juillet 2007 (16)

vendredi 27 juillet 2007

Heu-reux !

heureux

Les drogués courent toujours

Et aujourd'hui, ils passent par la Dordogne !

tour de france

jeudi 26 juillet 2007

De passage par Conflans-Sainte-Honorine...

Tous ne le savent pas mais la bonne ville de Conflans-Sainte-Honorine, en plus d'être ma ville natale, peut s'énorgueillir d'avoir eu Michel Rocard comme maire et d'être la capitale de la battellerie. Et qui dit battellerie dit péniches.

Même pas certain que vous sachiez ce que c'est, une péniche, ignorants que vous êtes. Une péniche, c'est comme qui dirait un bateau qui transporte tout un tas de trucs d'un point à un autre par voie fluviale. Ça vous en bouche un coin, hein ? Avouez. J'en sais ici qui avaient tout d'abord à un problème l'élocution. J'ai connu une brave dame qui, alors que je lui parlais des grandes péniches de Conflans me répondait : "Mon mari a un grand péniche lui aussi". Passons.
Or donc, il se trouve que Conflans-Sainte-Honorine est la capitale de la battellerie. Ceci entraîne certaines choses. Parmi elles, on trouve une école pour les enfants de mariniers. Il y a aussi la péniche "Je Sers" qui est amarrée au quai depuis des lustres (je ne l'ai pas souvent vue bouger de son emplacement) et qui est une église ou un truc dans ce genre pour les mariniers. C'est bien moins grandiose que Notre Dame de Paris, mais, au moins, ça ne craint pas les inondations.
Récemment, j'étais à Conflans-Sainte-Honorine et, le dimanche matin, avant de partir déjeuner chez ma grand-mère paternelle en compagnie de mes parents, j'avais rendez-vous avec un bon ami, Jean B., à la terrasse d'un bistro. C'était jour de marché et nous nous étions garés assez loin sur le quai pour être certain de trouver une place.
C'est en repartant que j'ai vu une péniche dont le nom m'a fait sourire. J'ai sorti l'appareil photo et voilà.

péniche

vendredi 20 juillet 2007

Absent pendant quelques jours

Ce matin, je pars pour la capitale. Je serai absent quelques jours. Ne faisez pas les fous et soyez sages.

Pour vous occupez durant cette absence, je vous propose un petit jeu. Découvrez l'utilité de l'objet mystère qui suit :

mécékoidon

mercredi 18 juillet 2007

La drogue, c'est mal !

drogue=caca

Un dessin que j'ai fait il y a déjà quelque temps mais qui continue à me faire rire.

mardi 17 juillet 2007

L'aventure, c'est l'aventure

R2087

lundi 16 juillet 2007

Questions existentielles et autres foutaises

Je ne sais pas vous, mais moi, parfois (mais heureusement pas souvent), je me laisse submerger par des questions auxquelles je ne parviens pas à donner de réponse valable. C'est d'un pénible, ce genre de chose...

Dans la salle à manger, la pendule fait ses tics et ses tacs. Il va bientôt être l'heure de penser à penser de se préparer à manger et vous n'avez aucune idée de ce que vous pouvez avoir au fond de votre réfrigérateur hormis quelques bières, un morceau racorni de saucisson sec et les œuvres complètes de Balzac. Alors, vous vous posez l'une de ces questions qui peuvent vous empoisonner la vie :
Mais que vais-je me faire à manger ce soir ?

Autre cas, vous êtes au volant de votre automobile. Vous parvenez à un carrefour. Faut-il prendre à droite, prendre à gauche, continuer tout droit ou faire demi-tour ? Ne me dites pas que cela ne vous est jamais arrivé !

Mais la vraie question existentielle d'aujourd'hui, celle que nombreux se posent, c'est de savoir si oui ou non Sarkozy est vraiment quelqu'un de bien. Personnellement, je n'ai aucun avis sur la question. Enfin si mais bon, faut savoir être prudent, quoi.

questions à la con

samedi 14 juillet 2007

Dessin du 14 juillet

Parce que j'ai acheté de nouveaux petits outils de dessin, j'ai voulu les tester. Ça a donné un truc sans intérêt aucun.

personnage laid

Et puis c'est tout pour aujourd'hui.

mardi 10 juillet 2007

Nuit blanche

Il y avait longtemps que je n'avais pas passé une nuit blanche. Levé hier matin à 6 heures et des poussières, je n'ai toujours pas dormi ce matin, à 6 heures et 50 minutes. Et là, je me prépare à aller au boulot. Youpi !

