août 2007 (13)

vendredi 31 août 2007

Il y a de ces tarés, sur notre pauvre terre...

Imaginez-vous que certains collectionnent les ordinateurs Apple©. Il y a bien du malheur.

Le lien sur Jeremy Mehrle, collectionneur.

Y a d'la joie

Parce qu'il y avait un bout de papier qui traînait auprès d'un morceau de crayon à papier, ça a fait ça.

mardi 28 août 2007

iBook 300 foutu ? J'aimerais bien voir ça, moi !

Je ne sais pas vous, mais moi je ne parviens pas à admettre qu'un Macintosh© puisse tomber gravement en panne.

C'est un iBook 300, il date de 1999. Environ. Dans le microcosme des utilisateurs de Macintosh©, on l'appelle "iBook Palourde", rapport à son look de coquillage. C'est une drôle de machine, cette palourde. Je peux me tromper mais il me semble que, mis à part Fisher-Price bien entendu, nul constructeur de matériel informatique a osé sortir une machine avec un look pareil. Dans l'histoire de Apple©, il suit le iMac et préfigure assez bien le tournant que prend Apple à cette époque, marquée par le retour de Steve Jobs aux affaires, de mettre le design clairement en avant. Avec les iMac et les iBook, c'en est fini des machines beiges ou grises, tristes, sans humour. Déjà, le G3 "blanc-bleu", aussi surnommé "glacière" avait bouleversé les habitudes, mais là, c'est le grand public qui est visé.

iBook

Donc, c'est un iBook 300 qui ne fonctionne plus. Il est parti en SAV et il est revenu avec un verdict cruel : carte-mère HS. La machine date un peu, le coût de la réparation est rédhibitoire, le iBook est remisé en attente de jours meilleurs.
Et puis, hier, Michel, mon principal fournisseur de Macintosh actuel, m'apporte cet iBook malade en me disant que, si j'ai le temps, il serait bien de voir s'il n'est vraiment pas récupérable.
Comme la vie est bien faite, il se trouve que Thierry, mon petit frère, passait justement pour me faire admirer sa dernière acquisition, un splendide PowerBook G3 400 "Pismo", un portable Apple© de légende, sans doute l'un des meilleurs portables jamais construits. Et voyez-vous que le Pismo et la Palourde ont en commun de partager la même alimentation externe. Oui, parce qu'il faut vous dire que depuis le temps, la batterie du iBook est plus que vide. Donc, on commence par brancher le iBook sur le secteur. On appuie sur le bouton de démarrage et la machine émet le traditionnel son que font tous les ordinateurs dignes de ce nom (les Macintosh©) au réveil. C'est plus que bon signe et ça me conforte dans l'idée que la carte-mère n'est pas si défunte qu'annoncée.
Pour autant, le iBook ne démarre pas. On entend le disque dur tourner, on sent qu'il se passe quelque chose mais il ne démarre pas. Je vais chercher un CD riche d'un système adéquat, j'ouvre le tiroir du lecteur optique, je glisse la galette là où il faut, je referme le tiroir, je tente un redémarrage depuis le CD... Banco ! La machine accepte ! Joie !
J'en profite pour faire faire une vérification du disque dur par l'utilitaire idoine qui ne trouve aucun problème à corriger. On tente de redémarrer depuis le disque dur, et, après quelques essais, il accepte. Bon. Par contre, le iBook plante au bout de quelques minutes. Ce n'est pas encore gagné.
Aujourd'hui, je vais à la pêche aux informations sur Internet et, tout particulièrement sur le site de Apple© qui a une partie consacrée aux problèmes recensés machine par machine. Je glane quelques informations potentiellement utiles dont une qui préconise de faire un reset de la PMU (Power Management Unit, pas Pari Mutuel Urbain). Bien. Ce soit, en rentrant du travail, je prends le iBook, je lui enlève sa batterie, je cherche le bouton de reset, j'appuie dessus durant cinq secondes en maintenant mon doigt sur le bouton de démarrage, je rebranche l'alimentation externe et je démarre le portable censé être mort. Là, ça fait plus d'une heure et demi qu'il fonctionne très bien, merci pour lui.

samedi 25 août 2007

Macintosh LC

Depuis hier, j'ai deux nouveaux Apple© Macintosh© à la maison. L'un des deux est un LC.

