juillet 2008 (13)

jeudi 31 juillet 2008

Fausse pub !

Parce que mon frangin, sur son blog, nous fait voir ses Zippo©, moi, je vous fais voir celui que j'utilise au quotidien.

fausse pub zippo

Voilà, voilà, voilà... C'est tout.

mardi 29 juillet 2008

La Peste, elle fait la planche

Ce matin, j'ai eu une intuition soudaine. Et si je changeais ma méthode de dessiner la Peste ? Je laisse tomber le pinceau et je prends la plume. Allez. On prend une feuille, on fait le crayonné et on encre à la plume. Je vous laisse juge...

La Peste, elle est un peu révisionniste.
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lundi 28 juillet 2008

La Peste, elle choisit sa famille

La Peste, elle est un peu révisionniste.
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vendredi 25 juillet 2008

Salon international d'aquarelles à Saint-Yrieix-la-Perche

Cela faisait des années que j'avais déserté les expositions de peintures. Là, l'occasion d'en aller visiter une m'était donnée par une amie qui participait à un stage organisé en marge du salon. L'occasion de la rencontrer, de visiter l'exposition et de faire une promenade avec le PCR.

Belle exposition que celle visible à Saint-Yrieix-la-Perche, en Haute-Vienne, jusqu'au 14 août. Sur trois salles, dans l'ancienne halle de la vieille ville, il est donné de voir de vraies belles aquarelles.

exposition aquarelles St-Yrieix

Comme souvent avec l'aquarelle, ce sont des paysages, des portraits et des natures mortes. Peu de peintures abstraites. Il y en a cependant. La maîtrise de la technique est souvent présente, il n'y a pas de doute à avoir.

aquarelle

Lelie Abadie

Evelyne Delfour

Jérôme Cossé

Si jamais vous avez l'occasion de passer par ce riant gros village du Limousin, n'hésitez pas à visiter cette exposition. L'entrée est libre et gratuite.

mardi 22 juillet 2008

La Peste, elle invente un truc pas au point

Ce n'est pas si simple que cela d'être inventeur. On peut très bien pressentir qu'un concept a de l'avenir et butter sur un détail. La preuve par l'image.

La Peste voyage dans le futur du présent
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dimanche 20 juillet 2008

Le charme des vide-greniers

Aujourd'hui, je suis allé à Fossemagne, en Dordogne, à 15 bornes de chez moi, pour visiter une exposition de véhicules anciens. Il y avait aussi un vide-grenier.

Les vide-greniers, c'est lassant. La preuve, je n'y ai plus rien acheté depuis des années. Il faut dire aussi que j'en fréquente beaucoup moins qu'à une époque. Vous avez toujours les piles d'assiettes ébréchées (5 euros les 6), les verres à bière (2€ le verre), les revues et livres de poche (bon, là, des fois...), les cassettes VHS (bon courage !), les ustensiles de cuisine et les vieux outils (fort chers, les vieux outils !).
Et aujourd'hui, au détour d'une allée, je tombe sur ça :

Mac II CI

Ce que l'on voit là, sous l'écran, le clavier et la souris, c'est un Macintosh ! Miracle !
Je demande à la personne présente combien elle en demande. 100 euros.

100 euros pour ça ? Je fais la photo, me relève et m'apprête à poursuivre ma déambulation lorsque le vendeur me lance, comme un dernier petit espoir de n'avoir pas à remballer la marchandise :
- Et ça marche, je vous assure !

Moi, un peu goguenard, je fais mine de revenir sur ma décision :
- Vraiment, ça marche ? On peut l'essayer ?
- Bah... Euh... Non. On n'a pas l'électricité, ici.
- Là, le clavier, la souris, l'écran... Tout ça se branche sur l'unité centrale ?
- Oui, oui ! C'est sûr ! Le fiston s'en servait encore il n'y a pas longtemps !
- ...

J'ai donc poursuivi ma route.
Pour la petite histoire (pour ceux qui ne connaissent pas bien les Macintosh), on ne peut pas brancher un clavier et une souris de PC dessus et pour brancher un écran à la norme VGA, il faut un adaptateur, adaptateur absent, bien entendu.

Pour voir les photos des véhicules, c'est par là : Expo de Fossemagne.

vendredi 18 juillet 2008

Par ici la sortie !

