novembre 2010 (29)

mardi 30 novembre 2010

Propos édifiants

Ce soir, j'ai bien l'intention de vous permettre d'apprendre plein de choses essentielles et, ainsi, de vous rendre un peu moins bêtes.

Un peu comme la semaine dernière, aujourd'hui c'est mardi. Habituellement, le mardi soir, je sors mon sac poubelle au bord de la route. Je vous l'ai déjà raconté mais je sais combien vous aimez que je vous le raconte encore et encore, public fidèle et aimant. Sauf que, aujourd'hui, mardi comme il y a une semaine, je ne sors pas mon sac poubelle pour la bonne raison qu'il est presque vide. J'ai généré peu de déchets, durant cette semaine. C'est un vrai sujet de fierté.
Tout à l'heure, j'ai regardé mon thermomètre. Il indiquait 8°. C'est peu. Là, je me suis réfugié dans la chambre. Dans la chambre, l'avantage, c'est qu'il y a un radiateur à bain d'huile qui réchauffe un peu la pièce. Il a neigé sur Azerat, aujourd'hui. Un peu aussi sur Périgueux mais la neige y fondait avant d'atteindre le sol. En rentrant du travail, tout à l'heure, j'ai commencé à voir les bas côté de plus en plus blanc en me rapprochant de Azerat.
Je me suis vite réfugié dans ma chambre, donc, et là, j'ai eu l'idée de trouver une idée de dessin pour le blog. Ça a été laborieux et les quelques tentatives ne sont pas très reluisantes. J'en ai conservé une, malgré tout.

vodka froid

Demain, nous serons le 1er décembre. Je pense que je vais profiter de ce changement de mois pour demander à mon fournisseur habituel qu'il me livre du fuel domestique. Ainsi, je pourrai bientôt mettre en service la chaudière. Alors, peut-être, bientôt, il fera chaud chez moi. Enfin on peut toujours rêver.

lundi 29 novembre 2010

On le craignait, ils l'ont fait

Il y a des personnes qui défendent les produits de chez Microsoft. Je ne comprends pas comment ils peuvent faire cela sans se rendre compte de leur infinie bêtise.

Alors aujourd'hui, nous avons reçu un nouveau PC au boulot. Il s'agissait de remplacer un PC qui ne fonctionnait plus. En panne, le PC. Je suppose que ce doit être la carte mère qui est en cause. Peut-être bien le chipset graphique qui y est intégré. Le PC démarre, Windows aussi et puis, au bout de pas très longtemps, tout se fige. J'ai essayé d'enlever les barrettes mémoire, de les remplacer par d'autres, de remplacer le disque dur, de débrancher le lecteur de DVD, de débrancher le lecteur de disquettes, de virer la carte réseau. Rien. Le PC plante. De guerre lasse, j'ai décidé qu'il était foutu et qu'il fallait en acheter un nouveau. Il datait de 2004.
Nous en avons donc acheté un nouveau de la même marque. Il a mis longtemps, très longtemps, à arriver jusqu'à Périgueux. C'est sûr, ce n'est pas un Mac. A présent, il semble que l'on ne trouve plus de PC avec Windows XP Professionnel. On ne nous propose plus que du Windows 7. Qu'à cela ne tienne, puisque l'on n'a pas trop le choix, je prends un Windows 7 Professionnel. Ce PC arrive donc aujourd'hui et je le déballe. Une tour en ferraille et plastique bas de gamme, un clavier et une souris pas très sexy, un câble, quelques DVD. Je branche tout le bazar et démarre la machine.
Alors oui, je sais, j'ai l'esprit déformé par la trop grande fréquentation des machines de chez Apple mais tout de même, reconnaissez-le, ça fait un choc. Un écran d'accueil avec plein de couleurs et un message qui dit qu'il faut attendre que Windows fasse ce qu'il a à faire pour sa première mise en route. Chez Apple, c'est pareil mais il y a de la musique et c'est bien plus beau. Passons. Le PC se met en route et je peux prendre la main pour renseigner les différents points de détail dont il a besoin. Il me demande d'accepter des conditions d'utilisation, des trucs comme ça, et enfin, il se renseigne pour voir si des fois j'aurais pas un peu de connexion Internet à lui donner. Le câble est branché, il pourrait comprendre. Mais non, il ne comprend pas par lui-même. Faut bien tout lui expliquer. Et enfin, miracle, le PC est démarré et semble fonctionner. Il est d'une lenteur incroyable. C'est tout de même un Intel Core i5 avec 2 Go de RAM. Ce n'est pas rien. Mais ce n'est pas bien grave. En fait, je m'en fous, je ne suis pas appelé à travailler dessus.
Première étape, le faire rejoindre le domaine gérer par un antique Windows 2000 Server. Je m'étais renseigné avant, je savais que l'on pouvait le faire. Et bien rien à faire, je n'y arrive pas. C'est rageant. Je tournicote le problème dans tous les sens, vais jusqu'à faire confiance au coup de main proposé par Windows lui-même de son plein gré et ne parviens pas à faire entrer ce PC dans le domaine. Je rage et peste. Et puis, après que Windows me dit que son centre de résolution des problèmes a fini son travail sans trouver de problème (il est drôle), je me réunis avec moi pour un entretien en tête à tête de gestion de situation de crise.
Et là, j'ai une idée. Au moment où Windows m'a demandé de lui donner des adresses dns, j'ai fait comme pour configurer les PC sous Windows XP. Je donne l'adresse dns du serveur PC et aussi l'adresse dns du serveur Mac (qui se débrouille bien mieux). Et alors, je me dis que cet idiot de Windows 7 tente peut-être de rejoindre un domaine géré par Mac OS X Server (il peut le faire) plutôt que de prendre celui géré par le PC. Je vire l'adresse du serveur dns du Mac et là, Windows accepte d'entrer dans le domaine où je l'ai précédemment déclaré. Bien. Ça c'est fait.
Alors, j'installe les logiciels de gestion et de comptabilité. Pas trop de problème si ce n'est que l'espèce de machin qui sert à protéger le petit PC est récalcitrant et demande sans cesse à ce que l'on lui dise que ce que l'on est en train de faire, on veut vraiment le faire. De quoi j'me mêle ? Evidemment que je veux le faire. Il est bête, lui. Je lance les logiciels, tout fonctionne. Le réseau fonctionne, le clavier et la souris fonctionnent, tout va bien. Et là, je vais faire un tour sur Internet. Je lance Internet Explorer, j'arrive sur une page hideuse de chez Microsoft, je vais dans les préférences pour virer cette page par défaut et y substituer celle de Google (bien plus utile et sobre à mon goût). Je navigue un peu sur Internet pour m'assurer que tout fonctionne et je quitte Internet Explorer. Là, une fenêtre s'ouvre pour me dire que je n'ai pas de connexion Internet. Je m'en étonne, relance le navigateur et me retrouve sur la page de Google. Je clique ici et puis là, fais une recherche. Je n'ai peut-être pas d'accès à Internet mais ça marche presque aussi bien sans. C'est beau, Microsoft !
Je ne suis pas encore arrivé à bien comprendre le sens de ce message. Je m'en occuperai demain matin si j'ai le temps.

