septembre 2011 (26)

vendredi 30 septembre 2011

Tout ça, c'est du vent

moto-helice.jpg

jeudi 29 septembre 2011

Désagréable

Depuis ce matin, j'ai mal à la tête. Un mal de tête qui perdure malgré l'aspirine. C'est pas bon signe.

lezard.png

mercredi 28 septembre 2011

Creux

trou.png

mardi 27 septembre 2011

Pendant ce temps-là...

Installer un serveur sous Windows 2003 Server. Installer un autre serveur sous Windows 2003 Server. Réinstaller un serveur sous Windows 2003 Server. On va finir par penser que j'aime ça.

L'affaire débute il y a quelques mois. Pour installer une application de suivi commercial de la clientèle, il faut migrer un serveur tournant sous Windows 2000 Server vers un 2003 Server. Ce brave serveur, un IBM équipé d'un vénérable Pentium 4, doit se voir adjoindre quelques barrettes de mémoire pour pouvoir accueillir l'application et un MSSQL Server 2008. La configuration est vraiment le minimum acceptable mais ça devrait passer. Je passe donc le serveur en 2003 Server avec une certaine dose de stress (il ne s'agit pas de perdre toute la compta et l'Active Directory dans l'opération) après l'avoir bien garni en mémoire fraîche. On installe le serveur MSSQL et les applications de gestion et on ne met pas longtemps à se rendre compte que ça ne va pas. Trop lent, trop peu d'espace disque... Il faut trouver une autre solution.
Entre temps, mon employeur fait l'acquisition d'un serveur Dell dans une vente aux enchères. Une belle bête. Pas toute jeune mais encore bien gaillarde avec son Xeon, ses 8Go de RAM et ses quatre disques durs SAS de 146Go. Il ne fonctionne pas mais je me mets en tête de le remettre en route. Je tripatouille, je lis de la documentation et j'arrive à paramétrer les disques en RAID 5 et à installer un 2003 Server flambant neuf. Dans mon idée, ce serveur servira de serveur de données. Allant dans ce sens, je garde une petite partition pour le système et dédie les quelques centaines de Go restant aux fichiers qu'il sera sensé accueillir. Je le déclare comme nouveau contrôleur de domaine, monte un serveur dns et toutes ces petites choses. Je suis assez content de moi.
Soudainement, on me demande si l'on ne pourrait pas plutôt utiliser ce serveur pour accueillir les applications de gestion commerciale et le serveur MSSQL. Je tords un peu le nez. Cela implique de tout reprendre à zéro. Pendant deux journées pleines, je m'applique à tout recommencer. Ce soir, le serveur est presque prêt. Il n'y a plus qu'à paramétrer les applications et le serveur MSSQL, à migrer la gestion commerciale, la compta et à croiser les doigts.
Là, on me demande si je ne pourrais pas être présent jeudi soir pour pouvoir finaliser tout cela lorsque plus personne ne travaillera. Bien entendu, je pourrai récupérer mes heures. C'est généreux.

Si l'on ajoute à cela qu'un PC a défunté ce matin, que l'on me presse pour installer un nouveau Mac et que l'on me dérange sans cesse pour des pannes fictives, vous comprendrez que je n'ai pas le cœur à dessiner. Ça reviendra peut-être bientôt.

lundi 26 septembre 2011

Astérix et le mélange de pinceaux

On apprend que Albert Uderzo se préparerait à confier l'avenir des aventures d'Astérix le Gaulois à Jean-Yves Ferry.