Il n'empêche que cette dent de sagesse commence sérieusement à m'agacer. Cela fait quelques jours qu'elle me fait souffrir mais là, c'est le bouquet. La douleur surgit dans les deux minutes (j'ai eu le temps de chronométrer) après que je m'allonge. Debout, c'est une douleur lancinante mais gérable. C'est déjà ça. Il faut positiver.
Ce matin, je vais au boulot. J'espère que la nuit prochaine sera plus reposante. Je me demande aussi, comme ça, en passant, si je ne devrais pas aller consulter un dentiste, quelqu'un qui s'y connaisse un peu plus que moi.
Le paracétamol et l'aspirine ne me sont visiblement plus d'aucun secours. Sinon, bah ça ne va pas trop mal, hein, faut pas se plaindre.
Oui, donc, ce matin, je vais au boulot mais pas à Périgueux. Je vais à côté de la Rochelle pour une séance de maintenance informatique chez un confrère-associé-ami de mon employeur. Cinq cents bornes aller-retour avec une nuit blanche et un mal de dents comme bagage, tout ça pour s'occuper de PC fonctionnant sous Windows XP Professional, moi je vous dis qu'il y a des jours meilleurs, finalement.
Bonne journée à vous !

samedi 7 juillet 2007

Un peu de misanthropie raisonnée

Il n'y a guère que les faux-cul notoires et les saints à oser prétendre aimer tout un chacun au risque de sombrer dans les abîmes abyssales du ridicule. Moi, je suis misanthrope et je le dis sans honte et sans gloire aucune. C'est comme ça.

Etre misanthrope, ce n'est pas bien vu. Si vous voulez être considéré par les gens, mieux vaut jouer le registre d'un abbé Pierre, d'une mère Térésa ou encore d'un Philippe Douste-Blazy que celui d'un misanthrope. C'est un choix. Faut voir.
A la limite, mieux vaut passer pour un cynique que pour un misanthrope. Le cynique, lui, on lui trouve toujours des monceaux de circonstances atténuantes. Il l'est par idéal philosophique ou au nom de l'humour mais toujours il sort auréolé d'une vague aura intellectuelle. On ne peut pas être foncièrement con et cynique. C'est ainsi. Dans le cas du misanthrope, au mieux on cherchera des excuses en invoquant une enfance difficile, des brimades insupportables pour lui qui n'a pas la force de faire front aux petits désagréments de la vie scolaire, professionnelle, amoureuse ou je ne sais quoi encore. Au mieux, on l'excusera, on le prendra presque en pitié et, même, on l'aimera de tout son amour pourvu que l'on soit un bon chrétien.
Ce qui est intéressant dans le cas du misanthrope, c'est qu'il se fout pas mal de ce que l'on pourra penser de lui. Enfin, normalement, hein ! Faut pas non plus trop le faire chier. Etre misanthrope, c'est un boulot à plein temps. Faut bien faire gaffe à ne pas se laisser aller à la compassion pour cette masse de personnes qui vous entoure sans cesse et tente à tout prix de lier la conversation ou d'avoir votre avis sur tel ou tel point particulièrement intéressant du débat politique entre les tenants d'un état fort et ceux qui proposent une vision plus idéaliste de la vie en collectivité. Normalement, le bon misanthrope, justement, se doit de se foutre totalement de la vie politique. Ça ne l'empêche certainement pas d'avoir ses idées et il peut tout aussi bien être de droite que de gauche, d'un extrême à l'autre. Même, il est possible qu'il vote Bayrou, allez savoir. Enfin pas moi, hein ! Misanthrope mais pas forcément con !

Le misanthrope ne se fait pas trop d'idées sur la beauté du genre humain. Il a décidé une fois pour toute que les actes de cruauté des nazis sont tout à fait humains, que l'humanité est capable du meilleur comme du pire... mais surtout du pire, sauf par accident. Le misanthrope ne croit pas des masses aux notions de bien et de mal. A mon avis, il ne doit pas beaucoup croire qu'il a une mission à remplir sur cette Terre et que l'humanité perdra beaucoup à sa disparition. Il ne croit sans doute pas beaucoup en Dieu et, en fait, s'en fout totalement.
Parce qu'il est souvent intéressant pour les gens qui ne le sont pas de se confronter au misanthrope, on a pris pour habitude de donner un sobriquet au misanthrope. On dit de lui que c'est un ours. Un bon gros ours bien grognon mais pas méchant du tout. C'est une connerie ! Le misanthrope n'est pas plus un ours qu'une autruche ou je ne sais quoi encore. On dit aussi que le misanthrope est un timide pétri de sensibilité exacerbée qui ne sait gérer le stress de la rencontre avec ses semblables. Bon. Quitte à entendre des bêtises pareilles, autant se tirer une balle dans la tête tout de suite. Et pourquoi ne pas aller jusqu'à prétendre que le misanthrope est un malade mental, aussi ? Hein ? Ce serait bien pratique, il serait malade et il faudrait chercher à le soigner.

