il en sera. Sinon, j'ai découpé des cartons. C'est là une occupation bien ennuyeuse. Reste quelle est utile et que ce n'est déjà pas si mal.

L'automne arrive sur la Dordogne et les matins sont frais. Ce matin, j'ai regretté de ne pas avoir pris une petite laine. Il ne fait pas encore froid, il manque juste quelques degrés. Pour autant, il a fait très beau et presque trop chaud dans la journée. Une belle journée, oui.

Ce soir, en rentrant du boulot, j'ai eu l'agréable surprise de trouver ma boîte aux lettres pleine de publicités. Je les ai déposées sur la pile de publicités antérieures sans même les consulter. Mon idée, c'est que ça peut toujours servir à allumer un feu dans la cheminée. Je garde.

Pour le mariage, j'ai fait plus de quatre cents photos. Il n'y a pas à dire, le numérique, ça a du bon. Je m'en suis aperçu premièrement parce que je n'ai pas eu à changer de pellicule une seule fois et secondement parce que j'ai pu en améliorer certaines par voie logicielle. Je suis en train de faire un premier tri sommaire et j'en garde encore plus de trois cents. C'est beaucoup. Si je devais faire une sélection rigoureuse, je n'en garderai probablement qu'une petite cinquantaine. Et encore ! Enfin bon, je pense que je vais écarter les vraiment ratées et graver un DVD avec le reste. Les mariés et la famille sont pressés de les voir, ces photos. Je vais essayer de les livrer pour mercredi.

Et sinon, je pense que je ne vais pas me coucher très tard, ce soir. Je me sens un peu fatigué. Bonne nuit.

dimanche 19 septembre 2010

Pas trop le temps

Aujourd'hui, je n'ai pas trop le temps de vous raconter grand chose. On verra ça demain ou plus tard.

samedi 18 septembre 2010

Je vais faire des photos

Aujourd'hui, je vais faire les photos d'un mariage à côté de Sarlat.

Je n'aime pas les mariages. Je n'aime pas être dans des fêtes où il y a beaucoup de personnes (plus de cinq ou six). Là, j'ai accepté de faire les photos de ce mariage parce que c'est le copain du copain d'un copain qui me l'a demandé. Et puis, je me dis que je vais avoir quelque chose à faire. Enfin bon... Il fait beau et c'est déjà une bonne chose.

Faisons le tour de ce qu'il me faut penser à prendre. L'appareil photo, les objectifs, le flash, un pied. Peut-être le chargeur pour la batterie de l'appareil et quelques piles d'avance pour le flash. J'ai assez de cartes mémoire pour mitrailler à l'aise. Bon. Je dois avoir tout ce qu'il me faut sauf la folle envie d'y aller, quoi.

little planet

vendredi 17 septembre 2010

Petit jeu du mercredi, la fin

Aujourd'hui, vous allez enfin savoir les tenants et les aboutissants de ce jeu qui vous aura tenu en haleine pendant des jours et des jours.

Un croque-mort et un gâteau d'anniversaire. Deux anniversaires et deux morts annoncées. Les anniversaires, tout d'abord. Celui du Sans Réserve de Périgueux, salle de musique amplifiée qui fête ses dix ans et celui de l'association Some Produkt, de Périgueux aussi, qui fête ses 25 ans... au Sans Réserve, le 6 novembre prochain. Voilà pour les deux anniversaires.

Les deux morts à venir, ce sont celles du bar de la Vertu (lire ici) et des Toqués. Si pour le premier de ces deux bars, il est bien question de fermeture au moins temporaire et administrative, je ne trouve rien pour le deuxième qui laisse penser qu'il sera prochainement amené à fermer ses portes. Du coup, je ne suis pas certain d'avoir compris ce que l'on m'a dit.

Ce dessin a été fait pour la Feuill'Info, mensuel gratuit d'informations culturelles en Périgord (sic).

feuillinfo

jeudi 16 septembre 2010

Petit jeu du mercredi du jeudi

Suite du jeu idiot. Idiot parce que je doute qu'il soit tout simplement possible de trouver le sujet de ce dessin que je m'apprête à encrer incessamment sous peu. Mais puisque vous êtes joueurs, un autre fragment de ce dessin tout de suite !

FI

mercredi 15 septembre 2010

Petit jeu du mercredi

Aujourd'hui, j'ai dessiné. J'ai commencé plusieurs dessins, n'en ai terminé aucun et vous propose de jouer.