Une fois n'est pas coutume, je vais vous causer un peu de moi et de ma vie actuelle à moi que j'ai. Vous z'êtes pas obligés de lire.

En ce moment, à la date du vendredi 18 juillet 2008, je suis en congés. Enfin... Disons que, normalement, je devrais être en congés parce que, finalement, je n'y suis pas. Je vous raconte ça. Le mois dernier, au boulot, on nous a demandé de poser nos congés. Moi, parce que je n'avais pas d'idée précise sur la question, j'ai dit que je prenais mes congés en juillet. Du 1er au 31. C'est bien, c'est carré. Bon. Les dates sont acceptées par la direction et voilà.
Or, il se trouve que le 30 juin tombait un lundi. Bien. Donc, lundi matin, j'arrive au boulot avec la douce impression que cette semaine là allait être courte. Vous pensez bien ! On embauche le lundi et on se repose pendant un mois. Ce devrait être la norme, je dis, moi. Bien. Donc, la journée du lundi s'écoule comme elle peut, tranquillement, et on arrive presque sans rendre compte aux alentours proches de 16 heures. Ah oui, parce qu'il faut que je vous dise. J'embauche à 8 heures et je débauche à 17 heures 30 avec une pause entre midi et 13 heures 30. Mais passons, je poursuis mon histoire...
Donc, vers 16 heures, voilà qu'une collègue débarque alors que j'étais bien occupé à m'emmerder à imprimer des enveloppes sur une presse numérique et me raconte, comme ça, qu'elle aurait vu avec le client pour qui nous sommes en train de monter une collection de cartes humoristiques et que cela n'allait pas du tout. Il voulait 32 cartes doubles et nous ne lui en proposions que 16. Moi, je lui réponds que ce n'est pas mon problème, que j'ai fait les dessins que l'on m'a demandé de faire et que, en tout état de cause, j'étais en congés à partir de 17 heures 30 et ce pour une durée de un mois. Elle me dit alors qu'elle va voir avec Didier. Didier, c'est mon patron.
Elle revient quelques minutes plus tard et m'annonce que Didier allait passer me voir. Ah là, faut que je vous dise... Dans la vie de tous les jours, je ne suis déjà pas très "cool" mais dans le cadre du boulot, c'est horrible ! Tout le monde m'emmerde, je n'aime personne et je le fais bien sentir. Donc, tout de même, mon patron finit par débarquer et il me parle de trucs idiots sans aborder le sujet de ces cartes manquantes. Moi, parce que je suis comme ça, je me garde bien d'en parler aussi. Ce n'est pas moi le demandeur, dans cette affaire et je sais déjà ce que l'on va me demander : ne pas prendre de congés pour pouvoir terminer cette collection.
Mon patron va vaquer à d'autres occupations et ma collègue revient. Elle me demande si j'ai vu Didier, je lui réponds par l'affirmative et lui précise bien que nous n'avons pas parlé du sujet qui la turlupine tant. Elle me dit alors qu'elle retourne tout de go voir Didier. Elle le fait et revient. Il paraît qu'il doit me convoquer dans son bureau incessamment sous peu voire avant. Il ferait bien parce que nous en sommes déjà à 17 heures passées et que moi, je me sens déjà un peu en vacances, là.
Mon patron ne me convoque pas, ma collègue commence un peu à s'affoler et moi, très calme, je dis et répète que je suis en congés dans quelques minutes et que je ne ferai pas la moindre seconde supplémentaire. Au fond, la situation m'amuse beaucoup et je trouve qu'elle en dit long sur les rapports étonnants qu'il existe entre mon employeur et moi-même. Rapports que je ne comprends vraiment pas, il faut bien le dire, mais dont je sais jouer lorsque cela me permet de m'amuser à ses dépens.
17 heures 30. J'éteins les machines et les ordinateurs, je sors, monte dans ma voiture et rentre chez moi. Fin du premier épisode.