"Je ne suis pas certain qu'il fonctionne..." Le Mac LC (LC pour Low Cost* ) est mis sur le marché en 1990 et est remplacé par le LC2 en 1992. Son nom de code est Pinball, Elsie ou Prism, ça a l'air d'être au choix. C'est un Macintosh destiné au grand public. Equipé d'un processeur Motorola 68020 cadencé à 16 MHz, il est doté de 2Mo de mémoire RAM en configuration de base (extensible à 10Mo) et d'un disque de 40 ou 80 Mo ainsi que d'un lecteur de disquettes 1,44 Mb. A sa sortie, on l'utilise avec le système 6.0.7 mais on peut lui installer un 7.5.5. En 1990, il fallait débourser environ 2 400 dollars américains pour se le payer et je n'ai pas de doc sous la main pour savoir combien il en coûtait en francs de l'époque.

Macintosh LC

Or donc, on ne savait pas si ce LC fonctionnait. Ce n'est pas bien difficile de le savoir. Tout d'abord, j'ouvre la machine pour lui remettre un lecteur de disquettes. J'en profite pour déposer les barrettes mémoires et nettoyer la connectique. La machine est très propre. Je remets le capot, je prends un clavier et une souris que je branche sur le port adb (Apple Desktop Bus), j'attrape un écran 12" Apple, je branche le tout sur le secteur et je fais basculer l'interrupteur. Le disque SCSI tourne, le son de démarrage résonne et rien. Bon. J'éteins et recommence. Toujours rien. J'éteins de nouveau et recommence. Cette fois, le Mac semble perdre la raison. Il se met à démarrer puis à redémarrer tout seul. Bizarre. J'éteins une fois encore, ouvre le capot, sort la pile, nettoie les contact (j'avais oublié de le faire), remonte tout et redémarre. Miracle ! Ça fonctionne !
Il n'y a pas à dire, c'est chouette, un Macintosh !

Merde alors !

Il n'y a pas à dire, au village, sans prétention, je suis bien apprécié.

Hier soir, Michel, un copain, passe me voir les bras chargés de cadeaux somptueux. Il m'apprend que l'on trouve de drôles de choses en bas de l'escalier qui mène à mon humble demeure. Je vais voir et je trouve ceci :

merde

Tout à ma naïveté, je pense d'abord, très sincèrement, à une déjection canine. Et puis, en y regardant mieux, j'avise un petit chiffon emmerdé de papier. Il est rare que les chiens se torchent le cul après avoir chié, non ?
L'humanité est formidable !

vendredi 24 août 2007

Un vendredi au travail

Pardon ? De quoi ? Il n'est pas bien de prendre sur ses heures de travail pour s'amuser à écrire sur son blog privé à soi qu'on a ? Ah ? Tant pis, hein !