Je vous montre un détail d'un dessin en cours et vous avez pour mission de découvrir ce que c'est. Bon jeu.

FI

mardi 14 septembre 2010

Soyons fainéant

Ce soir, parce que j'ai bien travaillé et que j'ai le sentiment d'avoir gagné mon salaire, je suis fatigué.

Au programme, aujourd'hui, un conteneur de quarante pieds à décharger, une bonne trentaine de palettes bien lourdes à trimballer, un PC qui avait des hoquets, une voiture conduite à la visite du contrôle technique et, pour finir, une bonne grosse flemme pour faire quoi que ce soit d'autre.
Maintenant que j'ai mangé et que j'ai sorti mon sac poubelle hebdomadaire, je considère que j'en ai fini pour aujourd'hui. J'ai bien essayé de dessiner un peu pendant que mon repas cuisait mais ça n'a pas fonctionné. J'essaierai de dessiner un peu demain. J'ai quelques dessins à faire, pour moi et pour d'autres. Il faudra sans doute qu'ils soient un peu patients.
Du coup, je n'ai rien à vous raconter. L'autre jour, un copain m'a dit qu'il n'aimait pas lorsque je parlais d'informatique. Lui, ce qu'il aime, c'est quand je fais un dessin ou quand j'écris des textes cocasses. Je ne me pose pas souvent la question de savoir ce que vous aimeriez trouver sur ce blog, je l'avoue. Il est bien rare que j'y mette quelque chose en pensant que cela vous fera plaisir. Ça arrive, je ne le nie pas. Pour autant, ce n'est pas ma préoccupation première. Pire, je pense que je prends plus de plaisir à imaginer que vous serez déçu et mécontent de ce que vous pourrez trouver ici. Et pourtant, les chiffres le disent, vous êtes un bon paquet de personnes à vous connecter ici au moins une fois par jour. C'est bien. Ça me fait plaisir. Si, si, vraiment.
Un collègue de travail me dit depuis quelque temps que je devrais faire un site un peu plus "sérieux" pour présenter mes dessins. L'idée me traverse l'esprit de temps à autres. Faire une sorte de galerie, un port-folio, un endroit plein de dessins. Deux points m'arrêtent. Le premier, c'est que je ne sais pas sous quelle forme le construire. J'aimerais assez un site très sobre, très nu. Juste des dessins, un peu de légende si le besoin se fait sentir et c'est tout. A la limite, un lien pour me contacter. Je ne veux pas de système de commentaires et de trucs interactifs. Je vois un site en noir et blanc, très simple, très aéré. On verra ça plus tard, à la retraite. L'autre point qui me fait hésiter, c'est le choix des dessins à montrer. Ce collègue dit qu'il faut tout mettre. Pour ma part, je suis plutôt partisan de ne mettre que les dessins que j'aime. Et là, avouons-le, ça n'en fait pas des masses. Il y en a bien quelques uns mais je suis assez critique avec moi-même. Et puis, ce collègue m'interroge. Est-ce qu'il a tellement mauvais goût qu'il aime réellement mes dessins ou bien est-ce qu'il se moque de moi en tentant de titiller mon ego ?

lundi 13 septembre 2010

Fait-divers

J'étais plus ou moins parti sur l'idée de vous raconter un problème de PC ou de vous faire un dessin.

Aujourd'hui, on m'a raconté une histoire. Je ne sais pas comment la raconter. Je ne sais pas non plus s'il faut la raconter, au fond. Je suppose qu'il ne faut pas donner les noms, quoi qu'il en soit. Je vais essayer de vous la raconter le plus simplement possible.

Ça se passe dans la nuit de mercredi à jeudi. Des jeunes font la fête dans Périgueux. Ils sont quatre et ils ont une vingtaine d'années. Dans la nuit, ils se promènent dans la ville. Ils croisent un autre groupe de jeunes supérieur en nombre. Une quinzaine de personnes selon ce que l'on me dit. Et là, c'est l'affrontement, apparemment sans raison particulière. Un affrontement verbal, dans un premier temps. Une patrouille de police vient à passer. Les jeunes agresseurs s'éparpillent.

Le groupe des quatre, jugeant que la fête est finie, décide de se séparer en deux groupes. Chacun des deux groupes s'en va dans une direction différente. L'un de ces groupes est rejoint assez rapidement par les jeunes énervés et c'est la bagarre. Les deux jeunes agressés font ce qu'ils peuvent pour se défendre. L'un d'eux finira à l'hôpital où l'on craint pour l'un de ses yeux tandis que l'autre se retrouve avec le nez cassé et de nombreux hématomes au visage. Aucun des deux ne veut porter plainte, malgré les recommandations des médecins et de la police, par peur de représailles.

