janvier 2011 (31)

lundi 31 janvier 2011

Fin du Xserve

Près de huit ans après son lancement, Apple abandonne le Xserve aujourd'hui.

Le Xserve, c'est le serveur vu par Apple. Une machine qui a été conçue comme sait les concevoir Apple. C'est bien fini, c'est fiable, ça tourne bien. En fin d'année dernière, Steve Jobs annonçait l'abandon de ces machines au motif que presque personne ne les achetait. Il faut dire que ce ne sont pas des machines destinées au grand public.
Le souci, c'est qu'une fois de plus, Apple prend une décision qui laisse les utilisateurs dans l'embarras. Il doit y avoir un bon paquet d'administrateurs informatiques qui doivent avoir un peu de mal à expliquer à leur direction que l'idée de choisir les solutions serveur de Apple n'étaient peut-être pas si judicieuses que ça. A terme, la crainte est de voir disparaître la version serveur du système, Mac OS X Server.
Pour ma part, j'aurais bien aimé que nous investissions dans un Xserve, au boulot. Un peu cher pour nous vu ce que l'on aurait pu en faire. Je regrette tout de même cette décision de Apple. On attend aujourd'hui même ce que l'on présente comme une solution de repli sur quelques forums consacrés au Macintosh. Aujourd'hui à 15 heures heure française, la société Active Storage devrait présenter quelque chose. Quoi ? Oncques ne sait pas trop. On le saura bientôt.
En attendant, on peut encore acheter le Xserve sur le site Apple et on peut même bénéficier d'un plan de financement à long terme.

Xserve

dimanche 30 janvier 2011

Itaru Oki, Cappozzo ok

Si vous aviez été de passage par Tulle, vous auriez pu assister à un concert de Itaru Oki et Jean-Luc Cappozzo et vous auriez passé un chouette bon moment.

Itaru Oki est né à Suma-Ku, Kobe, Hyogo au Japon le 10 septembre 1941 dans une famille de musiciens traditionnels. C'est ce que je lis sur le dépliant mis à disposition du public.
Jean-Luc Cappozzo est né en 1954 à Belfort, France. Bon.

Ces deux là, Itaru Oki et Jean-Luc Cappozzo, étaient en concert dans le cadre du festival "du Bleu en hiver - Jazzs en tête à Tulle, Corrèze, France aussi.
Cappozzo et Oki sont trompettistes et buglistes. Ce concert démarrait à midi au théâtre de Tulle. La salle était pleine. Le concert a été un délice de léger délire musical et d'humour. Une complicité non feinte animait le jeu des deux musiciens. Plus qu'un concert, c'était un spectacle dans lequel les musiciens n'étaient pas les seules vedettes.
En plus d'être musicien, Itaru Oki est facteur d'instruments. De trompettes, en particulier. Ses instruments, il se les fabrique lui-même, d'une bien étrange façon comme vous pouvez le voir sur les photos.

itaru oki

Jean-Luc Cappozzo

On dit qu'il en aurait une collection de plus de deux cents dont une à trois pavillons.
Alors évidemment, on se dit que ce n'est pas tout de concevoir des instruments de foire et que l'on aimerait tout de même bien un peu entendre le son qu'ils peuvent produire. Et Itaru Oki, puisqu'il est aussi un peu venu pour cela, il souffle dans ses bugles et trompettes (lorsque ce n'est pas dans un tuyau de gaz) pour nous faire entendre sa manière de musiquer.