Jean-Yves Ferry est un bon dessinateur. Albert Uderzo en est un aussi. Avec René Goscinny, il a donné vie à Astérix, Obélix, Idéfix, Abraracourcix, Assurancetourix... à tout un village d'irréductibles Gaulois qui résiste toujours et encore à l'envahisseur. On connaît bien tout cela.
Albert Uderzo n'est plus tout jeune et il semble qu'il soit prêt à passer le relai à Jean-Yves Ferry. Va falloir voir ce que cela pourra donner. A priori, Jean-Yves Ferry n'a pas le même trait que Albert Uderzo. Je suis assez impatient de voir.
Mais là n'est pas le sujet. Cette information, je l'ai entendue sur France Inter en rentrant du travail. Sitôt rentré, j'ai voulu en savoir plus et j'ai cherché sur Internet. Je suis tombé sur un article sur le site Internet de Europe1 qui s'emmêle un peu les pinceaux entre Uderzo et Goscinny. Parce que je ne suis pas certain que ce ne soit pas corrigé sous peu, je vous mets une copie d'écran. Et puis ça me fait un billet pour pas cher !

asterix Europe1

jeudi 22 septembre 2011

Ulysse garde le blog

Je pars quelques jours. Je laisse à Ulysse (aka "le Tigre du Périgord") le soin de surveiller le blog.
Ulysse, le chat qui se prend pour un tigre.

mercredi 21 septembre 2011

Une jolie fleur

Jolie ? Admettons. Qui saura dire ce que c'est ? Il me faudra des preuves !

fleur de quoi ?

mardi 20 septembre 2011

Je ne dis rien

Aujourd'hui, heureux veinards, vous allez pouvoir laisser vos neurones au repos en lisant le billet du jour.

Là, à l'instant où je me décide à faire mon billet quotidien, je n'ai aucune idée de ce que je vais bien pouvoir vous raconter. Je n'ai pas dessiné et je ne vais pas vous causer des affaires informatiques qui m'ont bien occupé toute la journée. Cela vous amuserait peut-être mais je considère que j'ai le droit de n'y plus penser jusqu'à demain matin où je ne manquerai pas, tel Chirac, d'être rattrapé par les affaires.
Entre ce matin et ce soir, il ne s'est pourtant pas passé grand chose d'autre que des choses d'ordre informatique. Le repas du soir ne mérite pas que l'on s'y attarde. Il est passé, je n'ai plus faim et c'est bien ce qui compte. Ce n'était pas très bon.
J'écoute France Inter où l'on cause d'art brut. Je ne sais pas exactement ce qu'englobe la notion d'art brut. Ce que je sais, c'est que je n'aime pas tous les courants qui le composent. On ne peut pas tout aimer.

Tout cela ne fait pas un billet bien intéressant. Heureusement que l'on ne peut pas voter pour juger de la qualité des billets de ce blog ! Je ne sais pas s'il existe un système à installer pour le faire, du reste. Ce pourrait être rigolo mais je doute que vous le feriez sincèrement. Comme je vous connais, vous voteriez n'importe comment. Comme en 2007, comme en 2002... comme en 2012 ?
Aux dernières nouvelles, du côté des socialistes, Martine Aubry est toujours devancée par François Hollande. Sarkozy pense sérieusement qu'il sera réélu et moi, je me demande bien ce que je ferai de ma voix. Est-il encore temps d'apprendre la pêche à la ligne ?

lundi 19 septembre 2011

12-6

Ce matin, j'ai passé la visite médicale que doivent passer périodiquement les salariés.