Je ne sais pas trop quoi penser de tout cela. Ce n'est certainement pas la première fois qu'un fait-divers semblable survient à Périgueux. Je ne pense pas que Périgueux soit une ville forcément calme et exempte de violence par le seul fait qu'elle se situe en province, en Dordogne, loin du 9-3 et de toutes ces sortes de choses. Je ne sais vraiment pas ce que l'on peut dire et penser de cette histoire. Le mieux, à mon avis, c'est de la considérer pour ce qu'elle est, pour une histoire navrante mais isolée, accidentelle, en quelque sorte.

dimanche 12 septembre 2010

La Peste, elle est prête pour accueillir Sarkozy

Alors le suspense est terminé. Notre vénéré président Sarkozy est à quelques kilomètres de Azerat, à Montignac, pour les 70 ans de la découverte de la grotte de Lascaux.

Aujourd'hui, je n'irai pas à Montignac. C'est dommage, le programme des festivités de l'anniversaire de la découverte de la grotte était alléchant. Ce soir, il y aura un concert en plein-air au bas de l'entrée de la grotte avec les Puppini sisters. Il y aura aussi un buffet pour se restaurer. Ça aurait pu être une bonne soirée sympathique. Seulement voilà, je sens que les abords de Montignac vont être trop fréquentés par les flics. Je n'irai pas à Montignac.
Si je ne vais pas fêter la découverte de la grotte la plus célèbre du monde, la Peste, elle, y est. C'est qu'elle est chez elle, la Peste. Et la Peste et son fidèle Dino préparent une belle surprise au président.

peste

samedi 11 septembre 2010

Le Rat est joueur

rat

vendredi 10 septembre 2010

Quelle journée !

J'ai fait tellement tout plein de trucs, aujourd'hui, que du coup, je ne sais pas par où commencer pour vous les raconter. D'un autre coté, cela ne vous intéresserait très certainement pas le moins du monde. Il faut dire qu'il n'y a pas là matière à racontage et que c'est encore bien moins source d'émerveillements potentiels. Non, décidément, ça n'a aucun intérêt. Seulement savoir que j'ai été fort occupé. Ça ira bien comme ça, allez.

jeudi 9 septembre 2010

Petit rat

rat

mercredi 8 septembre 2010

Sarkozy attendu en Périgord

L'information est encore donnée au conditionnel par le journal Sud Ouest. Sarkozy viendrait à Montignac le 12 septembre pour les 70 ans de la (re)découverte de la grotte de Lascaux.

Dans l'article de Sud Ouest, il est bien dit que rien n'est encore assuré. Annoncée dans un premier temps pour le 10 septembre, la visite de notre président de la République bien aimé semblerait être repoussée pour le 12 de ce mois. Il arriverait par l'aéroport de Brive au matin et serait amené à Montignac par hélicoptère. Alors, il visiterait la grotte de Lascaux avant de rejoindre les Eyzies pour voir le Pôle international de la préhistoire et le musée national de la même chose. Enfin, on prétend qu'un repas de gala serait servi dans un château privé du secteur.
Mais on peut supposer que notre bon président a d'autres sujets bien plus importants à gérer, ces temps-ci. A commencer par celui de l'épineux dossier délétère des retraites. Et puis, je doute que toutes ces vieilles peintures pariétales et non moins fort anciennes puissent intéresser un Bling-bligueur. Gageons qu'il ne sait même pas ce que l'on veut lui faire voir et qu'il sera fort déçu. Alors, son courroux sera immense !
Quoi qu'il en soit, il conviendra d'éviter Montignac le 12 septembre. Je suppose que les pandores seront de sortie pour surveiller les abords. Remarquez, ils ne seront pas sur les autres routes du département. Possible qu'il y ait alors matière à pouvoir s'amuser un peu en toute quiétude. Chauffards du département, sortez vos bolides le 12 !

sarko

mardi 7 septembre 2010

Bourdon du mardi

Je n'ai pas trop envie de parler de la journée de mobilisation sur les retraites. Pas davantage je ne souhaite parler du temps qu'il fait ou de ma journée de travail. Alors quoi ?