Jean-Luc Cappozzo

itaru oki

Jean-Luc Cappozzo, s'il utilise des instruments bien plus académiques, n'est pas en reste question de s'amuser à souffler. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à un numéro de clowns. Le clown blanc, Cappozzo, sérieux avec sa trompette "normale" et Oki, l'Auguste, avec ses trompettes tordues et protéiformes. Et alors ils vont se répondre au nom de la liberté d'expression des notes musicales. Note contre note, effet contre effet, la musique naît du chaos pas si mal orchestré. On peut tout aussi bien supposer que l'improvisation est partout présente comme penser que tout est écrit. L'histoire ne le dit pas explicitement.

itaru oki

Jean-Luc Cappozzo

C'est comme de savoir si cette musique est du Jazz ou n'en est pas. Je n'ai pas la réponse. Il est indéniable que l'on y trouve des influences Jazz. Pour autant, la place laissée à l'expérimentation semble bien présente aussi. Souvent, les sons, la recherche de sons, prend le pas sur la production de notes. C'est là un léger souffle, là un sifflement tenu, là un barrissement pachydermique.
Moi, je ne sais pas parler de musique. Je n'ai pas les compétences pour le faire, je n'y connais rien. Ce que je peux juste dire, c'est que ça vaut le coup (ô combien) d'entendre les deux compères jouer. S'ils passent par chez vous, n'hésitez pas.

samedi 29 janvier 2011

Travailler pour le plaisir

Le monde moderne est une invention fantastique.

Il arrive parfois que l'on me passe commande de travaux. Souvent, on me fait comprendre qu'il serait très sympathique de ma part de travailler pour l'honneur, au nom de l'amitié, gratuitement. De temps en temps, il me semble comprendre que l'on pourrait être prêt à me rémunérer si vraiment j'insistais.
Il est arrivé que l'on m'a demandé de réaliser un document publicitaire il y a quelques mois. Je l'ai fait, la maquette a été validée et acceptée. Les fichiers ont été livrés et j'ai envoyé ma facture dans la foulée. Elle n'était même pas très élevée au vue des heures passées. Bien.
Depuis, j'ai appris que le document publicitaire avait été imprimé et distribué. J'ai aussi appris que cela donnait bien des satisfactions à mon client. Satisfait, je suis heureux d'apprendre qu'il l'est.
Il y a juste un petit détail qui me chiffonne, c'est que ce client ne semble pas disposé à régler la facture. Lors de la réalisation du document, il ne manquait pas de m'assommer avec des courriers électroniques pour me faire part de chacune de ses nouvelles idées ou pour me faire changer un détail. Depuis qu'il est satisfait, il ne doit plus avoir de connexion Internet. Je ne reçois plus de courrier électronique de sa part et il n'est plus en mesure de répondre aux miens.

Je pense qu'un jour, si j'ai à passer pas trop loin de chez lui, je lui rendrai visite histoire de discuter de choses et d'autres.

facture

Ce client n'est pas le seul dans son cas. C'est amusant de voir combien de fois j'ai l'impression que l'on me fait une faveur en me demandant un dessin ou une séance de maintenance informatique ou un travail de mise en pages ou un bout de site Internet. Les gens doivent penser que je risque de m'ennuyer et qu'ils sont bien gentils de me fournir de quoi m'occuper un peu. Je pense qu'il y a une sorte de méprise. Ce n'est pas parce que je peux prendre du plaisir à faire quelque chose que je me sens obligé de le faire sans contrepartie. Je vais revoir ma façon d'expliquer ma vision des choses.