En matière de misanthropie, je suppose qu'il y a plusieurs degrés. Il doit y avoir des extrémistes et des plus modérés. Personnellement, je pense faire partie des modérés. Je ne dédaigne pas passer quelque temps en compagnie de personnes que j'apprécie, il m'est arrivé (et il m'arrivera peut-être encore) de tomber amoureux. Pour autant, je me refuse à aimer le monde entier. Nous sommes plusieurs milliards d'êtres humains sur cette Terre, j'en connais quoi ? Quelques dizaines ? Quelques centaines ? Les autres, je m'en fous. Pire encore, je me fous complètement de la plupart de ceux que je connais de près ou de loin. Ce n'est pas politiquement correct de le dire, mais je me contrefous de savoir que des gens meurent ici ou là. Les gens meurent partout, tout le temps, à un rythme moindre qu'ils naissent, en plus. Il est bien triste de savoir que l'on peut mourir dans des guerres immondes ou à cause de tremblements de terre mais honnêtement je ne vois pas bien ce qu'il y a de moins pire de crever d'un cancer dans un service de soins palliatifs au sein d'un CHU. Faudra qu'on m'explique.

Un peu à la manière que l'on se fait traiter de raciste si l'on dit que l'on n'aime pas un noir (comprendre "un homme de couleur"), le misanthrope se fait parfois traiter de misogyne au motif qu'il peut ne pas aimer telle ou telle femme. Etre misanthrope, c'est ne pas faire de favoritisme en fonction d'un sexe ou d'un autre, d'une couleur de peau ou d'une autre, d'un niveau social ou d'un autre. Etre misanthrope, c'est au fond ne pas supporter la connerie humaine. Je sais bien que l'on est toujours le con de quelqu'un. Et alors ? Le misanthrope supporte tout à fait le fait que l'on puisse ne pas l'aimer. C'est bien la moindre des choses, tout de même.
Le misanthrope ne pense pas détenir la vérité absolue. Il a la sienne, de vérité, et ça lui suffit bien. Que les autres en aient d'autres, vérité, peu lui chaut. Au mieux, ces vérités ne lui plaisent pas et il peut donner libre cours à sa misanthropie, au pire, ces vérités lui plaisent et il doit admettre qu'il peut ne pas haïr tout le monde. Le parti pris du misanthrope est bien qu'il n'y a rien à prendre dans l'autre, sauf exception. C'est, je pense, au fond, un grand, très grand signe de tolérance.

Et maintenant, pour vous prouver que je ne vous hais pas tant que ça, un petit dessin !

misanthropie

Un PCR dans les blés

C'est l'été. Jusqu'ici, nous n'avons eu que peu de raisons de nous en convaincre, mais c'est l'été. Et le PCR est sorti pour poser devant les blés.

camion devant un champ de blé

jeudi 5 juillet 2007

Séance de dessinage

Ce matin, en faisant un peu de rangement, je trouve un dessin que j'avais commencé je ne sais plus quand.

Ce sont des choses qui arrivent. Vous faites un dessin, vous avez une idée en tête, et puis voilà que ça ne marche plus. Alors, vous l'abandonnez et, peut-être, vous finissez par le retrouver quelque temps après. Là, soit vous décidez de l'abandonner de nouveau ou bien vous vous dites qu'il mérite que l'on s'intéresse à lui. Il n'y a pas de règle, je pense.
C'est juste un dessin. Un crayonné. Ni bon ni mauvais. C'est juste ce que j'appelle un dessin creux. Il est possible que j'ai eu une idée de dessin lorsque je l'ai entrepris. Seulement, je l'ai oubliée, cette idée originale. Du coup, je suis face à un crayonné presque abouti qui ne me parle pas. Je vois un personnage quelconque sur sa moto ancienne. Il y a déjà une bulle dessinée mais aucune indication quant à ce que j'avais prévu de lui faire dire. Je ne vois pas ce que je cherchais à illustrer lorsque j'ai commencé ce dessin. Il est possible que je l'ai oublié en cours de route lorsque je l'ai commencé, du reste. Ça expliquerait l'abandon.
Des fois, je commence un dessin avec une idée bien en tête et puis je m'agace. Je n'arrive pas à faire ce que je veux, je butte sur quelque chose, une expression ou une posture. Parfois, je commence un dessin sans la moindre petite idée. Je laisse aller la main et les idées viennent au fur et à mesure. Souvent, je ne fais rien de tout cela. Ce dessin que j'ai repris ce matin, je ne connais pas son histoire. Peu importe, au fond. Ce n'est pas un bon dessin, ça je le sais. Pourtant, il n'est pas assez mauvais pour que je le laisse tomber tout à fait. Ce matin, lorsque je l'ai retrouvé entre des factures et d'autres gribouillis, je n'ai pas hésité longtemps. J'ai pris de l'encre de chine et un pinceau et je me suis mis au travail, comme vous le pouvez voir sur la photo qui suit.