D'abord, j'ai testé ma vue. Elle est fidèle à ce que j'en pense. Toujours un peu myope d'un œil, un peu hypermétrope de l'autre et astigmate des deux. Pour la vision de près, c'est très correct et c'est tant mieux. Ça me conforte dans l'idée que je me fais du dernier ophtalmologue que j'ai vu il y a plus de deux ans : c'est un branquignole.
Ensuite, l'ouïe. L'oreille droite entend tout ce que l'on peut lui donner à bouffer durant le test. Il y a une fréquence aigüe que l'oreille gauche ne capte pas. Pas la plus aigüe, bizarrement. C'est comme ça. On me dit toutefois que j'ai une audition enviable.
Après cela, on m'a pesé (un poids normal) et on ne m'a pas mesuré considérant sans doute que j'en avais fini avec la croissance. On m'a pris la tension qui a été mesuré à 12-6 (d'où le titre) et que j'ai jugée un peu basse par rapport à l'habitude mais qui a eu l'heur de satisfaire le médecin. Celui-ci m'a posé tout un tas de questions sur mon moral, sur mon appétit, sur mes habitudes alimentaires. Il m'a déclaré apte à continuer de travailler.
Sur son bureau de médecin, il y avait un vieil appareil pour mesurer la force de la main. Une sorte de dynamomètre si vous voyez ce que c'est. Je me suis amusé à tester la poigne de ma main droite : 40 kg ! J'en ai été le premier surpris.
Avant de partir, regardant mon dossier avant de le fermer, il a noté qu'il ne m'avait pas vu depuis 2007. Et c'est vrai que j'ai raté la visite de 2009. Il m'a demandé de ne pas rater celle de 2013. Je le lui ai promis en lui serrant la main (pas trop fort).

En deux ans, j'ai le temps de me préparer à tomber bien malade, histoire de lui donner un peu plus de boulot.

dimanche 18 septembre 2011

Lézard

On m'a demandé de dessiner un lézard pour un club de basket. J'ai dessiné un lézard et on m'a dit que ça n'allait pas. Alors, j'ai dessiné un nouveau lézard.

J'ai pris une nouvelle feuille de papier pour dessiner mon nouveau lézard. Un lézard plus méchant, plus agressif. J'ai dessiné ce nouveau lézard et j'ai numérisé le crayonné que j'ai envoyé par courrier électronique à mon correspondant. Il m'a répondu que son correspondant à lui trouvait que ce n'était pas mal mais qu'il préférait une salamandre. La vie n'est pas toujours facile.

lézard

samedi 17 septembre 2011

Un blog qui nuit bien moins

Des blogs, il en existe de toutes sortes, sur tous les sujets. Récemment, j'en ai découvert un qui m'a ému et aussi fait rire.

Je ne me souviens pas exactement comment j'ai découvert ce blog. Je me souviens que je furetais sur la toile, passant de blog de dessinateur en blog de dessinatrice parmi les plus célèbres. J'étais passé par celui de Lewis Trondheim et celui de Pénélope Bagieu après être allé sur celui de Maëster et de Laurel. Je cherchais des idées de présentation de blog parce que j'ai envie de refaire la devanture du mien. Et voilà qu'en cherchant d'autres blogs à voir sur Google, je trouve celui dont je veux vous parler aujourd'hui.
De prime abord, j'ai été accroché par l'aspect sobre et clair de la présentation. Je n'ai pas compris tout de suite de quoi il en retournait. Le titre me paraissait étrange mais pourquoi pas ? On est en République, on a bien le droit de parler de ce que l'on veut. Alors pourquoi pas d'un pied, après tout ? J'ai lu la page sur laquelle j'étais arrivé et je me suis rendu sur la page précédente. Je l'ai lue et je suis passé à celles d'avant. J'ai fini par comprendre. Je suis allé à la toute première page du blog et j'ai alors tout à fait compris. A partir de là, j'ai tout lu. Ça m'a pris un peu de temps.

histoire d'un pied

Et de quoi ce blog parle-t-il donc, alors, ne manquerez-vous pas de me demander, curieux comme vous l'êtes ? Ce blog, comme son titre l'indique, parle d'un pied. Pas de n'importe quel pied. D'un pied perdu dans un accident. Jour après jour, le blog raconte l'hôpital, les espoirs, les douleurs, les opérations, les découragements, les rires, les bons moments et les jours de déprime. C'est aussi le courage, la force et l'optimisme qui sont présents.
Histoire d'un pied

vendredi 16 septembre 2011

Euro, Grèce et avenir radieux

euro et grece

jeudi 15 septembre 2011

Apple et Citroën

J'étais en train d'écrire un super billet dans lequel je faisais un parallèle entre Apple et Citroën lorsque j'ai eu une coupure de courant. L'onduleur n'a pas fonctionné et j'ai perdu ce que j'avais écrit. Du coup, j'ai un peu la flemme de tout écrire de nouveau.

