En direct du vide

Ce soir, j'ai travaillé jusqu'à assez tard sur Périgueux et je suis donc rentré encore plus tard à Azerat. Je me suis fait un truc à bouffer assez ignoble mais rapide et là, je n'ai pas la moindre once d'idée de ce que je vais donner à manger au blog qui nuit (très) grave !

Je n'ai vraiment pas eu le temps et le loisir d'y réfléchir. Je pensais revenir au moins une heure plus tôt et avoir le temps de faire quelque chose. Ça n'a pas été comme je le pensais.
Je n'ai pas trop envie de vous raconter ma journée parce qu'elle n'a rien eu de bien intéressant. Encore, cet après-midi, j'ai au moins eu le sentiment de faire quelque chose de relativement utile et d'être de quelque secours. Mais ce matin, ma foi, on peut aller jusqu'à dire que j'ai perdu mon temps.
Je ne vais pas plus vous dire ce que j'ai mangé ce soir. Ça pourrait, à la simple évocation de la chose, vous faire vomir un peu. Ce ne serait pas gentil de ma part. Je vous le dirai peut-être une autre fois, à une heure où la digestion est passée et où il y a moins de risque.
Et quoi alors ? Vous dire ce que je vais faire maintenant ? Ça va vous ennuyer. Je vous entends déjà bailler. Vous raconter comment je me suis réveillé ce matin avec le nez bouché ? Ce n'est guère plus intéressant.
Demain, je pars quelque part vers midi. J'essaie de vous faire quelque chose avant de prendre la route. Il n'est pas sûr qu'il y aura un billet vendredi et samedi, par contre. J'aviserai mais il faut vous préparer à devoir faire disette.

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