dernier dessin en date


Le lendemain, je m'attends un peu à recevoir un coup de fil. Rien. Je suis étonné mais me dis que, après tout, cette histoire de dessins n'est peut-être pas si pressée et que ça peut attendre mon retour de congés. Le jour suivant, une autre collègue m'appelle à ce sujet et me dit qu'elle en a parlé avec mon employeur, que tout est OK et que nous n'avons qu'à faire comme on a dit... Le problème est de deux ordres. Ou alors j'ai de gros problèmes de santé mentale et je ne me souviens pas avoir parlé de tout cela avec Didier ; soit Didier se fout de ma gueule. Je réponds courtoisement à ma collègue que je ne fais rien tant que Didier ne m'a pas appelé en personne et que nous nous soyons mis d'accord effectivement.
Nous sommes jeudi, à présent. Dans la matinée, le téléphone sonne. Je décroche, j'entends la douce voix de mon employeur préféré et puis ça raccroche. Ça ne s'arrange pas. J'attends qu'il rappelle mais il n'en fait rien. Je laisse courir. Et tout de même, dans l'après-midi, je me décide à l'appeler. On se met d'accord sur un truc tout simple : je fais les dessins depuis chez moi et je les transmets à la boîte par Internet. OK. Et pour les congés ? Je les repousse... OK.

Ma collègue m'envoie les scénarios (oui, oui, scenarii, si vous voulez...), et je commence à faire les dessins. Il y en a 34 à faire. Disons que j'arrive, en travaillant calmement, à faire entre deux et quatre dessins par jour. Ça dépend beaucoup de l'inspiration du moment. Donc, je commence les dessins et je les envoie régulièrement. Tout va bien.
Tout va bien sauf que l'autre jour, je profite d'une indiscrétion et j'apprends que l'on parlerait de mon avenir au sein de cette société. Il paraîtrait que mon patron souhaiterait me garder dans les effectifs pour tout ce qui concerne la maintenance informatique et que, bien entendu, on continuerait à faire appel à moi si jamais il y avait des dessins à faire. Diable ! J'aurais bien aimé être mis au courant de quelque chose qui semble un peu me concerner, nom d'une pipe en bois !
Parce que officiellement, je ne suis pas au courant de ceci, je fais un peu comme si de rien était et continue mes dessins. Aujourd'hui, j'en ai déjà fait quatre. Je pense pouvoir en faire encore un ou deux d'ici ce soir... Il m'en reste six à faire et je peux me considérer en vacances. Cool !

Je ne voudrais pas faire une crise de paranoïa, mais il me semble bien que l'on est un peu en train de me pousser à reprendre ma liberté, moi. Attention ! Je ne suis pas contre ! Vu l'intérêt que j'ai à travailler dans une boîte qui n'a plus beaucoup de travail à me proposer, je suis presque prêt à aller voir ailleurs. Seulement, c'est le principe que je n'aime pas des masses. Et puis, faudra tout de même voir sur les modalités... Franchement, moi, on me propose un mi temps, je ne suis pas contre. Ça m'obligera peut-être à me bouger le cul et à chercher à vendre et/ou à faire des dessins pour d'autres et de, enfin, retrouver le goût de travailler pour quelque chose d'intéressant. Même si ça s'accompagne d'une baisse de revenus, je m'en fous. Je ne bosse pas (que) pour l'argent. Je préfère avoir moins de fric et dessiner (pour moi ou pour des clients) plutôt que de me faire chier à imprimer des merdes sur des presses numériques. D'autant plus que ce n'est certainement pas mon boulot...

Voilà. C'est une petite humeur en passant. Sur ce, c'est l'heure de la sieste !

mardi 15 juillet 2008

Soutenons Siné !

J'ai été averti par Rémi Malingrëy, par courrier électronique. Siné, ce monument du dessin humoristique, a été viré de Charlie Hebdo... Ah ! Il est beau l'héritage de 68 !

Je reproduis in extenso le courrier envoyé par Rémi Malingrëy :

SINE : SA VIE, SON OEUVRE.

Le mardi 8 juillet, sur les ondes de RTL, Claude Askolovitch, journaliste du Nouvel Observateur dénonçait « un article antisémite dans un journal qui ne l'est pas ». Claude Askolovitch faisait allusion à une chronique de Siné dans Charlie Hebdo dont nous reproduisons le texte ici :

« Jean Sarkozy, digne fils de son paternel et déjà conseiller général de l'UMP, est sorti presque sous les applaudissements de son procès en correctionnelle pour délit de fuite en scooter. Le Parquet a même demandé sa relaxe ! Il faut dire que le plaignant est arabe ! Ce n'est pas tout : il vient de déclarer vouloir se convertir au judaïsme avant d'épouser sa fiancée, juive, et héritière des fondateurs de Darty. Il fera du chemin dans la vie, ce petit ! »

Menacé d'être traîné devant les tribunaux pour antisémitisme, Philippe Val, directeur de publication de Charlie Hebdo, a enjoint Siné de signer une lettre d'excuses à Jean Sarkozy, écrite par la direction de Charlie. Siné a refusé.
En conséquence, dans le numéro du 16 juillet, Philippe Val demande à Siné de quitter le journal.