vendredi 28 janvier 2011

Dessin frais

pas beau laid

jeudi 27 janvier 2011

Chose promise, chose due

Tenir ses engagements, faire ce que l'on a dit que l'on allait faire, respecter les promesses faites et faire grand cas de la parole donnée, voilà une vraie et belle qualité. Hier, je disais qu'il n'y aurait rien sur le blog ce jeudi. Aujourd'hui, nous sommes jeudi. Vous devriez vous attendre qu'il n'y ait rien mais force est de constater qu'il y a quelque chose. Au moment où j'écris ces lignes, c'est vrai, il n'y a encore rien. Cependant, il ne devrait pas se passer bien long temps avant qu'il y ait.
Alors quoi ? Serait-ce que je ne tiendrais pas parole ? Au risque de vous décevoir, je dois répondre par l'affirmative. Effectivement, je ne suis pas une personne de parole. Je peux très bien (mais alors vraiment très bien et sans aucun état d'âme) prétendre quelque chose et, dans le même temps, faire son opposé. Du reste, et histoire de bien vous montrer ma mauvaise foi, j'affirme avoir le droit de faire comme bon me semble sans avoir à vous rendre compte de quoi que ce soit. C'est qui le chef, ici ?
Si j'ai plus ou moins essayé de dessiner quelque chose hier, ce ne fut pas le cas aujourd'hui. Entre un site sur lequel j'essaie de travailler à temps perdu, le ménage, la vaisselle et la recherche de quelque papier important (que je n'ai pas trouvé dans mon bazar), je n'ai pas eu le temps de dessiner. Pourtant, j'ai une idée de dessin. Je vais essayer de ne pas perdre cette idée.
Mais le problème n'est pas si simple à résoudre qu'il peut y paraître de prime abord. Décider de ne pas tenir parole implique que l'on doit s'appliquer à faire autrement que ce que l'on avait promis et, du coup, être parfois amené à aller contre son envie du moment. Ainsi, ce soir, je n'ai pas envie d'écrire pour le blog. Je n'ai rien à dire, je n'ai pas envie de vous raconter tout ce que j'avais plus ou moins l'intention de faire et que je n'ai pas fait, je n'ai pas de dessin "vite fait" à vous donner à voir pour calmer votre insatiable appétit, pas d'idée d'histoire à vous proposer. Je joue la carte de la facilité en faisant du remplissage et en écrivant un peu n'importe quoi, au fur et à mesure que les mots arrivent sur les touches du clavier. Aucune idée préconçue, on fait dans l'écriture automatique. Ça suffira bien.
Le fait de chercher ce papier introuvable m'a conduit à faire du classement et un peu de "rangement". J'ai une idée toute personnelle du rangement, je dois dire. Pour moi, est rangé ce qui est à peu près empilé avec un semblant de logique. C'est très approximatif et laisse libre cours au n'importe quoi. Par exemple, un savant tas de papiers posé sur un bord d'étagère branlante en attente d'un tri plus approfondi est pour moi un pas important dans le classement et le rangement. Il me semble que le fait de jeter des papiers dans la cheminée est le plus ultime des actes de rangement. Je sais que ces papiers pourront être brûlés un jour. Rien ne presse. Le déplacement d'objets, d'un tas à un autre tas, est une technique que j'utilise beaucoup. En fait, libérer de la place en un endroit pour en encombrer un autre, c'est là où j'en suis réduit. A chaque fois, je conçois de ces exercices une sorte de dépit propre à me faire baisser les bras rapidement. Je pense préférer chercher un objet perdu quelque part plutôt que de ranger. Je suis très bordélique et cela fait ma fierté.

"Et alors ? Allez-vous me demander. Qu'est-ce que l'on en a à foutre de tes histoires ?".

C'est vrai que je n'ai pas votre chance insolente de pouvoir fréquenter ce blog comme un simple lecteur. Vous pouvez pas savoir ce que j'aimerais pouvoir découvrir mes dessins, mes écrits d'un œil neuf et frais. Peut-être j'aimerais bien, peut-être que non. Je ne peux pas savoir.
Ce soir, je vais regarder un film de Lars von Trier que m'a prêté mon frangin. C'est "Anti Christ", un film qui, semble-t-il, ne laisse pas indifférent. Descendu en flammes par certains critiques, il a été apprécié par d'autres. Je vais me faire mon opinion par moi-même et vous souhaite une bonne nuit.

mercredi 26 janvier 2011

Jeudi : rien

Alors, je dis rien et c'est tout. A demain.

mardi 25 janvier 2011

C'est peut-être dû au froid

Je ne souhaite pas l'affirmer avec trop de certitude. Pourtant, je me demande si le froid ne me pousse pas à préférer me préparer à manger plutôt que de vous dessiner une chose. Histoire de, je vous propose un truc tout pourri.

machin

lundi 24 janvier 2011

Lorsque l'on n'a pas grand chose à dire

Rien à dire ? Que faire ? Se taire ? Ne pas commettre de nouveau billet inutile ? Certainement pas !