Dans le billet que j'étais en train de rédiger, je me permettais de comparer Apple et Citroën. En gros et pour faire simple, je prétendais que Apple comme Citroën devaient leur succès à leur capacité à puiser dans des technologies existantes pour faire des produits qui se démarquaient du reste de la production.
Je prenais l'exemple de la Traction Avant, de la suspension de la 2cv ou de l'hydraulique de la DS qui ne sont pas plus des inventions de Citroën que ne le sont d'Apple la souris, l'interface graphique, l'USB, le système UNIX. Le génie est juste que Steve Jobs comme André Citroën ont vu quels profits puiser de l'adoption de technologies.
Ensuite, je tentais de comprendre l'avenir d'Apple à l'image de ce qu'est devenu Citroën. Après avoir fait figure de marque novatrice, Citroën s'est contenté de vivre sur ses acquis avant de devenir une pâle marque comme une autre. Aujourd'hui que Apple est en haut de la vague avec ses iPhone et iPad, on peut légitimement douter de l'avenir des ordinateurs pommés. Plusieurs signes me font penser que Apple est sur la pente descendante. Sa tendance à devenir moins "cool" que par le passé, sa propension à se "microsoftiser", son envie de devenir "maître du monde" me laisse penser que l'avenir ne va pas être tout rose pour la pomme. Le départ de Steve Jobs laisse à Tim Cook la responsabilité de cet avenir. Nous en saurons plus dans les années à venir.

iCar

Le problème, c'est que le billet que j'avais écrit était vachement plus développé que ça. J'avançais des idées qui me semblaient terriblement intéressantes et j'avais fait des efforts pour écrire correctement. C'est ballot que tout cela ait été perdu. Je n'ai vraiment pas envie de revenir sur tout ça. Et puis je n'ai pas trop le temps non plus. J'ai un truc à faire qui va m'occuper une bonne partie de l'après-midi.

mercredi 14 septembre 2011

Restons connecté

modernité

mardi 13 septembre 2011

Le travail, ça fatigue

D'aussi loin que je m'en souvienne, le travail et moi n'avons jamais été amis.