Là, j'écoute "Alligator 427" de Hubert-Félix Thiéfaine. Juste avant, c'était une très belle interprétation de "Summertime" par Janis Joplin. On fait pire comme conditions de travail, non ?
Il est 14 heures et 44 minutes. Encore près de deux heures à tirer. J'ai terminé le boulot que l'on m'avait demandé de faire. Et quel boulot ! Imprimer un numéro (pas toujours le même) sur quelque chose comme 40 000 cartes. Je vous explique. Ce sont des cartes T. Les cartes T, vous savez, ces cartes (ou enveloppes) que l'on renvoie sans avoir à payer l'affanchissement. Oui, bon. Alors l'idée, c'est que ces cartes vont être distribuées grâce à différentes revues et que l'on aimerait pouvoir calculer le taux de retour, l'impact de telle revue ou de telle autre par rapport à la clientèle visée, tout ça...
Moi, honnêtement, je m'en fous. On me dit : "tu prends ces cartes et tu imprimes, dans le coin en haut à gauche, un 1 ou un 2 ou encore un 5. Bon. Pour ce faire, j'ai un PC, une imprimante à adresser (un truc qui vous fait du 20 000 impressions à l'heure) et un stock de cartes. Je n'ai rien de mieux à faire, ça ne m'empêche pas d'écouter de la musique et on me laisse tranquille. Je ne fais pas le difficile, je m'exécute. Mais là, ben j'ai terminé. Alors, c'est humain, je vaque à d'autres occupations. Par exemple à celle qui consiste à écrire sur son blog. C'est ce que je fais alors que je suis en train d'écouter Lynyrd Skynyrd.
Songer à écrire sur son blog, ce n'est pas plus sot qu'autre chose. Le souci, c'est qu'il faut encore avoir quelque chose à raconter. Et en ce moment, franchement, il n'y a pas matière. Qu'est-ce que vous voudriez que je vous raconte de ma vie ? Par exemple, je pourrais bien vous expliquer que je prévois d'aller faire des courses en sortant du boulot. Le vendredi, je quitte plus tôt. C'est encore les congés pour certains et je peux espérer qu'il n'y aura pas trop de circulation dans la traversée de Périgueux. Alors, je vais aller faire des courses dans un hypermarché hyper sensass. Je vais acheter des trucs à bouffer et peut-être me laisser tenter par un ou deux trucs parfaitement inutiles. Il est rare que je fasse de vraies listes de courses. Je me limite souvent à ce qu'il ne faut vraiment pas oublier et que j'oublierais volontiers si je ne l'écrivais pas. Aucun risque pour que j'oublie d'acheter du café, par exemple. C'est d'ailleurs l'un des produits que je prends systématiquement, le café. Toujours la même marque, pas toujours le même mélange. Ça dépend un peu des prix, des promos, de l'envie du moment. Je vais acheter des tomates, quelques fruits et légumes, aussi. Je vais me laisser guider par l'envie du moment. Pareil pour la viande. Parfois, je ne prends rien tellement rien ne me dit. C'est dur, la vie.
Après les courses, je vais rentrer chez moi. Je m'arrêterai en cours de route pour acheter le dernier numéro de Fluide Glacial chez le commerçant habituel. Une fois chez moi, je rangerai mes courses puis je ferai la vaisselle en attente. Ensuite, je pense que j'essaierai de bosser un peu sur un petit problème informatique (du domaine du réseau) que je me suis posé et que je ne suis pas encore parvenu à résoudre tout à fait.
Je réfléchirai à ce que je me ferai à manger. Je ne fais qu'un repas par jour et je n'aime pas le sauter, celui-ci. Une fois ma décision prise, je cuisinerai, je mangerai puis je verrai quelle suite je pourrai donner à ma soirée. Je peux soit bouquiner, soit regarder un film. Il se peut aussi qu'un copain passe. Je reste ouvert à toute possibilité décente.
Demain, nous serons samedi. J'ai prévu d'aller à la déchetterie pour vider ce qui a été mis dans le plateau de mon petit camion rouge. Mais demain, c'est loin. Il y a bien encore le temps de voir ce que je ferai.

mercredi 15 août 2007

Les nazis crèvent encore

"Le criminel de guerre nazi Heinz Barth, surnommé "l'assassin d'Oradour-sur-Glane", est mort à 86 ans en Allemagne et restera pour la postérité associé à ce massacre de civils commis par des SS en 1944 en France et érigé en symbole de la barbarie nazie...", apprend-on sur le site du journal "Le Monde". Bon débarras.

oradour-sur-glane

dimanche 12 août 2007

Petit dessin du dimanche

radar moto

samedi 11 août 2007

Barbecue aux USA !

Notre bon président était donc invité par l'estimable George W Bush dans sa maison de campagne. Notre excellentissime président devait s'attendre à manger plein de homards. On lui avait tellement dit que c'était la spécialité locale, aussi...

Il n'empêche qu'il y a dû y avoir une fuite. A mon avis, quelque espion français était sur les lieux et vérifiait d'un air détaché les cabas que ramenait Mme Bush du supermarket local. Lui, il a bien vu qu'il n'y avait pas plus de homard que de beurre en broche. Il a prévenu notre grand président. C'est ce qu'il fallait faire.
Mais, vous savez, lorsque l'on occupe un tel poste haut placé, que l'on est invité par le président des Etats-Unis d'Amérique, que l'on a promis de venir, ce n'est pas simple de prétendre être victime d'une soudaine migraine. Il ne pouvait donc pas faire autrement, M. Sarkozy, que de répondre à l'invitation.
Par contre, Cécilia, elle, elle pouvait très bien s'excuser au motif qu'une foudroyante angine blanche l'avait attaquée par surprise. Elle ne s'en priva pas. Et on l'a comprend !
Parce que alors, si les homards n'étaient pas au menu de la table des Bush, c'est quoi donc que l'on allait manger ? Hein ? Des hot dogs et des hamburgers. Oui. C'est pas la même catégorie de gastronomie, avouez, hein ?