dimanche 28 novembre 2010

Fera pas chaud

Cet après-midi, un copain est passé me voir.

J'ai bien entendu son ton réprobateur lorsqu'il m'a demandé si je déciderai un jour d'allumer le chauffage. Sans doute trouvait-il qu'il ne faisait pas assez chaud en mon douillet logis, malgré le feu dans la cheminée et le radiateur électrique. Que l'on puisse considérer que l'on est bien loin des températures caniculaires attendues pour l'été dernier, soit. Mais de là à prétendre qu'il ferait trop froid chez moi, il ne faut pas pousser. Mon brave thermomètre me dit qu'il fait quelque chose entre 13 et 14 degrés. Nous sommes bien loin d'avoir froid !
Alors oui, effectivement, je porte deux pulls. J'ai trouvé cette combine tout seul. Multiplier les couches, à la manière des oignons. Je me transforme en oignon. Il y a pire. A tout prendre, je préfère finir en oignon plutôt qu'en glace à la pistache. Je n'en suis pas encore à porter plusieurs paires de chaussettes. C'est bien qu'il ne fait pas si froid que cela. Mon idée, c'est que l'on peut apprendre à supporter des températures assez fraîches. Pour le moment, ça marche. Je doute cependant de pouvoir passer l'hiver à venir dans ces conditions.
Et donc, mon copain m'apprend que l'on va avoir des températures avoisinant les -15° dans les jours à venir. A mon avis, il m'a dit cela pour me faire peur et me pousser à remettre la chaudière en route. Je suis allé voir sur le site de Météo France et ils n'annoncent pas cela du tout.
Aujourd'hui, j'ai travaillé un peu sur un site Internet et j'ai essayé de faire des dessins. C'est pour le dessin que j'ai des problèmes. Je pense qu'il fait un tout petit peu trop froid pour mes doigts et je ne vois pas quelle sorte de gants je pourrais utiliser. J'ai aussi essayé d'installer un Linux sur un PC sans grand succès. Il me semble bien que le lecteur de CD connaît quelque problème qui l'empêche de démarrer depuis le support optique. Ce n'est pas très grave.

froid

samedi 27 novembre 2010

Journée creuse

Retour sur une journée particulièrement inintéressante.

La nuit dernière, il a neigé sur le Périgord. Du coup, les deux seules choses notables que j'ai à vous raconter aujourd'hui, c'est qu'il y avait de la neige partout et aussi que, bien que ça n'ait probablement aucun rapport de cause à effet, j'ai passé une très mauvaise nuit. Beaucoup de difficulté à m'endormir et de nombreux réveils incongrus jusqu'à ce que je me décide de me lever.
Aujourd'hui, je n'ai pas trouver le courage de dessiner. Il fait froid, j'ai allumé un feu dans la cheminée et branché deux radiateurs à bain d'huile. Demain, je ne sais pas ce que je vais faire d'intéressant. Il faudrait que j'avance sur quelques travaux en cours. Bonne nuit.

vendredi 26 novembre 2010

Side car

side car

jeudi 25 novembre 2010

Neigera-t-il ?