Ce soir, en rentrant du travail, je n'ai envie que de deux choses. Manger et me reposer. La journée n'a pas été inactive. J'ai couru partout. Ici pour dépanner un PC, là pour installer un nouveau Macintosh, ailleurs pour finir de configurer un serveur. Entre temps, j'ai aussi pu faire quelques impressions, me faire engueuler par mon patron (je l'ai copieusement engueulé en retour), discuter de choses et d'autres avec des collègues, boire un peu de café et tirer un transpalette.
Pas une fois je n'ai pensé au blog et à ce que je pourrais y mettre de toute la journée. Ce n'est que là, après avoir mangé (c'était bon) que je me suis posé la question. Aucune envie de faire un dessin, rien de bien intéressant à raconter ; j'allais encore faire du remplissage en faisant mine de m'intéresser à un fléau de nos sociétés : le travail.
Faudra-t-il un jour éradiquer le travail comme on cherche tant à le faire d'autres maladies pourtant bien moins cruelles et néfastes ? Parce que l'homme est homme et pas poisson rouge, il a besoin d'agir un minimum pour répondre à ses besoins quotidiens. Mais combien faudrait-il travailler chaque jour pour parvenir à vivre ? Sans doute n'a-t-on pas besoin de toutes ses heures. L'humanité ne serait pas mise en péril si l'on produisait moins de porte-clés, d'emballages divers, de gadgets en tous genres. Je ne le pense pas. On peut vivre parfaitement en refusant de consommer tout un tas de choses parfaitement inutiles. Il faudrait que je fasse une tentative d'énumération de ces objets à mon avis parfaitement inutiles. Cela irait de la pince à sucre (guère plus utilisée) à la peluche que l'on accroche au rétroviseur de son automobile en passant par les chaussures de sport et la plupart des instruments de musique bruyants. Il y a du pain sur la planche.
Décroissance ? Pas vraiment, non. Consommation raisonnée, plutôt. Tenez, si l'on ne prend que les ordinateurs. Ne serait-il pas possible de mettre à jour le matériel comme on le fait des logiciels et systèmes d'exploitation ? Après tout, une tour n'est rien d'autre qu'une boîte qui n'a pas beaucoup évoluée depuis les débuts de la micro-informatique. Peut-être faut-il de temps à autres remplacer une carte-mère ou un processeur ; un disque dur ou quelques barrettes de mémoire mais on pourrait faire durer un peu plus longtemps. Non ? Ce pourrait être la même chose avec les automobiles et bien d'autres produits. Je n'irai pas jusqu'à prétendre que nous pourrions produire des livres effaçables sur lesquels nous pourrions faire imprimer un nouveau roman. Bien que, me semble-t-il, on y a déjà pensé avec cette histoire de livre électronique.
Donc, travailler moins. Oui. Seulement, nous n'accepterons pas que le médecin travaille moins et s'arrête en plein examen en vous lançant un "on verra la suite demain". On n'imagine pas que le routier s'arrête au bout de deux heures de route et mette plus de quinze jours pour vous livrer votre marchandise. Si certains ne peuvent pas travailler moins, personne ne doit le pouvoir. Enfin presque personne.

lundi 12 septembre 2011

Si vous étiez moi

Si vous étiez moi, vous comprendriez la raison du pourquoi et du comment.

Si vous étiez moi, vous auriez très très mal dormi la nuit dernière. Et lorsque je dis que vous auriez mal dormi, ce n'est pas pour faire dans l'exagération. J'irai presque jusqu'à dire que c'est un euphémisme. Pour vous dire, à une heure et demi, je ne dormais pas encore et à cinq heures et demi, je ne dormais déjà plus.
Si vous aviez si mal dormi, vous n'auriez pas été très en forme pour affronter cette journée de travail, une journée de travail au cours de laquelle on m'a demandé de faire tout et n'importe quoi de manière brillante. Installer un système neuf et des logiciels sur trois Macintosh, configurer un nouveau serveur en me débrouillant pour comprendre comment ça marche, résoudre le problème d'Internet avec Free et Orange, imprimer une centaine de calendriers et quelques faire-part, dépanner quelques problèmes sur des PC, installer une imprimante, faire quelques travaux de mise en page. Bien entendu, je n'ai pas tout terminé. D'autant moins que j'avais oublié d'amener un CD de chez moi et que je n'ai pas pu finir l'installation d'un logiciel. Je remets tout cela à demain en sachant que je n'aurai pas terminé mercredi midi et qu'il faudra attendre lundi prochain pour reprendre les travaux en cours.
Ce soir, je n'ai pas envie de dessiner. Je n'ai pas d'idée de dessin non plus et finalement ça prouve que la vie est bien faite. Je n'ai qu'une envie, celle d'aller me coucher tôt et de trouver le sommeil.

dimanche 11 septembre 2011

De l'importance du papier

Aujourd'hui, j'ai essayé de faire un dessin sans y parvenir et j'ai trouvé l'origine du problème.