Ayons une pensée émue pour notre président et conspuons son hôte. Pouah !

bush sarkozy

L'odontologie comme à la maison

odontologie

C'est tout pour le moment...

mardi 7 août 2007

Une dent contre les dentistes

Vous avez mal aux dents, vous allez voir votre dentiste. C'est logique.

Depuis un mois que j'ai mal aux dents, je me décide enfin à aller consulter. J'arrive chez la dentiste qui, pour commencer, m'envoie faire un "panoramique dentaire" au cabinet de radiologie le plus proche. J'y vais, on me radiographie les mandibules et je reviens chez la dentiste avec les clichés.
Je lui avais bien dit que j'avais mal mais elle ne peut s'empêcher de me demander, à l'examen des radios, si je souffre. Cette bonne blague ! Comme si j'étais du style à me rendre chez un dentiste lorsque je n'ai pas mal ! Elle m'explique que cette dent ci est cariée, qu'il y a une infection ici et là, que j'ai un kyste sous la dent de sagesse qui est ici et que cette autre dent de sagesse tente désespérément de passer sous cette grosse molaire que l'on voit là. Hum...
Selon elle, la douleur que je ressens provient en grande partie de la carie et de cette dent de sagesse qui veut déloger la molaire. Elle m'annonce que la seule chose qu'elle soit en mesure de faire pour le moment est de me mettre un pansement anesthésiant sur la carie et que, selon elle, il serait intéressant de prendre rendez-vous avec un stomatologue afin de pratiquer à l'extraction des dents de sagesse et de quelques racines. Belle perspective que voilà. Moi qui ne savait pas comment occuper mes congés, me voici servi.
Je ne sais pas vous, mais moi je n'aime pas beaucoup les dentistes et je flippe grave à l'idée de me faire arracher des dents. Même sous anesthésie générale, même par un bon stomatologue, même si l'on me promet que je ne souffrirai pas plus que ce que je souffre actuellement, même si l'on m'assure qu'après ce sera vachement mieux.
Elle m'a donné une adresse d'un stomatologue très compétent et m'a proposé de prendre rendez-vous avec lui. Elle m'a aussi donné un rendez-vous pour le mois de septembre pour traiter la carie. Ceci dit, elle a sans doute raison, hein ! Je ne discute pas ses compétences...

dentiste

dimanche 5 août 2007

Phare et numérique

Lorsque le photographe croise un phare de PCR, ça donne une anamorphose. Et oui !

equilux r2067

samedi 4 août 2007

Les vacances de notre président

Depuis quelques jours, l'affaire fait grand bruit. Notre vénéré président de la République française dépenserait beaucoup trop d'euros pour ses vacances.

Serait-ce là de la pure jalousie ? On peut légitimement se le demander. Déjà, certains esprits chagrins n'avaient pas aimé que notre président parte en croisière peu de temps après son élection à la tête du pays. Maintenant, on s'offusque qu'il prenne quelques jours de congés en famille dans une villa, "luxueuse propriété située au bord du lac Winnipesaukke, dans le New Hampshire aux Etats-Unis", apprend-on sur le site Internet du Monde. On y apprend aussi qu'il en coûterait la bagatelle de 21790 euros par semaine, que cette villa appartiendrait à un ex-président de Microsoft, Mike Appe, et qu'elle disposerait d'une Xbox room (une salle de jeu vidéo, probablement).
Bon. Et où est le problème ? Et bien il semblerait tout simplement que M. et Mme Sarkozy ne pourraient pas avoir les moyens de se payer un tel luxe et que l'on se demande bien qui paie. Heureusement, la réponse n'a pas tardé à venir puisque l'on affirme du côté de l'Elysée que notre président préféré serait invité et que, de la sorte, il n'aurait pas à bourse délier. Ouf ! On a eu peur qu'il ait été obligé de s'endetter. Tout est donc clair.

vacances de M.Sarkozy

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