Selon Météo France, il devrait neiger sur la Dordogne depuis le début de l'après-midi. Pour l'heure, je n'ai pas encore vu le plus petit flocon.

Qu'il ne fasse pas chaud, c'est une certitude. Depuis ce matin, je me chauffe en brûlant du très mauvais bois, du bois de récupération gorgé d'eau et pourri à la moelle. J'ai réussi à allumer un feu avec du bois sec et depuis je l'alimente avec ces vieilles planches. A chaque fois que je recharge la cheminée, ça fait un grand panache de vapeur. C'est joli.
Aujourd'hui, j'ai dessiné et j'ai un peu travaillé à la réalisation d'un semblant de site Internet. En ce moment, j'aide un copain à configurer son nouvel iPhone pour qu'il parvienne à relever son courrier électronique de chez gmail. Ça se fait par téléphone. Apparemment, ça ne veut pas fonctionner. Par défaut, le iPhone relève le courrier chez gmail en IMAP. IMAP n'était pas activé sur son compte. Il l'a activé mais ça ne fonctionne toujours pas. Bon.
Depuis la fin de matinée, j'attends la neige annoncée par Météo France. Il y a eu une annonce à la radio et puis sur le site Internet. C'est vrai que ça pourrait être un temps à neige plus sûrement qu'un temps à canicule tueuse de vieux. N'empêche que, de la neige, il y en a bien moins que dans les narines de certains. C'est assez rageant parce que je me suis bien préparé à l'arrivée des flocons, moi.

neige azerat

mercredi 24 novembre 2010

Diagnostic ?

Aujourd'hui, une sorte d'examen mécanique m'a donné un résultat reporté sur l'image qui suit. Qui saura m'aider à faire un diagnostic ?

compressions

mardi 23 novembre 2010

Un peu de rien avec beaucoup de pas grand chose

S'il ne se passe pas rapidement quelque fait marquant dans ma vie prochaine, je sens que ce blog va devenir d'un ennui d'une profondeur à faire pâlir de jalousie la fosse des Mariannes.

Ah ! Le retour du billet quotidien ! Je suis devant mon ordinateur. Dehors, il fait nuit. Je viens d'aller déposer mon sac poubelle sur le bord de la route. Pas un chat dans Azerat, ce soir. Pas même un véhicule qui passe. Village fantôme. J'ai préparé la cafetière pour demain matin et j'ai éteint la radio. Journée de grève, sur France Inter. Programme musical qui passe plus ou moins en boucle. Je me pose devant l'ordinateur, je réponds à un mail et je commence la rédaction de ce billet sans idée de ce qu'il pourrait contenir. Je n'ai pas fait de dessin, je n'ai pas réfléchi à un sujet méritant d'apparaître ici, je vais encore faire du remplissage, de l'écriture automatique non relue.
Ma journée de travail s'est partagée entre des moments de maintenance informatique et des travaux d'impression sur presses numériques. Le matin, j'ai tenté de refaire fonctionner le serveur de télécopies avec l'aide d'une informaticienne de la société qui nous a vendu la chose. Elle savait plus ou moins ce qu'il fallait faire. Elle m'a envoyé un fichier .dll et m'a demandé de redémarrer le PC. Les services ont accepté de se lancer. Je pensais être arrivé au bout de mes peines. Mais non. En fait, si le serveur est potentiellement fonctionnel, il ne fonctionne pas. Les télécopies ne parviennent pas jusqu'à lui. Et ça, c'est assez embêtant pour que l'informaticienne (fort sympathique au demeurant) avoue ne plus savoir quoi faire et devoir se contenter de constituer un dossier qui sera transmis à un de ses collègues plus à même de résoudre ce genre de problème. Je ne sais pas bien pourquoi mais je sens venir une réinstallation de toute l'application et des périphériques. On verra.
Si je n'ai pas fait de dessin fini, j'ai un peu trouvé le temps de gribouiller et cela m'a mis une idée de dessin en tête. Je tenterai de travailler là-dessus dans les jours à venir.

lundi 22 novembre 2010

Sacré Graal

Ce soir, au cinéma de Montignac. Je n'ai jamais vu ce film sur grand écran. C'est l'occasion. Vais-je supporter que ces Anglais se moquent encore une fois des Français ? Vais-je en rire ? Je vous dirai cela ultérieurement.

dimanche 21 novembre 2010

Repli stratégique

Aujourd'hui, au prétexte que j'ai décidé de tester ma résistance au froid, je n'ai pas allumé de feu dans la cheminée.