Moi au travail

L'encrage, j'aime bien. C'est un peu stressant parce que j'aime travailler sans filet. J'encre directement le crayonné. Lorsqu'il est propre, le crayonné, c'est facile. Je laisse le pinceau suivre les traits de crayon. Lorsqu'il est plus "sale", il m'arrive de ne plus bien savoir où je dois mener ce pinceau. Je lève la tête, tente de comprendre mon dessin et repars. Je ne sais pas combien de temps je peux passer sur un encrage. Je ne regarde pas l'heure. Et encore, je ne suis pas un très bon encreur (pas plus qu'un très bon dessinateur, du reste). Je suis du genre fainéant. Je fais tout avec un seul et unique outil. Sauf à de très rares exceptions. J'ai abandonné la plume depuis que la dernière que j'avais qui me plaisait beaucoup m'a lâché et que je ne suis pas parvenu à en trouver d'autres semblables. En gros, le principe est simple. Je prends de l'encre de chine, j'en mets un peu dans un récipient, je trempe les poils du pinceau et j'y vais. Point. Lorsque je considère que c'est fini, je vais laver le pinceau. C'est tout.
Une fois le dessin encré, si je suis assez satisfait, je peux aller le scanner. Une fois affiché à l'écran, je fais un nettoyage rapide pour éliminer les traits de crayon qui auraient échappé à la gomme et les poussières. Je n'aime pas beaucoup coloriser mes dessins à l'ordinateur et j'ai vraiment la flemme de sortir les aquarelles pour le faire sur l'original. Et puis là, pour le coup, j'ai bien un peu peur de foutre en l'air le dessin. Les professionnels ont plein de trucs pour protéger le dessin encré avant de passer à la colorisation. Faudra que je me penche là-dessus un de ces quatres.

Enfin bon, bref, voilà le dessin encré.

Dessin encré

lundi 2 juillet 2007

La 2cv fonctionne presque à la perfection

Cela n'aura pas été sans mal, mais ça y est, je considère que la 2cv est tirée d'affaire.

La dernière fois que je vous parlais des palpitantes aventures de la 2cv, il était question d'un souci d'arrivée d'essence et je craignais que la pompe à essence soit bien malade. Depuis, je me suis efforcé de nettoyer toute la canalisation entre le réservoir et la pompe et je me suis payé le luxe, hier soir, d'une virée de plus de vingt kilomètres sur les petites routes alentour.
Il me semble juste qu'il manque un poil d'avance à l'allumage. Je regarderai cela prochainement mais on peut dire d'ores et déjà que la 2cv est fin prête pour quelques virées campagnardes et que le reste n'est plus que du domaine de la formalité.
Content je suis.

Du nouveau dans la blogosphère

Stéphane G., gentil lecteur des Yvelines m'informe qu'il ouvre un nouveau blog.
Il est consultable à l'adresse suivante : http://www.sitifan.com/blog.

dimanche 1 juillet 2007

Dessin privé

Le gentil petit Stéphane G. me demande un dessin. Je m'exécute.

Stéphane G. est un gentil garçon. Il n'y a guère, il me narrait sa mésaventure. Il s'est fait prendre (connement) en excès de vitesse caractérisé à 61 km/h en zone d'agglomération où la vitesse était limitée à 50 km/h. C'est mal.
Dans l'affaire, il perd deux points sur son permis de conduire et 90 euros sur son compte bancaire. Bien fait !

mauvais conducteur

Nous espérons que cela lui servira de leçon.

Combien j'ai de points ?

A partir de demain, on pourra consulter sur l'Internet le nombre de points restants sur son permis de conduire.

permis à points

Ça s'appelle Télépoints et c'est limite du foutage de gueule, me semble-t-il.

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