Ça s'annonce mal

Pas de dessin et aucune idée de ce que je pourrais bien vous raconter.

Je ne vais pas vous reparler de la souris. Elle n'est pas revenue. Vous parler de chat ? Je n'en ai pas. Non. Je ne vais pas vous parler d'animaux. Pas d'animaux, pas d'informatique, pas de mon idiot de patron, pas de travail, pas de dessin. Rien. Je ne vais vous parler de rien. Ce n'est pas grand chose.
En rentrant du boulot, je me suis arrêté faire quelques courses parce qu'il faut bien manger un peu, de temps en temps. Je me suis dit, en voyant toutes les promotions (parfois 50%) sur les mets de fêtes, qu'il ne serait finalement pas idiot pour le porte-monnaie de fêter Noël et le premier de l'an en retard. Il suffit de quelques jours pour que ces fêtes soient alors tout à fait abordables (ou presque). Le saumon fumé, les oies à rôtir et les autres volailles étaient bradés. Bien entendu, pas de promotions sur le Champagne, les vins et tout ce qui peut être rangé dans les rayons en attente des fêtes prochaines mais tout de même, je pense que l'idée mérite d'être creusée.
Et puis, sait-on jamais, si l'idée a une bonne audience et qu'elle fonctionne au-delà de toutes mes plus folles espérances, il suffira de repousser les dates festives un peu plus loin chaque année. Ainsi, forcément, on retombera sur nos pattes un jour ou l'autre, avec un Noël après la Toussaint et un premier de l'an avant Pâques !

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