Dans l'émission de RTL, Alain-Gérard Slama journaliste au Figaro, a appuyé les accusations de Claude Askolovitch envers Siné en ces termes :  « Comme quoi il y a souvent des liens entre la dénonciation de l’argent, des riches, et puis l’antisémitisme ».

Où est l'antisémitisme dans le texte de Siné ? Il y dénonce seulement, avec le ton fleuri qui est sa marque de fabrique, l'opportunisme du fils du Président de la République.
Philippe Val et la direction de Charlie Hebdo se sont couchés devant Jean Sarkozy. Grand bien leur fasse, leurs lecteurs apprécieront. D'autres, continuent à la radio de faire des procès en antisémitisme comme certains, naguère, en sorcellerie.
Nous connaissons bien Siné : sa grande gueule, sa violence intellectuelle, mais aussi sa générosité, son humour et surtout sa maison ouverte à tous : Juifs, Arabes, Français, Noirs, Auvergnats, Bretons, pédés, communistes, (listes non exhaustive), tous unis pour conchier autour d'un (ou plusieurs) verre une société de plus en plus bien pensante et moraliste. Siné c'est ça. Pas ce que peuvent déblatérer dans les médias Philippe Val, Claude Askolovitch et Alain-Gérard Slama.

C'est pourquoi nous lui apportons notre soutien total et inconditionnel. Siné n'est pas antisémite. Siné n'aime pas les cons. Siné est un anar. Vive Siné !

lundi 14 juillet 2008

Macintosh au rencard !

Faut-il être malade pour entasser autant de Macintosh chez soi ! Je ne sais pas si cela a un nom et si une quelconque pharmacopée peut venir me secourir. Et encore, je me suis calmé, je n'accepte plus n'importe quel ordinateur pourvu qu'il ait une pomme chez moi.

D'abord, il y a le Classic II. Lui, c'est sentimental. C'est mon premier Macintosh. Acheté en 1993 à un étudiant. Premier Macintosh. J'en rêvais depuis longtemps, de ces machines. Ce n'est pas vraiment que je savais ce que j'allais pouvoir en faire, finalement. Juste que j'ai vu une annonce, que le prix m'a semblé honnête et que je l'ai acheté.
Ensuite, il y a les autres. Ceux que j'utilise, déjà. Le G4/400 équipé d'un accélérateur à 800MHz, de deux disques de 500Go, de 1,5Go de RAM (il a eu jusqu'à 2Go mais j'ai revendu une barrette à un copain qui en avait besoin)... Ce G4, c'est l'ordinateur que j'utilise le plus. C'est sur lui que je travaille les images, que je fais quelques travaux de mise en pages, que je consulte mes courriers électroniques et que je bidouille mes photographies. Mine de rien, il date du tout début des années 2000. 2000 ou 2001, pour être exact. C'est vieux, à l'échelle de l'informatique ! Rien que chez Apple, on est passé du PowerPC G4 au PowerPC G5 et au processeur Intel, depuis. N'empêche, il me suffit bien et c'est bien là le plus important.
Il y a aussi le iBook G3, un modèle à 700MHz sur lequel j'écris présentement. Chose marrante, cet iBook et le G4 proviennent de la même source. En quelque sorte, Michel (pas moi, l'autre) est mon fournisseur officiel de Macintosh. Cet iBook est donc un modèle à 700MHz et embarque 320Mo de RAM. Ce n'est pas un foudre de guerre mais il est très bien pour ce que je lui demande de faire. Depuis que je l'ai acheté, j'ai changé le disque dur pour un modèle de plus grande capacité et je lui ai adjoins une carte Airport (le Ouifi de chez Apple).
Enfin, parmi les ordinateurs Apple que j'utilise fréquemment, il y a le G3/233. Lui, je l'ai acheté en 1998. A l'époque, j'avais un 7100/66 et, franchement, il peinait pas mal pour me permettre de faire ce que je lui demandait. J'ai cherché plus puissant et j'ai trouvé ce G3 à Limoges, d'occasion, livré avec un modem. Je crois bien que je l'ai payé dans les 6000 francs de l'époque (ce qui, vu mes finances de l'époque, représentait un investissement colossal !). Il fonctionne toujours, il est fidèle au poste et ne me sers plus que pour piloter mon ancestral scanner SCSI et une antique imprimante laser Apple. Pour m'amuser, je me suis laissé aller à lui installer un Mac OS 10.3 (Panther) alors que ce n'est normalement pas possible. Pour ce faire, il faut passer par un utilitaire tiers et, très honnêtement, ça ne sert pas à grand chose. Donc, je l'utilise sous Mac OS 9.2.1 et tout va bien dans le meilleur des mondes possibles.