Lorsque l'on n'a rien à dire, on peut faire un dessin vite fait.

dessin

dimanche 23 janvier 2011

Un dimanche en pure perte

Ce matin, je me suis bien pris la tête avec un truc lié à l'informatique. J'ai comme le sentiment d'avoir dépensé quelques heures de mon temps en pure perte. Rien de ce que j'attendais n'est arrivé et c'est très désagréable. Du coup, ça m'a empêché de terminer le dessin que j'avais commencé. Ce sera pour plus tard.
Cet après-midi, je suis retourné jouer à l'apprenti charpentier-couvreur. Maintenant, je me dis que l'heure est venue d'aller me coucher si je veux être en forme pour ma journée de travail du lundi.

samedi 22 janvier 2011

Si j'étais un charpentier...

...si tu t'appelais Marie...

Aujourd'hui, j'ai joué au charpentier. Charpentier métallique. Il s'agit de monter des bouts de ferrailles, de les boulonner, de les faire tenir les uns aux autres. Très intéressant.
Du coup, je n'ai pas dessiné et je n'ai pas trop réfléchi à ce que je pourrais bien écrire pour le blog qui nuit grave. Tant pis. Demain après-midi, j'y retourne. Le matin, le métal est trop froid. Bonne nuit.

vendredi 21 janvier 2011

Moto du vendredi

moto

jeudi 20 janvier 2011

Temps et html

Aujourd'hui, j'ai bien passé cinq ou six heures à faire quelque chose plutôt qu'à faire autre chose ou rien.

Il en est ainsi du temps qui passe. Souvent, il ne va pas assez vite ; parfois il semble filer à toute berzingue. Aujourd'hui, j'avais plus ou moins caressé l'idée de perdre mon temps d'agréable façon, en dessinant. Et puis, on m'a demandé de plancher sur la réalisation d'un document en html pour un mailing.
Or donc, je me plante devant l'ordinateur et je lance mon éditeur de code html du moment pour concocter un document de base qui va me servir par la suite. Sous Photoshop, je prépare les images de fond et des différents éléments qui doivent apparaître. Ça n'avance pas trop mal.
Lorsque je reçois le courrier électronique qui m'indique plus en profondeur ce que l'on attend de moi, je comprends qu'il me faut tout reprendre à zéro. Faire et défaire, c'est toujours travailler.
Je recommence donc et bataille longuement avec de menus soucis de mise en page. Ce qui est bien avec le html, c'est que l'on est bien obligé de composer avec ce qu'il permet. Mais on arrive souvent peu ou prou à ses fins. Evidemment, on est bien souvent tributaire des spécificités des différents moteurs de rendu. Un site qui "présente bien" sous Safari sur Macintosh sera tout de guingois sous Firefox sur PC. C'est ainsi et ça participe grandement des joies immenses que l'on peut connaître en pratiquant ce sport amusant et distrayant.
Là, je parviens un peu à ce que je veux. Je ne suis pas mécontent. J'envoie tous mes fichiers sur un serveur distant et vérifie que tout fonctionne bien. Alors, je fais un premier test d'envoi de e-mailing. Ça fonctionne. Je balance le truc à mon copain et c'est là que les ennuis commencent. Comment va-t-il donc faire pour envoyer sa campagne de e-mailing ? Diable ! Je repars alors pour quelques heures d'étude de la meilleure des solutions pour lui. Là, je m'aperçois que mon code html ne convient pas trop à l'esprit de Thunderbird. Qu'à cela ne tienne, je retourne au bidouillage de mon code. Et finalement, après force hésitations et approximations (je ne suis pas un professionnel non plus, hein) j'arrive à sortir quelque chose qui tient la route.
Ainsi donc, maintenant il faut que j'explique comment envoyer des courriers électroniques mis en forme en html depuis Thunderbird. Je pense que nous allons y arriver.
Demain, je dessine.

mercredi 19 janvier 2011

Jeu (fin provisoire)

sous marin

mardi 18 janvier 2011

Jeu (partie 3)

Cette fois-ci, vraiment, je pense que vous allez y voir un peu plus clair. Demain, je pense que je vous montrerai le dessin encré.