Au début, ce matin, ça allait. Il ne faisait même pas vraiment froid, en fin de compte. J'ai préparé la cafetière et je suis retourné sous la couette pour attendre que le café soit passé.
En début de matinée, je me suis installé devant l'ordinateur pour travailler sur un site Internet en cours de réalisation. En moins d'une heure, j'ai eu le sentiment de me transformer en filet de colin surgelé. J'ai enfilé des chaussettes et je me suis remis au boulot. Bien vite, j'ai considéré que l'heure était grave et qu'il fallait faire quelque chose. J'ai branché un radiateur électrique à bain d'huile et je l'ai placé à côté de moi. Je me suis remis au travail.
J'ai travaillé au bas mot une dizaine d'heures sur ce site, aujourd'hui. Pour autant, ça n'a pas avancé tant que cela. Je me suis bagarré avec des css, des margin et des padding ainsi qu'avec un bloc que je ne parvenais pas à placer là où je le souhaitais. J'ai révisé les fondamentaux, je suis allé voir mon frangin à la Bachellerie et je me suis remis au travail en rentrant. J'ai un peu avancé.
Et puis, j'ai décidé de prendre une douche puisque je disais que j'allais en prendre une depuis ce matin. Ça a été une petite épreuve que de se mettre tout nu dans cette petite salle de bain glaciale. Après le récurage, je suis revenu à mes affaires. J'ai encore travaillé un peu et puis je suis allé me préparer quelque chose à manger. J'ai expédié ça rapidement et suis revenu devant l'ordinateur. Là, j'ai enfin presque réussi à obtenir ce que je voulais. Le problème, c'est que je ne sais pas bien comment. J'arrête pour aujourd'hui.

samedi 20 novembre 2010

Gastronomie française

Il y a quelques jours, on apprenait que la gastronomie française gagnait son entrée au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. Gloire à nous ! Nous avons la meilleure cuisine du monde ! Hein ? Pardon ? C'est pas ça ?

Loin de moi l'idée de dire du mal de notre président de la République. Toutefois, il faut reconnaître qu'il n'a pas pour réputation d'être fin gastronome. Ce rôle avait déjà été pris par un précédent président. Pas le Corrézien amateur de bière immonde et de mangeailles canailles, un autre. Je ne connais pas personnellement notre président Sarkozy et m'avance peut-être un peu. Il est possible, après tout, qu'il ait un palais très fin et qu'il adore plus que tout les plaisirs de la table. Je dis juste que ce n'est pas ce que l'on dit dans les rumeurs diverses auxquelles j'ai pu, à mon corps défendant, prêter une oreille inattentive.
Il n'en reste pas moins que ce serait ce président Sarkozy qui aurait œuvré afin que la gastronomie française gagne sa place au panthéon du patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. Et il a gagné aussi sûrement que face aux grévistes. Maintenant, quant à savoir pourquoi il a voulu cela et ce que cela va bien pouvoir amener, c'est une autre chose.

Tout d'abord, quitte à vous décevoir beaucoup, il faut que vous sachiez que cette nomination ne signifie en rien une reconnaissance de la gastronomie française comme la meilleure des gastronomies en cours sur Terre et aux confins de la constellation la plus lointaine de l'univers. Pas du tout. En fait, ce n'est pas la cuisine française qui est distinguée mais "le repas gastronomique des Français". Nuance. Ainsi, l'UNESCO indique que ce repas est "une pratique sociale coutumière destinée à célébrer les moments les plus importants de la vie des individus et des groupes". Nulle mention de la qualité des plats ou de la façon de les préparer.
Si l'on en croit les Français eux-mêmes, leur cuisine est la meilleure du monde. C'est sans doute la raison pour laquelle ils sont si nombreux à donner le couscous et la pizza pour les plats qu'ils préfèrent. Il est vrai que longtemps la France a été considérée comme un pays où l'on mange bien. Je le pense et, au risque d'être taxé de chauvinisme, je pense que les meilleurs plats sont français. Je reconnais ne pas connaître les cuisines étrangères aussi bien que celle de chez nous. Cependant, il faut reconnaître que l'une des qualités de la cuisine française est de ne pas hésiter à aller puiser ailleurs des idées et de les faire siennes. Le Français aime manger et boire. Le Français aime à parler cuisine en mangeant et aime tout autant parler de ce qu'il pourra manger au prochain repas la bouche pleine. En cela, c'est vrai que l'on peut parler de culture de la bouffe pour la France.
A force d'avoir voulu régner en maître incontestable sur la cuisine, la France s'est faite des ennemis et de grandes cuisines sont apparues hors des frontières. Aujourd'hui, on prétend qu'il faut aller en Espagne ou en Angleterre pour bien manger. Ce doit être une blague. Je ne suis jamais beaucoup sorti de chez moi mais je ne me souviens pas avoir bien mangé en Angleterre, en Allemagne ou en Italie. Je dois à la vérité de dire que je n'ai jamais aussi mal mangé qu'en France. Chez moi en particulier et chez les autres en général.

gastronomie française

vendredi 19 novembre 2010

Au crayon

Aujourd'hui, j'ai commencé un dessin. Il n'est pas terminé et je ne sais s'il le sera. On verra.

bombe

jeudi 18 novembre 2010

C'est déjà noël

Dans un peu plus d'un mois, sonnez hautbois, résonnez musette, ce sera Noël.

noël

mercredi 17 novembre 2010

Je dessine

Puisque j'ai un dessin à faire, je dessine. J'ai commencé le dessin en début d'après-midi et je suis en train de le terminer.