Ceux que je n'utilise pas...
En vrac, il y a un Macintosh Plus. Le Macintosh Plus est le premier Mac à embarquer un port SCSI. Il date de 1986, n'a pas de disque dur interne mais peut-être connecté à un disque dur externe que je possède. La dernière fois que je l'ai démarré, il a fonctionné. Je dois avouer que je n'ai pas testé de nouveau depuis pas mal de temps.
Le Macintosh SE 30 est une des machines mythiques créées par Apple. A l'époque, c'était une machine puissante avec laquelle on pouvait même faire de la PAO. Aujourd'hui, je n'essaierais même pas ! N'empêche que bon, hein... Et puis, je me suis amusé à lui adjoindre une carte ethernet RJ45 ce qui fait que je peux me connecter sur le réseau et profiter de l'adsl si je veux.
Ensuite, j'ai deux 8100/80 et deux 7100/80. Ceux-là, je ne m'en suis pas servi depuis très longtemps. Vraiment. On passe.
Après tout ça, que reste-t-il donc en stock ? Ah oui ! Deux Quadra 700 et un Quadra 650. Les Quadra, à l'époque (entre 1992 et 1993), représentaient ce que l'on faisait de mieux et de plus rapide dans le monde de la micro-informatique. C'était aussi très très cher, bien sûr. Je ne m'en sers pas non plus.
N'oublions pas les Macintosh LC. Un LC 475 et un LC. Et puis, il y a le Macintosh II SI et le Macintosh II CI. Je ne les utilise pas non plus. Pas plus, d'ailleurs, que le iMac 266 qui, pourtant, fonctionnent tous très bien. Le iMac, même, pourrait très bien être utilisé pour aller sur Internet ou pour faire de petites tâches... Mais que voulez-vous ? On ne peut pas être devant tous les claviers à la fois ! Je ne suis pas Jean-Michel Jarre, moi !
Il y a aussi le iBook "Palourde" G3/300 qui, lui, fonctionne de manière très aléatoire (il faudra que je l'opère, un jour) et le Duo 230 qui a fonctionné quelque temps et a refusé de démarrer à la dernière tentative. Ah ! Je l'oubliais, celui-là... Il y a aussi un Performa 6400 dans son carton d'origine. Mais lui, il est au garage.
J'en oublie quelques uns, je pense et j'omets le Apple 11c qui, lui, n'est pas un Macintosh. J'omets aussi le Macintosh 128, le tout premier des Macintosh, qui est en pension chez moi mais qui appartient à Thierry, mon petit frère. Aux dernières nouvelles, il fonctionne encore malgré ses 24 ans !

Et aujourd'hui, ça m'a pris... j'ai monté au grenier tous ces Macintosh dont je n'ai pas l'utilité. Allez hop ! Au rencard, les vieilleries ! Du coup, il y a tout de suite plus de place en bas, dans la chambre et dans la pièce principale. J'ai aussi viré le gros serveur Hewlett-Packard mais lui, je ne l'ai pas monté au grenier. Trop lourd ! Je me suis contenté de le cacher.
La prochaine étape logique consisterait sans doute à chercher à me débarrasser de tout cet amas de choses informatiques... Les ordinateurs et les périphériques hors d'âge. On entasse, on entasse et on finit par se rendre compte que ça ne sert pas à grand chose de conserver tout ça.
Seulement voilà, moi, je ne peux pas me résoudre à jeter quelque chose qui fonctionne encore et il est peu probable que ces vieilleries intéressent grand monde. Il n'y a pas de modèle rare (hormis le Macintosh 128 de Thierry) qui puisse justifier un prix de vente excédant deux ou trois dizaines d'euros. Il y a quelques années, encore, j'aurais pu en faire don à une école mais que voudriez-vous qu'ils en fassent, aujourd'hui, de ces machines, les enfants ? Hein ?
Et le vrai problème, au fond, c'est de savoir comment on peut se débarrasser du matériel informatique. C'est plein de saloperies susceptibles de polluer gravement l'environnement, ces machines ! Alors, par pur conscience écologique et environnementale, je me dévoue pour les garder chez moi. Si ce n'est pas de l'abnégation ça !