Si j'avais eu le courage de dessiner, en rentrant du boulot, j'aurais pu m'en sortir en foutant un dessin ici. En rentrant, tout à l'heure, j'ai été assailli de coups de téléphone. Un copain dépressif, mon ex beau-père et une copine. Je leur ai fait la conversation et puis je suis allé m'occuper de mes pommes de terre.
Ce soir, tout à l'heure, j'irai déposer mon sac poubelle au bord de la route et puis je passerai peut-être un peu de temps sur Internet. A moins que je finisse la lecture d'un manga que m'a prêté mon frangin. Je ne connais pas bien les mangas. Je dois reconnaître que celui-ci n'est pas mal.
Demain, à 14 heures, j'ai rendez-vous pour un travail qui me semble intéressant. Je ne sais pas encore bien si ça va se faire. Je vous dirai peut-être ce qu'il en aura été. Si ça se trouve, il va me falloir me remettre au dessin sérieusement. Rien qu'à y penser, j'ai déjà des sueurs froides.
Pendant que j'écoute la programmation musicale de France Inter, je regarde par la fenêtre le jour qui s'en va. On sent que l'automne arrive. Les sons changent, les couleurs aussi. C'est un peu déprimant, la fin de l'été. Surtout lorsque l'on prend conscience que l'on n'a rien fait de ce que l'on s'était promis de faire. Je voulais m'occuper de ranger mon garage, de faire le ménage et d'apporter de grosses quantité de trucs à la déchetterie. Je ne l'ai pas fait. Je voulais aussi m'occuper de la remise en route de ma petite moto, je ne l'aurai pas fait non plus. J'ai le sentiment d'avoir piétiné, de ne pas avoir avancé d'un iota et ça me file le bourdon.

lundi 6 septembre 2010

Propos idiots et dessin du même tonneau

C'est pas tout ça, j'ai un billet du jour à pondre...

L'affaire me turlupine depuis déjà plusieurs jours. Au boulot, il y a deux PC qui font que m'embêter. Je vous explique le truc mais je n'ai même pas l'espoir de vous intéresser. Ce sont donc deux PC normaux. Des Hewlett-Packard tout ce qu'il y a de laid et inintéressant. Des vrais PC équipés de Windows et d'une suite Microsoft Office 2003. Bon. Jusque là, il n'y a pas de quoi faire pipi dans sa culotte.
Pour vous dire le truc, c'est que des PC de cette sorte, j'en compte au moins sept dans l'entreprise. Au moins sept parce qu'il y en a huit. Le huitième, il ne fonctionne plus du tout. Ce n'est pas de sa faute, c'est celle à un collègue qui l'avait laissé sous une fenêtre de toit ouverte alors qu'il pleuvait. Le PC n'a pas aimé. Vous verriez la gueule de sa carte-mère ! Donc, on dit qu'il y a sept PC de cette espèce. Tous sont équipés de Windows XP Pro et tous ont eu leur lot de mises à jour. Or, il se trouve qu'il y en a deux qui m'emmerdent je vous dis même pas à quel point.
En fait, ce ne sont pas tant les PC par eux-mêmes qui m'emmerdent. Ce n'est même pas directement Windows. C'est Outlook 2003. Sur deux postes (et uniquement sur ces deux postes) Outlook refuse avec une belle insistance de faire son boulot correctement. Parfois, mais pas souvent, il accepte d'envoyer un courrier électronique avant de se bloquer. Parfois, le plus souvent, il refuse dès le départ de bosser. Moi, je suis du genre tenace. Je me refuse à me résoudre de baisser les bras et de dire que l'on utilisera Outlook Express ou Thunderbird sur ces deux machines. Je veux comprendre. Ce qui me fait enrager, c'est qu'il me semble me souvenir avoir déjà été en présence de ce bug. Impossible de me souvenir quelle en était l'origine.
J'ai parcouru l'Internet pour aller à la pêche aux informations. Et de fait, on en trouve, des discussions faisant état de ce problème. Par contre, pour trouver des solutions ! Macache ! Certains disent qu'ils ont formaté leur disque dur ; d'autres qu'ils ont réinstallé la suite Office... Et beaucoup qui disent que malgré tout, ça a continué. Je doute un peu pour ceux qui prétendent que le bug était toujours présent après formatage du disque. Faut pas non plus croire que c'est de la sorcellerie, cette histoire.