J'ai un moment espéré le terminer ce soir, ce dessin. J'aurais alors pu l'envoyer et vous le montrer. Il ne sera sans doute pas terminé avant que je décide d'aller me coucher. Je vous le montrerai peut-être demain.
Ce matin, lorsque je me suis levé, il faisait 8° dans la maison. Ce n'était pas trop chaud. Je suis parti au boulot et le premier travail qui m'a occupé, lorsque je suis revenu chez moi, a été d'allumer un feu dans la cheminée. Ce soir, si j'en crois mon thermomètre préféré, il fait 13° à environ quatre mètres de la cheminée. Moi, vu que je ne suis assis qu'à environ deux mètres du feu, je me sens bien. Je n'ai pas trop chaud mais je n'ai pas froid. Disons qu'il doit faire un petit 15°. L'encre ne gèle pas, c'est bon signe.
Avec tout ça, si je ne consomme pas le fuel que je n'ai pas encore fait livrer, je consomme le bois que j'ai acheté. J'ai bien dû brûler une moitié de stère, je pense. Je ne ferai pas l'hiver avec ce qui reste. Remarquez, l'hiver, on n'y est pas encore.

mardi 16 novembre 2010

Journée

Je ne prends pas beaucoup de temps pour le blog, ces temps-ci.

Ce matin, je me suis réveillé à 4h12 précises. Je le sais parce que lorsque je me suis réveillé, j'ai regardé l'heure que donnait le radio-réveil. Je me souviens très bien m'être dit qu'il était un peu tôt pour se lever et avoir essayé de me rendormir jusqu'à au moins 4h34, heure à laquelle je me suis décidé à aller dans la cuisine pour appuyer sur le bouton de mise en route de la cafetière. La cafetière était prête à faire feu à 6 heures parce qu'elle est réglée ainsi, vu qu'elle est programmable et programmée pour me préparer le café afin qu'il soit chaud à mon lever. Je suis revenu au lit et me suis mis sous la couette pour attendre que le café soit passé. J'ai feuilleté une vieille revue en attendant. Ah oui ! Avant de revenir au lit, j'ai pris un bol et une cuillère que j'ai posés sur la table. Je me suis dit qu'ainsi, je n'aurais pas à faire deux allers-retours, un pour apporter le café et l'autre pour apporter le bol et la cuillère. Vous me direz que j'aurais pu prendre un plateau pour mettre tout ce que j'ai à amener et le faire d'un seul coup. Je réponds que ce n'est pas idiot et que je n'y avais pas pensé. Je vais y réfléchir.
J'ai bu mon café et j'ai allumé la radio. Sur France Inter. Je ne reçois pratiquement que France Inter. Quoi que, l'autre jour, j'ai été surpris de recevoir (assez mal) France Culture. J'ai bu mon café et j'ai écouté ce que l'on racontait à la radio. Ce ne devait pas être très intéressant puisque je n'en ai aucun souvenir. Je suis allé aux toilettes et je suis revenu boire du café. J'ai démarré l'ordinateur parce que je n'avais pas grand chose de mieux à faire et j'ai été faire un tour sur Internet. J'ai encore bu du café et enfin, peu après sept heures, je suis parti pour Périgueux.
La journée de travail a été assez tranquille. J'ai dépanné un peu quelques personnes ayant des problèmes avec l'informatique et j'ai imprimé des cartes de vœux. Les machines ont su ménager mes nerfs. Je les en remercie. A la fin de la journée de travail, je suis revenu à Azerat et là, j'ai commencé à me préparer une soupe de légumes que j'ai mangée dès qu'elle a fut prête. Elle était bonne et ça m'a fait du bien.
A présent, parce qu'il ne fait pas très chaud, je vais aller au lit et regarder un film que l'on m'a prêté.

lundi 15 novembre 2010

Constat d'échec

Au boulot, le serveur de télécopies est tombé en panne. J'avoue aujourd'hui baisser les bras.

C'est bien quelque chose que je n'aime pas. Je déteste avoir à reconnaître être arrivé à la limite de mes connaissances. Là, humblement, je le dis : je suis incapable de refaire fonctionner ce PC.
J'ai essayé tout ce que je croyais savoir sur la question. Je suis allé à la pêche aux informations sur Internet et je ne suis arrivé à rien. Le serveur est toujours tout aussi incapable de recevoir une télécopie que d'en envoyer. C'est rageant. Je suppose qu'il y a quelques paramètres étranges à renseigner. Je ne sais lesquels, je ne sais où, je ne puis faire grand chose de plus.
Demain, nous prendrons sans doute la décision de passer par les services (onéreux) de la société éditrice du logiciel. Un technicien œuvrera et, avec de la chance, le serveur refonctionnera. Demain sera un autre jour.

dimanche 14 novembre 2010

Comme un dimanche de novembre

Ce dimanche n'a pas été des plus productifs.