détail

lundi 17 janvier 2011

Jeu (partie 2)

detail

dimanche 16 janvier 2011

Jeu (partie 1)

Parce que je n'ai pas terminé le dessin sur lequel je m'amuse actuellement, je vous en présente un petit bout. Le but du jeu sera de trouver ce qu'il peut représenter. Si vous ne trouvez pas, je vous montrerai un autre bout prochainement.

detail

samedi 15 janvier 2011

Préparation indicible

En ce moment, mon dada, en matière culinaire, c'est la pâte feuilletée. Ça me passera.

Parfois, je sais pas pour vous mais pour moi, oui, on a des idées de réalisations de recettes qui font penser que l'on a de sérieux problèmes du côté de la cervelle.
Il y a déjà quelque temps de cela, j'ai percé de façon définitive les secrets de la pâte feuilletée et, du coup, je fais de la pâte feuilletée. Le fait que l'on entende trop parler de ces galettes des rois n'y est sans doute pas étranger. Depuis le début de l'année, c'est la deuxième fois que je me prête à l'exercice de la pâte feuilletée. Maintenant que j'ai compris le truc je peux vous le dire, ce n'est pas difficile du tout à réussir. Le tout, c'est de savoir. Ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler le secret. Vous ne le méritez pas vraiment.
Ce soir, je ne savais pas bien quoi me faire à manger. J'avais une idée mais mes frangins m'ont distrait de mes idées avec des histoires de Land Rover qui ne marchait pas comme il fallait. Je suis allé voir le Land et à trois, on a réussi à le faire fonctionner correctement. N'empêche que je suis rentré chez moi un peu tard et que je n'avais plus le courage de me mettre aux fourneaux pour faire ce que j'avais eu l'intention de cuisiner.
Alors, j'ai fait le tri dans mon réfrigérateur entre les trucs encore mangeables et ce qu'il convenait d'écarter si l'on tient à sa santé. Il me restait du boudin noir. Puisque j'avais aussi des oignons, je me suis dit que je pouvais tenter un truc impensable pour utiliser ma pâte feuilletée : une tarte au boudin et aux oignons. Ni plus ni moins.

tarte au boudin

Or donc, vous prenez deux gros oignons que vous coupez en fines lamelles et que vous faites revenir dans de l'huile d'olive. Vous coupez votre boudin noir que vous ajoutez aux oignons pour dix petites minutes (je n'ai pas chronométré exactement). Vous abaissez votre pâte feuilletée sur une tôle beurrée et vous disposez harmonieusement vos oignons et votre boudin sur la pâte. Vous enfournez dans un four préchauffé (bien chaud) et vous laissez cuire le temps qu'il faut. Ça vous donne un plat d'une exquise finesse dont je me suis bien régalé (bien plus que je l'espérais).

J'avais plutôt prévu de vous montrer un dessin

Pour vous dire la vérité, j'avais prévu de vous montrer un dessin, aujourd'hui. En raison de raisons, je ne l'ai pas terminé. Il sera peut-être pour demain.

vendredi 14 janvier 2011

Bout de papier du vendredi

Des dessins que j'ai commencés aujourd'hui, vous en verrez peut-être quelques uns un jour.

véhicule

jeudi 13 janvier 2011

Romantisme toujours

Aujourd'hui, j'ai perdu mon temps à faire un dessin plutôt que de faire un dessin. Je suis dégoûté.

Je voulais vraiment faire ce dessin dont je vous parlais. Au lieu de ça, j'ai fait un dessin à l'eau de rose, bouffi de romantisme. J'ai honte de moi.

cupidon

mercredi 12 janvier 2011

Désolé, ça marche pas

Ce soir, en écoutant une émouvante émission consacrée à Théodore Monod sur France Inter, j'ai essayé de faire un petit dessin sans prétention pour le blog. Hélas, tête vide et main désobéissante ont fait que je n'y suis pas parvenu. J'espère que demain sera plus productif.

mardi 11 janvier 2011

Un peu de tout en forme de rien

Ce soir, j'ai sorti les poubelles. C'est mardi.