abandon de Macintosh

jeudi 10 juillet 2008

MacBook Pro, opération changement de disque dur

Aujourd'hui, Michel est venu chez moi pour me proposer un super jeu. Il s'agissait de changer le disque dur de son MacBook Pro. Plein de petites vis à enlever puis à remettre.

On dira ce que l'on voudra, un Mac, c'est bien conçu. Déjà, un MacBook Pro, moi, je dis que c'est une belle machine. Et je ne dis pas cela parce que je suis fier d'en posséder un vu que, justement, de MacBook Pro, j'en ai pas. Faut être riche pour se payer des machines pareilles. Moi, je reste cantonné à des vieux trucs. C'est comme ça, j'avais qu'à mieux travailler à l'école, j'aurais eu un vrai métier avec un salaire décent. :)

Bref donc, pour changer un disque dur, faut ouvrir le ventre de la bête. Finalement, ce n'est pas si compliqué. On commence pas enlever la batterie et quelques vis qui sont là. On enlève la trappe des barrettes mémoire et on retourne la machine.

MacBook Pro
Le MacBook Pro avant que l'on s'attaque à son intégrité physique.

MacBook Pro
Le MacBook Pro et le iBook (qui sert à aller chercher le mode opératoire du changement de disque).

MacBook Pro
On enlève la batterie et la trappe des barrettes mémoire...

MacBook Pro

MacBook Pro

MacBook Pro
On retourne donc le MacBook Pro et on enlève les 10 vis qui sont sur les côtés (4 de chaque côté) et deux au dos.
Ensuite on déclipse le capot avec le clavier. On a eu un petit point dur sur le devant mais il semble qu'il soit préférable de commencer à déposer tout cela par derrière. On fait attention à la nappe du clavier et du trackpad.
MacBook Pro
Là, on arrive aux entrailles de la machine. Le disque dur est en bas à gauche.
Dans un premier temps, il convient de décoller la nappe qui court sur le dessus du disque. Elle est bien collée et il faut y aller avec douceur et fermeté. On décolle cette donc cette nappe et on peut accéder aux deux vis qui maintiennent le disque dans son emplacement.

MacBook Pro
Sur cette photo, on aperçoit un outil qui a été utile pour décoller la nappe dont je parlais : une allumette. Elle aura un autre rôle par la suite mais franchement, je préfère ne pas raconter ce que l'on a fait à ce pauvre MacBook Pro !

MacBook Pro
Là, on a enlevé le disque et sa nappe SATA. Pour la suite, il suffit de tout reprendre dans l'ordre inverse. Fastoche !

MacBook Pro

Enfin, on réinstalle Leopard et on utilise l'assistant Migration intégré au système pour récupérer le dossier utilisateur, toutes ses préférences, tous ses logiciels... Apple, c'est bien.

La Peste, elle trouve une faille spatio-temporelle !

Où l'on apprend que la Peste elle en a un peu marre des temps préhistoriques anciens et que, mettant à profit la présence et la découverte d'une faille spatio-temporelle, quelque part pas loin des Eyzies-de-Tayac, elle décide de faire un petit voyage dans le temps. C'est tout de même un peu fort de café, non ?

La Peste voyage dans le futur du présent
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jeudi 3 juillet 2008

La Peste, elle fait ce que je devrais faire...

La Peste fait le ménage
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mercredi 2 juillet 2008

La Peste invente le camping

C'est une chose que l'on ignore souvent ou, tout du moins, que l'on feint d'ignorer. Le camping, fût-il sauvage, n'est pas apparu ex nihilo et il a bien fallu qu'un jour quelqu'un l'invente.

La Peste invente le camping
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