Je m'étais dit que j'allais pouvoir faire un dessin ou deux. J'avais commencé à chercher une idée et j'en avais presque trouvé une, retrouvée dans mon fatras de dessins inaboutis. Je l'ai regardée, cette idée, et je me suis dit qu'elle méritait bien une seconde chance. Alors, j'ai pris un bout de papier et j'ai commencé à dessiner.
Seulement, je ne suis pas allé au bout. Il est possible que je n'avais pas tant envie que cela de dessiner. J'ai remis une bûche dans la cheminée et je suis allé faire la vaisselle.
Après, j'ai lu quelques chapitres et puis j'ai écouté de la musique. Finalement, je me suis lancé dans la remise en état d'un PC. C'est fou le temps que ça peut nécessiter, ces bestioles !
Demain, je reprends le boulot. Pas trop envie. En plus, aujourd'hui il fait bien moche. Il a plu une bonne partie de la journée et il commence à ne pas faire très chaud.

samedi 13 novembre 2010

Interstellar Overdrive

ALà, à l'instant, j'écoute très fort ce sympathique et très frais morceau de Pink Floyd.

Dans le fond, il ne semble pas bien compliqué, ce morceau. Quelques notes qui ne semblent pas très éloignées les unes des autres qui se répètent un peu tout du long du morceau. Remarquez, c'est un peu tout l'album qui paraît relativement simple. C'est peut-être pour cela que je l'aime bien. Il est bien différent des autres albums des Pink Floyd. On le considère comme étant le plus "psychédélique" et on peut songer que Syd Barrett ne buvait pas que le thé que lui préparait sa maman, à Cambridge, ville où il est à la fois né et mouru.
Cet album est l'album de Syd Barrett, celui qui marque les débuts du groupe et restera comme une sorte de mètre étalon bizarre puisque jamais plus les Pink Floyd ne tenteront d'aller vers cette musique bien étrange. Je suppose que les amateurs des Pink Floyd lui donnent une place à part dans la discographie. Celle d'album indispensable que l'on n'écoute moins que les autres.
Je pense que Piper at the Gates of Dawn mèrite d'être écouté à un assez haut niveau sonore pour le savourer comme il faut.
N'empêche que tout cela, c'est bien plus pour parler de quelque chose aujourd'hui. J'étais en panne d'inspiration, je ne savais pas quoi vous raconter, je n'ai rien dessiné. Alors, après tout, pourquoi ne pas vous raconter simplement que j'écoute de la musique ? Hein ? Après tout. Bonne nuit.

vendredi 12 novembre 2010

Escapade bordelaise

Aujourd'hui, je vais à Bordeaux. J'y vais avec mon frangin et on va rencontrer des copains et copines. On va aller au restaurant, on va discuter de choses et d'autres et puis après, si tout se passe bien, on reviendra en Dordogne.

jeudi 11 novembre 2010

Serveur en panne

Parfois, le blog ne fonctionne pas et j'en profite pour faire autre chose.

Hier, à l'heure où je voulais écrire mon billet quotidien, j'ai été fort marri de constater la panne du serveur php de chez Free, mon hébergeur. Je me suis rapidement convaincu que ce n'était pas grave dans la mesure où je n'avais pas tant de révélations importantes à communiquer au vaste monde.
Aujourd'hui, le serveur fonctionne. Cela prouve que, dans notre beau pays de France, certains travaillent de nuit pour que je puisse m'amuser à publier textes, dessins et photos sur un weblogue indigent. Aujourd'hui, nous sommes le 11 novembre. Il y a quatre-vingt-douze ans de cela était signé l'armistice et la "grande guerre", la der des ders, faisait officiellement une pause.
Ce matin, il fait bien gris sur Azerat. Il recommence à ne pas faire bien chaud. Certains prétendent que le mois de novembre est le plus triste des mois de l'année.
Hier, au boulot, j'ai essayé de réinstaller un ensemble de logiciels qui doit permettre de faire fonctionner un serveur de télécopies. Ce serveur a planté il y a un peu plus d'un mois et je n'ai pas réussi à le faire fonctionner de nouveau. Là, j'ai installé un nouveau disque dur pour ne rien toucher à ce qui était déjà installé, j'ai réinstallé un système puis les logiciels. Hélas, il y a tout un tas de paramétrages dont j'ignore tout ou presque. Alors, je suis parti du travail avec le désagréable sentiment d'avoir échoué. Je n'aime pas rester sur un échec, en matière informatique. Le souci, c'est que la société qui nous a vendu et mis en place ce système demande 850 euros hors taxes pour une séance de maintenance à distance et que nous trouvons cela un poil un peu cher. Je me dis pourtant qu'il va sans doute falloir y passer. J'ai pensé à une ou deux nouvelles pistes pour faire fonctionner le serveur. Je ferai une dernière tentative lundi.
Et enfin, depuis hier, les utilisateurs de Snow Leopard peuvent mettre à jour leur système en 10.6.5. Cela ne me concerne que très modérément.

mardi 9 novembre 2010

Pomme de terre

Ce soir, j'avais envie de manger des pommes de terre et de faire un dessin. J'ai conjugué les deux.