Tous les papiers ne se valent pas. Il en est des nobles et des vulgaires. De ceux qui valent cher et qui sont à eux seuls des quasi œuvres d'art et de ceux qui sont destinés à finir à la corbeille à papier à leur naissance.
Pour dessiner, j'aime bien utiliser le Canson "Papier technique 160 g.". Il fait un peu bristol mais pas tout à fait non plus. Il est lisse et assez dur. La mine de crayon ne le marque pas trop, il est facile à gommer et le pinceau glisse bien à sa surface. Je l'utilise depuis des dizaines d'année et je n'ai pas trouvé mieux pour le moment.
Lorsque ce n'est pas un dessin important, lorsqu'il ne s'agit juste que de faire un dessin pour le blog, par exemple, j'utilise du papier "normal", de celui que l'on trouve un peu partout pour mettre dans les imprimantes laser, du 80 g. tout bête que je plie souvent en deux avant de dessiner. Je ne sais pas pourquoi mais avec ce papier, je suis plus à l'aise avec un format A5. Faut pas chercher à comprendre. Je n'aime pas beaucoup utiliser des papiers à grain, j'aime lorsque c'est lisse et dur. J'aime lorsque la mine de crayon glisse facilement, sans avoir à vaincre une quelconque résistance.
Et aujourd'hui, donc, j'ai essayé de faire un dessin sur une feuille de papier que j'ai prise dans une pile de papiers que j'ai. J'ai mis un petit moment à comprendre ce qui n'allait pas. Je n'arrivais pas à dessiner, je n'arrivais pas à bien gommer ce que je voulais effacer. J'ai mis du temps et j'ai fini par comprendre que c'était ce papier qui ne me correspondait pas. C'est dur, la vie, des fois.

papier

samedi 10 septembre 2011

Juste un petit mot

pas grand chose

vendredi 9 septembre 2011

Encore 2cv et HDR

Après avoir changé les bougies de préchauffage de la 405, j'ai refait une photo de la 2cv.
2cv HDR

Deux chevaux et HDR

En attendant de me décider à faire un peu de mécanique sur ma voiture, j'ai tenté de faire une nouvelle photo HDR de la 2cv. Je ne suis pas très satisfait du résultat tant au niveau du cadrage que du traitement. Ceci dit, je me dis que ça ira bien pour nourrir le blog aujourd'hui.

2cvHDR-V.jpg

jeudi 8 septembre 2011

Contact ! Respirez ! Soufflez !

C'est presque fait. Ce n'est plus qu'une petite question de jours ou semaines. D'ici peu, on pourra obliger les automobilistes condamnés pour avoir conduit en état d'ivresse d'équiper leur voiture d'un éthylomètre chargé de s'assurer que le conducteur n'est pas sous l'emprise (néfaste) de l'alcool.

On dira bien ce que l'on voudra, on ne me sortira pas de la tête que le progrès, c'est beau. Presque autant que le génie humain. J'ai entendu dire que le dispositif demanderait à ce que l'on souffle de temps à autres sur un long trajet, histoire d'être bien sûr que l'on ne boit pas en conduisant. Ce n'est pas idiot. Sauf que je me demande comment ils vont faire pour empêcher le passager de souffler. Et même, pourquoi ne pas avoir à sa disposition une petite bouteille d'air comprimé ?
L'histoire ne dit pas encore combien coûte ce dispositif. A mon avis, ce ne sera pas gratuit. Le plus démagogiquement du monde, j'irai jusqu'à prétendre que seuls les riches poivrots pourront continuer à conduire. Quoi que ceux-là peuvent se payer les services d'un chauffeur.
Demain, je vous parle d'autre chose.

ethylometre.png

mercredi 7 septembre 2011

On est rassurés !

Celles et ceux, fieffés anxieux soucieux, qui craignaient que le nuage radioactif de Tchernobyl ait pu leur nuire sur leur belle Ile de Beauté [1] sont à présent rassurés. L'enquête prouve que rien ne peut être prouvé quant à la nocivité du passage de ce nuage au-dessus de la Corse. Il peuvent reprendre leur sieste et dormir sur leurs trois oreilles.

corse tchernobyl

Notes

[1] S'agit d'être prudent avec ces grands susceptibles

mardi 6 septembre 2011

Yo !