Toujours pas de dessin. Aujourd'hui a été une journée globalement ennuyeuse. Je n'ai pas fait grand chose d'intéressant. J'ai remis une machine en état de marche et puis j'ai un peu glandé. J'aurais pu prendre le temps de dessiner mais je ne l'ai pas fait.
Demain, je n'aurai pas le temps de dessiner. Il me faudra attendre jeudi. Vendredi, je vais aider un copain à monter une charpente métallique. Ça va être amusant, je pense. J'adore toucher le métal froid sous la pluie !
Sinon, rien de bien neuf. Il a beaucoup plu sur Périgueux et les soldes débutent demain, m'a-t-on dit dans le poste. Bonne nuit.

lundi 10 janvier 2011

Maladie mentale

Ce soir, en rentrant du boulot, je me suis attelé à un dessin que j'ai en tête depuis quelques jours.

Je suis inquiet. Ce qu'il m'arrive depuis quelques jours est de nature à faire naître un trouble désagréable chez moi. Alors que je m'étais habitué à avoir un cerveau vide, je m'aperçois que je fais des rêves idiots dont je me souviens et, pire encore, que j'ai des idées de dessins totalement farfelus. Cette dernière idée de dessin farfelu que j'ai en tête m'obsède au point que je pense le finir un jour. Pour le moment, je mets mes idées sur le papier. L'idée qui conduira sans doute à la réalisation de ce dessin ne manque pas de me faire me poser des questions. D'où peut-elle bien venir ?
Je suppose qu'elle est arrivée par association d'idées, par juxtaposition de choses lues ou entendues. Au départ, ce n'est même pas vraiment une idée. Plutôt une envie de faire quelque chose avec quelques éléments que j'aimerais associer pour faire un dessin. Je ne sais vraiment pas ce qu'il peut en sortir. Et puis, ça commence à se préciser. D'un coup, je me dis que je pourrais faire ceci et puis cela. Je suis au boulot et j'attrape un bout de papier qui traîne pour griffonner quelques fragments d'idées. Ça commence à prendre forme. Ce soir, j'ai pris un autre bout de papier et j'ai recommencé à travailler sur cette idée. Il me manque encore des éléments mais il me semble qu'ils vont arriver. Bizarre. Je vous montrerai cela un de ces quatres.

Aujourd'hui, j'ai joué à un jeu auquel je n'avais pas joué depuis longtemps, au boulot. Il s'agit de faire fonctionner une adresseuse. C'est une grosse imprimante à jet d'encre qui permet d'écrire des adresses sur des enveloppes (ou sur autre chose) à une vitesse phénoménale. On peut atteindre les 6000 enveloppes à l'heure. Enfin, lorsque ça fonctionne correctement, bien entendu. Cette adresseuse, pour tout vous dire, je ne l'avais pas touchée depuis bien trois ans. Elle fonctionne avec un logiciel qui demande à être activé pour pouvoir l'utiliser sur une durée de plus de 30 jours. Le PC sur lequel il était installé a eu un problème de Windows. J'ai essayé de réparer le système d'exploitation et puis ça m'a lassé. J'ai formaté le disque et tout réinstallé. Le souci, c'est qu'il faut réinstaller le logiciel complètement tous les mois si on souhaite l'utiliser. Ce n'est pas très pratique.
L'adresseuse, donc, était complètement déréglée. Les buses des cartouches d'encre étaient sèches et j'ai passé une bonne partie de la matinée à remettre tout cela en marche. En début d'après-midi, j'ai commencé à faire les adressages. Ça n'a pas trop mal marché et en moins de temps que je le craignais, les 2500 enveloppes étaient prêtes à partir pour l'affranchissement.

dimanche 9 janvier 2011

Poussinou d'hiver

Hier soir, un poussinou, un beau poussinou périgourdin, est passé par ma cheminée.