Si vous savez dessiner une pomme de terre, vous savez dessiner. J'ai commencé par dessiner une forme patatoïde. Ça a été le plus difficile. Le reste, ce n'est que du remplissage.

monster

lundi 8 novembre 2010

Plomberie élémentaire

Comment un petit truc de rien du tout peut vous occuper durant des dizaines de minutes et, finalement, vous assurer de votre ingénieuse intelligence ?

Hier, dimanche, je me décide à faire la vaisselle de vendredi. Je suis comme ça, moi. Il peut m'arriver alors que l'on ne s'y attend pas le moins du monde d'avoir une subite envie de faire la vaisselle. Samedi, je n'en ai eu l'envie à aucun moment. Donc, je mets en place tout le cérémonial de la vaisselle. Je prends une cuvette, j'y verse un peu de liquide vaisselle, j'ajoute de l'eau chaude puisée directement au robinet (je suis un homme moderne de plain pied ancré dans le 21e siècle) et je commence à placer dans l'eau savonneuse les trucs à laver. D'abord les verres, bols et autres choses pas très sales. Les petites cuillères, aussi, par exemple. Je nettoie tout ce foutoir avec une éponge faite exprès pour cet exercice et je place les ustensiles lavés dans l'évier jusqu'à ce que j'en ai une quantité assez importante pour que j'ai envie de les rincer à l'eau froide (du robinet aussi). Après, je les mets à égoutter. Je poursuis le lavage avec les assiettes, fourchettes, couteaux et autres bidules du genre. Enfin, je m'attaque au gros œuvre, les poêles, casseroles et autres phénomènes de foire vraiment crades.

Une fois tout lavé, je donne un dernier coup d'œil circulaire dans la cuisine pour m'assurer de n'avoir rien oublié et, si tel est le cas, je vide la cuvette de son eau crasseuse dans l'évier. Je contemple avec fierté le résultat de mon travail et je passe à autre chose. Par exemple, je peux être pris d'une envie irrépressible de me mettre un doigt dans le nez pour en sortir un truc rigolo comme tout.
Enfin bref. Nous étions dimanche matin et je venais de terminer ma vaisselle du vendredi (et peut-être un peu aussi du jeudi). Je me saisis de la cuvette et j'en renverse le contenu. Le conduit d'évacuation fait un bruit sympathique de succion, l'eau s'écoule en formant un vortex de toute splendeur. Et puis, plus rien. L'eau stagne. Elle reste là, dans le fond de l'évier sur une épaisseur de quelques centimètres. Quoi donc ? Qu'est-ce que c'est ? Serait-ce bouché en quelque part ?
Je vous explique. L'évier de la cuisine a été installé assez bizarrement, à l'ancienne, sans siphon. Il n'y a qu'un malheureux tuyau qui forme un coude délicat et s'enfonce dans les profondeurs de ma cave. A l'origine, cet évier est muni d'une sorte de pièce métallique chargée à la fois d'empêcher les "gros morceaux" d'être avalés et de faire office de siphon sommaire. Seulement — est-il mal adapté ? — il empêche le bon écoulement des fluides dans les tuyaux et ça m'agace. Aussi ne l'utilise-je point. Dès lors, on le comprend aisément, il peut arriver que quelque épluchure ou certain relief d'un bon repas soient attirés par cette voie de sortie et qu'en tentant de s'échapper, ils viennent boucher le tuyau. Alors, j'ai l'arme absolue. Un bout de bois que j'ai toujours à portée de main et qui me permet de faire sauter le bouchon indélicat. Sauf que cette fois-ci, pour la première fois, le bâton ne fut d'aucun secours.
Je me pose pour réfléchir. J'observe l'évier et l'eau stagnante à la recherche de ce qui peut causer ce désagrément. Et d'un coup, je trouve l'explication. En faisant la vaisselle, j'ai aussi utilisé un tampon gratteur vert qui me sert le cas échéant à décrotter les machins ou les trucs trop sales. Et là, vous me croirez si vous le voulez, je ne le retrouve pas. Vous pariez combien que c'est lui qui est parti dans le conduit ?
Alors, je descends dans mon sous-sol à la recherche d'un outil magique. Je trouve un rouleau de fil de fer, en coupe un long morceau et revient à la charge. A force de l'enfoncer, de remuer, de touiller, l'eau finit par s'en aller. Parce que j'ai autre chose à faire, j'en reste là.
Ce soir, je rentre du boulot et je fais couler de l'eau pour voir où en est cette affaire délicate. En fait et contre toute espérance, c'est toujours bouché. Je reprends mon bout de fil de fer, fait une sorte de crochet à l'une de ses extrémités et recommence à farfouiller dans les tréfonds des canalisations. Je bataille dur pendant de longues minutes jusqu'à ce que je parvienne à faire remonter le tampon gratteur vert. Victoire ! De rage, je l'envoie directement à la poubelle. Saleté.

dimanche 7 novembre 2010

La Peste, elle invente le Rock n'Roll

peste

samedi 6 novembre 2010

Poule au pot

C'est mon frangin qui m'a encore mis à contribution pour un dessin. J'ai fait un truc vite fait ce matin avant d'aller chercher le pain.

poule au pot

vendredi 5 novembre 2010

Bout de dessin

L'autre jour, j'ai commencé un dessin. Il n'est pas terminé. Le sera-t-il seulement un jour ?

