Pour une fois, soyons honnête

Avant que je puisse écrire quelque chose d'intéressant pour ce blog, il va falloir que je m'acclimate aux températures actuelles. Pour le moment, j'ai la cervelle qui fait de la colle.

Huit degrés au réveil, vers 8 heures, ce matin. C'est peu. J'ai connu pire mais là, j'ai eu du mal à accuser le coup. J'ai fait du café en grelottant et je l'ai bu en claquant des dents. Ce n'est pas confortable. Non, je vous jure, il y a mieux comme situation, en matière de confort douillet.
Je suis en train de finir d'épuiser ma réserve de bois. La réserve de fuel est épuisée depuis la fin de l'hiver et moi, moi je suis un peu épuisé aussi. C'est une sensation d'épuisement général, c'est bien ça.
Pour vous, je ne saurais pas dire vu que je ne suis pas dans votre tête. Pour moi, ça a un impact certain sur mon moral, des situations pareilles. Déjà que je n'ai pas le moral au beau fixe pour tout un tas de question, ces temps-ci, il ne manquait plus que la météo entre dans le jeu. C'est vraiment pas de chance, avouez !
Ce soir, je me suis fait à manger quelque chose plein de calories, un truc de montagnard ou presque. Des pommes de terre, des oignons et puis des œufs parce que je n'ai rien d'autre. Faudra que je pense à aller faire des courses, moi. Maintenant, ce soir, là, bientôt, après l'émission que j'écoute sur France Inter, j'irai bouquiner dans mon lit, sous la couette.

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