Pour faire un poussinou à la cheminée, il faut du temps. Pour commencer, vous allumez le feu dans la cheminée. Vous commencez vers 16 heures. Au bout de trois heures vous avez plein de belles braises et c'est à ce moment que vous embrochez le poussinou avant de le présenter devant l'âtre pour deux heures de cuisson. Vous n'oubliez pas de l'arroser régulièrement.

poulet

Ce poussinou était plein d'une bonne farce faite de boudin blanc, de cher chair à saucisse, de foie gras et d'un peu de Maury. Il était tout à fait excellent, je vous l'assure.

samedi 8 janvier 2011

Queue d'Hâle

et c'est comme ça.

vendredi 7 janvier 2011

Le chat et la souris

chat souris

jeudi 6 janvier 2011

[MAJ] Hyper craignos

Ce matin, je me lève d'une humeur raisonnablement bonne et me prépare un bon litre de bon café bien fort.

Il est un peu plus de neuf heures lorsque le téléphone sonne. C'est un collègue de travail qui m'appelle pour me dire que plus rien ne va avec les ordinateurs. Plus de connexion Internet, plus d'accès aux fichiers et dossiers du serveur. C'est la catastrophe et il serait bien vu que je bouge mon cul plus vite que ça pour venir bosser et réparer tout ce bazar.
J'ai plein de défauts. Il y en a un dont j'aimerais assez me débarrasser, c'est le sens du devoir.
Le temps de finir mon café déjà froid, je saute dans la voiture et j'arrive à Périgueux un peu après dix heures. Je vais aux nouvelles. On m'informe que Internet est revenu après plusieurs redémarrages du serveur. Il reste le problème du serveur de fichiers qui est en rade.
Pour conserver toutes les données, nous utilisons plusieurs disques durs paramétrés en RAID 5. Rapidement, je comprends que c'est l'un de ces disques durs qui est en cause. Et là, c'est une journée pénible qui commence.
D'abord, il faut identifier le disque malade et là, j'ai du mal. Les messages qui peuvent s'afficher sur le serveur ne sont pas des plus explicites. Je crois comprendre que c'est le disque 2. Bien. C'est lequel, le disque 2 ? Celui-ci ou celui-là ? On va dire que c'est celui-ci. Je cherche un disque dur neuf dans la réserve et l'installe dans le berceau de disque en remplacement de celui qui pourrait être malade. Je lance la reconstruction du système RAID et là j'attends trois bonnes heures pour arriver à un message d'erreur.
Mince. Alors peut-être que le disque 2 n'était pas celui-ci. Je remets le disque enlevé à sa place et remplace le disque 3 (qui doit être le 2) par le disque neuf. Je relance une réparation et attends encore. La réparation promet d'être bien longue. Je finis par partir en laissant la réparation s'effectuer.
Je saurai demain si on a perdu des données ou non. Ce que j'espère, c'est qu'il n'y a pas deux disques de malades. Dans ce cas, c'est sûr, des données seront perdues et il faudra faire la chasse aux DVD pour en retrouver une partie. Ce n'est pas drôle tous les jours, l'informatique.

La catastrophe a eu lieu. La réparation n'a pas fonctionné et il semble dès à présent acquis que les données sont perdues.

mercredi 5 janvier 2011

Ça s'annonce mal

Pas de dessin et aucune idée de ce que je pourrais bien vous raconter.

Je ne vais pas vous reparler de la souris. Elle n'est pas revenue. Vous parler de chat ? Je n'en ai pas. Non. Je ne vais pas vous parler d'animaux. Pas d'animaux, pas d'informatique, pas de mon idiot de patron, pas de travail, pas de dessin. Rien. Je ne vais vous parler de rien. Ce n'est pas grand chose.
En rentrant du boulot, je me suis arrêté faire quelques courses parce qu'il faut bien manger un peu, de temps en temps. Je me suis dit, en voyant toutes les promotions (parfois 50%) sur les mets de fêtes, qu'il ne serait finalement pas idiot pour le porte-monnaie de fêter Noël et le premier de l'an en retard. Il suffit de quelques jours pour que ces fêtes soient alors tout à fait abordables (ou presque). Le saumon fumé, les oies à rôtir et les autres volailles étaient bradés. Bien entendu, pas de promotions sur le Champagne, les vins et tout ce qui peut être rangé dans les rayons en attente des fêtes prochaines mais tout de même, je pense que l'idée mérite d'être creusée.
Et puis, sait-on jamais, si l'idée a une bonne audience et qu'elle fonctionne au-delà de toutes mes plus folles espérances, il suffira de repousser les dates festives un peu plus loin chaque année. Ainsi, forcément, on retombera sur nos pattes un jour ou l'autre, avec un Noël après la Toussaint et un premier de l'an avant Pâques !