Souvent, je commence un dessin sans savoir où je vais. C'est le cas pour celui-ci. En attendant de savoir où il va me mener, je vous en montre un fragment.

mec

jeudi 4 novembre 2010

Sot angliche

Je vous disais naguère m'essayer au dessinage de choses en rapport avec la perfide Albion.

2cv-land

mercredi 3 novembre 2010

Exercice périlleux

Ce soir, après trois vodka polonaises, j'entreprends de rédiger ce billet quotidien qui ne parlera pas plus que cela de Pologne.

J'étais parti sur d'autres dessins. J'avais déjà dessiné un bobby et un punk et avais commencé un dessin que je vous montrerai peut-être demain. On m'avait demandé, par voie fraternelle interposée, de dessiner quelque chose ayant trait à l'Angleterre pour le fils de la sœur de l'épouse de mon grand-frère. Hier soir, ce gamin est venu avec son petit frère s'enquérir de l'avancée des travaux. Je lui recommandais alors de venir cet après-midi.
Aujourd'hui, revenu de Périgueux depuis peu, je me suis mis au dessin. J'ai fait un dessin qui vaut ce qu'il vaut sur le thème proposé et je me suis amusé à finir celui débuté auparavant que vous verrez peut-être demain. Dans l'après-midi, le gamin est venu chercher son dessin en compagnie de ma nièce et de son frère. A son air un peu perplexe, je n'ai pas compris s'il le satisfaisait ou non. Peu m'importe, au fond. J'ai fait mon dessin.

english

Dans la soirée, j'ai eu une visite qui m'a donnée l'occasion de sortir la bouteille de vodka "Żubrówka" du congélateur. Il en restait juste assez pour que nous puissions en boire trois (petits) verres chacun. Cela m'a fait penser que j'aimais bien le goût de cette vodka et qu'il m'en faudra acheter de nouveau prochainement.
Et puisque l'on parle d'emplettes, je suis aussi en ce moment en train de réfléchir à l'achat prochain d'un iMac tout neuf... Je ne parviens pas à franchir le pas et pourtant ce n'est ni l'envie ni le besoin qui manquent.

mardi 2 novembre 2010

Obama dans les choux ?

Notre vénéré président à nous qu'on a, il sait pourquoi Obama se trouve dans une situation délicate. Il l'explique en exclusivité pour le Blog qui nuit grave !

sarkozy

lundi 1 novembre 2010

Jour férié

Aujourd'hui, je n'ai pas travaillé. Alors, la semaine ne va pas me sembler trop longue. Vivement ce week-end.

Aujourd'hui, j'ai dessiné. Des dessins sur le thème de l'Angleterre, comme je vous disais hier. J'en ai fait trois dont deux encrés. Je n'en suis pas spécialement satisfaits. Sauf peut-être un qui peut être considéré comme amusant. Le risque, c'est qu'il soit un peu hors sujet. Je ne l'ai pas encré, celui-là.
J'ai aussi dessiné pour juste l'histoire de dessiner. Comme je ne savais pas bien quoi dessiner, j'ai fait un peu n'importe quoi à plusieurs reprises. Il y a bien un dessin qui peut être intéressant si l'on n'est pas trop difficile mais qui n'est pas terminé. D'ailleurs, je ne sais pas si je le terminerai puisque je sais qu'il ne servira à rien.
La nuit est tombée. J'écoute France Inter. J'ai fait chauffer de l'eau pour me préparer des pâtes. Lorsque l'eau sera à bonne température, j'ajouterai du gros sel et les pâtes dès que l'ébullition aura reprise. Mais je ne vais pas vous raconter la recette des pâtes.
Avec les pâtes, j'ai l'intention de me faire une côte de porc. J'hésite à la faire cuire dans la cheminée. D'un côté, ça permet d'économiser le gaz, que je me dis. Et puis, c'est plus amusant de faire cuire une côte de porc dans la cheminée que sur une cuisinière à gaz, avouez.
Sans doute est-ce dû aux températures assez douces, il y a plein de mouches, ces temps-ci. Un moment, j'ai cru que c'était peut-être dû à un certain laisser-aller chez moi. C'eût été possible. Je ne suis pas un fou furieux, en matière d'hygiène. Mais non, contre toute attente, les mouches sont aussi chez les autres. A moins qu'elles ne me suivent.

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