Mick

lundi 5 septembre 2011

La vitesse, c'est bien quand on est pressé

Renault R2087

dimanche 4 septembre 2011

La 2cv a démarré

Je vous narrais naguère mes déboires mécaniques liés à la 2cv type AZU de 1956 qui refusait de fonctionner correctement. Hier, mettant à profit la panne Internet qui m'a laissé du temps libre, j'ai mis fin à ce souci. Gageons que la solution ne sera que provisoire et qu'il me faudra œuvrer encore pour résoudre totalement le problème.

Parfois, on s'entête bêtement. Pour moi, il était évident que le souci était lié à l'allumage. Pourquoi ? Parce qu'après avoir déposé le dessus du carburateur de la 2cv, il était apparu qu'il y avait de l'essence dans la cuve.
Et pourtant, j'aurais dû en rester à ma première idée qui était que la panne était liée à un problème d'alimentation en carburant. Seulement, comme la batterie est vieille et usée et que je n'avais pas réglé l'allumage depuis belle lurette (ce qui commence à faire assez longtemps), je m'étais dit que, peut-être bien, la solution était à chercher de ce côté là. Or donc, j'ai déposé les bougies, je les ai nettoyées, je les ai remplacées ; j'ai déposé les contacts-rupteurs que j'ai aussi nettoyés et réglés ; j'ai un temps incriminé la bobine que j'ai contrôlée et le condensateur que j'étais prêt à remplacer. J'ai tout contrôlé, démonté et remonté quelques fois. J'ai mis la batterie en charge à maintes reprises et il arrivait que la 2cv daigne démarrer pour un court instant.
Je commençais sérieusement à douter de mes capacités à faire fonctionner cette automobile et songeait à appeler à l'aide. Et puis, j'en suis revenu à mon idée de départ. Depuis bien des années, j'ai un problème de canalisation d'arrivée d'essence récurrent. Elle se colmate. Parce que je n'utilise que très très peu cette voiture, ça n'arrange rien. Seulement, cette canalisation, je l'avais nettoyée en profondeur il y a deux ou trois ans et j'ai considéré que ce ne pouvait être ça. Et bien vous savez quoi ? C'était bien ça. L'essence finissait bien par arriver au carburateur mais pas suffisamment. Et le temps que je dépose le dessus du carburateur, l'essence finissait par remplir la cuve. C'est ballot, non ?
Donc, hier j'ai nettoyé cette canalisation et j'ai fait démarréer la 2cv. Elle a très bien fonctionné durant au moins quinze minutes. Après, j'ai coupé le contact et je suis passé à autre chose. Tout de même, temps qu'elle avait le capot ouvert, je me suis amusé à faire une photo.

2cv AZU 1956

jeudi 1 septembre 2011

Un tramway nommé "Désir gouvernemental"

Ce matin, j'apprends à la radio que la RATP a prêté main-forte à notre gouvernement d'élite.

Il y a pas, ça rappelle quelque chose, cette histoire. Ça rappelle une autre histoire que je n'ai pas connue directement mais dont j'ai souvent entendu parler. Il s'agissait, en cette autre époque, de transporter des gens vers le Vel d'Hiv'.
Comparaison n'est pas raison. Bon. N'empêche. Que l'on le veuille ou non, on ne peut pas s'empêcher de faire le parallèle entre la dernière saloperie en date de notre gouvernement et ce qui s'est passé autrefois. C'est la faute au symbole. Ce n'est pas forcément qu'il ne fallait pas expulser ces Roms de là où ils se trouvaient, ce n'est pas tant que l'on ait fait appel à la RATP pour les convoyer, non, c'est l'histoire du symbole. Les symboles, faut faire gaffe lorsqu'on les utilise. C'est fort, un symbole. Il y en a plein que l'on peut plus toucher. Ça touche au sacré. Là, bon, on a touché au symbole. C'est une faute ou non. Je ne sais pas. C'est rarement innocent de toucher aux symboles.

RATP roms

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