Demain, je tenterai encore quelques solutions envisageables et, si je ne trouve pas, je me résoudrai à configurer un autre logiciel. Pour autant, je pense que je ne baisserai pas totalement les bras. Demain, un nouveau conteneur arrive. Là, au moins, il n'y a jamais de bug. On sait comment ça marche, des cartons à décharger.
Demain encore, c'est journée de mobilisation générale pour gueuler contre le projet de réforme des retraites. Je ne serai pas gréviste mais ce n'est pas par manque de solidarité. Disons que je vais être solidaire avec mon patron. Je sais, c'est mal de faire le jeu du MEDEF et des salauds de l'UMP. Je ne sais pas si mon patron est proche de la majorité présidentielle mais il fait tout pour le faire croire, parfois. Salaud de patron. Il mériterait qu'on le plante là avec son conteneur à décharger. Pour le coup, ça vaudrait le coup que je prenne mon appareil photo. Ça nous ferait des chouettes souvenirs. On n'a plus assez le sens du rire, de nos jours, c'est ça qui tue le peuple de gauche. Salauds de gens de droite !

coupé

dimanche 5 septembre 2010

Bon, bon, bon...

Un dimanche de passé.

Journée calme. Ce matin, je me lève à une heure presque tardive. Petit déjeuner classique. Je prends une douche et je dessine un peu. A midi, je suis invité à manger chez mon grand-frère. Peu avant de partir, je reçois un coup de fil qui m'informe que je dois trouver du pain. Je vais à l'épicerie du village et prends deux pains que je paie trois euros.
J'arrive chez mon frère. On m'apprend qu'un autre convive est allé chercher du pain. On n'en manquera pas. On prend une bière en guise d'apéritif et on passe à table. Salade de tomates puis côte de bœuf accompagnée de pommes de terre sautées et de haricots verts. Une sauce aux échalotes, aux dés de lard fumé, à la moutarde Violette et au vin pour la viande. Pas mauvais du tout. Je fais l'impasse sur le fromage et mange une sorte de glace sans goût un peu bizarre. Café.
Mon frère décide de mettre le DVD de "Un poisson nommé Wanda" dans le lecteur. Nous sommes cinq, assis, à regarder ce film. J'ai beau le connaître de fond en comble, il fonctionne toujours. Néanmoins, pour la première fois, je le trouve un peu daté. Le film se termine et je rentre chez moi pour me mettre au travail. J'ai pas mal de dessins à faire. J'ai du mal à dessiner. Un copain m'appelle. Il s'emmerde, ne sait pas quoi faire. Je ne lui propose pas de passer me voir, je ne lui propose pas d'aller le voir.
Ce soir, je ne mange pas. Pas faim. Je vais préparer le café pour demain et puis j'irai bouquiner. Pour le moment, j'écoute "Le masque et la plume" sur France Inter.

samedi 4 septembre 2010

Des excuses pour ne faire rien

A-t-on besoin de se trouver des excuses pour se laisser aller à sa naturelle propension à ne rien faire tout de suite et à laisser ce qu'il y aurait à faire pour plus tard ?

Aujourd'hui, c'est comme ça. Je mentirais si je disais que je n'avais pas essayé d'entreprendre un peu. Je mentirais encore davantage si je prétendais avoir entrepris avec la rage au ventre.
Pour dire ce qui est, j'ai essayé sans entrain. J'ai commencé plusieurs dessins qui en sont restés à ce qu'ils sont : pas grand chose. Aujourd'hui, c'est ce que j'appelle une journée molle. Je me suis couché ce matin vers deux heures. Je me suis réveillé peu après neuf heures. J'ai bu du café et j'ai (un peu) travaillé à résoudre un problème que je rencontrais sur un site Internet que je bricole. J'ai écouté la radio et puis, il était midi passé, je suis allé chercher mon pain hebdomadaire chez mon frère qui était allé l'acheter. Il m'a offert un café, on a un peu écouté de la musique et puis on a discuté. Je suis revenu chez moi et j'ai voulu dessiner. Ça ne venait pas bien alors j'ai commencé d'autres dessins qui ne sont pas arrivés à leur terme non plus. Ainsi, l'après-midi est passé sans que je m'en rendre trop compte.
Là, je me prépare quelque chose à manger. Ce sera prêt d'ici une petite heure. Je mangerai alors et puis j'irai regarder un film avant de dormir pour être fin prêt pour la journée de demain.

jeudi 2 septembre 2010

... à moelle

Donc, c'était bien une photo du château de Losse. Aujourd'hui, une deuxième photo qui devrait en précéder une troisième de l'extérieur de ce beau château du bord de la Vézère.

château de losse

mercredi 1 septembre 2010

Lavez-vous

salle de bain

Ce qui est certain, c'est que ce n'est pas très moderne. Mais où donc est-ce ?

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