mardi 4 janvier 2011

Une souris dans mon lit ?

Cette nuit, vers 3 heures, je me suis réveillé. Je n'étais pas seul dans mon lit. Enfin... je n'en suis pas très sûr.

C'est très bizarre. Je me réveille et dans mon souvenir, je me réveille parce qu'une souris est en train de grignoter quelque chose à proximité. Je bouge une main et je crois toucher quelque chose qui me semble être une souris. Celle-ci me mord le bout d'un doigt.
Maintenant, je suis bien réveillé. J'allume la lumière, je regarde sous l'oreiller, pas de souris. Je regarde mon doigt, pas de trace de morsure. Je me lève pour boire un grand verre d'eau et je reviens au lit. Pour l'heure, je suis persuadé qu'il y avait bien une souris et que c'est elle qui m'a réveillé. Je prends un bouquin et je lis quelques pages. Je sais que je ne vais pas réussir à me rendormir facilement. Il est un peu plus de quatre heures et je décide d'essayer de dormir. J'y arrive plus ou moins. Je somnole plus que je dors.
Le radio réveil m'indique qu'il est l'heure de me lever. Je suis fatigué. Je glisse les jambes hors du lit, enfile un jeans, une chemise et me dirige vers la cuisine pour aller chercher le café.
Devant mon bol, je commence à me demander si la souris a existé ou pas. Etrange sensation, assez désagréable. Objectivement, il n'y a aucune trace tangible du passage d'une souris sous mon oreiller. Dans l'absolu, on ne peut pas exclure qu'une souris soit réellement présente dans ma maison. Le fait que je n'en ai jamais vu ici ne prouve pas grand chose. Je me serais réveillé avec l'idée qu'un rhinocéros était sous mon oreiller, ce serait bien plus simple.
Hier soir, je n'ai pas usé de substances illicites, drogues hallucinogènes ou produits psychotropes. Rien. J'ai mangé du riz et j'ai bu de l'eau. Alors, j'en suis ce soir à me demander si j'ai été victime d'un simple rêve. Je ne peux pas répondre et ça m'agace beaucoup.

lundi 3 janvier 2011

Critique musicale raisonnée

Je cherchais un sujet intéressant pour nourrir ce blog et j'écoutais de la musique.

Depuis quelques jours, j'écoute du Johann Sebastian Bach. En ce moment, ce sont les Concertos Brandebourgeois qui ont ma préférence. J'aime beaucoup Bach. Seulement, j'aime aussi beaucoup Beethoven. Alors, j'ai eu l'idée d'écouter du Beethoven, la 9ème symphonie. C'est beau. J'adore. Et là, bien entendu, je me suis demandé si Mozart était à la hauteur de ces deux là et j'ai écouté du Mozart. Je me suis dit que c'était là aussi quelque chose de joli et gentillet.
Mais avouons-le, tout cela est bien loin d'égaler les Ramones.

dimanche 2 janvier 2011

Valorisation des déchets

Pour cette nouvelle année, j'ai pris la résolution bonne, ferme et irrévocable d'œuvrer d'arrache-pied à la valorisation de mes déchets.

Vous cassez une ampoule, même pas "basse consommation". Que faire pour valoriser ce qui est désormais un déchet ? Vous en faites une photographie. A bientôt pour d'autres idées lumineuses.

ampoule

samedi 1 janvier 2011

Sacrifions...

bonne année

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