Aujourd'hui, c'est le jour de l'armistice de 1918. Il n'y a plus d'anciens combattants, ils sont tous morts. La Grande Guerre est bien terminée. Notre président de la République parle de faire de ce jour le jour de celles et ceux qui sont morts pour la France. Je ne sais pas s'il convient de continuer à commémorer cette date. Je ne pense pas que cette mémoire entretenue puisse permettre d'éviter de nouvelles guerres. Alors ? Que faire ? Je ne sais pas.
Le Blog qui nuit (très) grave !
Michel Loiseau, dessinateur, photographe et graphiste dilettante de Dordogne
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1 De clafy - 11/11/2011, 15:27
Article et dessin émouvants et pertinents.
Képi bas, Hell-Miche.
2 De shanti - 11/11/2011, 17:02
Beau graphisme et triste vérité !
3 De Sax/Cat - 11/11/2011, 17:40
Et si on en faisait une autre ?
4 De michel - 11/11/2011, 17:50
@Sax/Cat : Pas d'impatience ! Chaque chose arrive en son temps. Elle se prépare.
5 De dom's - 11/11/2011, 18:39
Une excellent occasion de réécouter "Armistice 1918" du pianiste Bill Carrothers. Très beau disque.
6 De dom's - 11/11/2011, 18:46
Un petit extrait : http://www.youtube.com/watch?v=2ndL...
7 De Lib - 11/11/2011, 19:23
" C' était l' oncle Martin , c' était l' oncle Gaston , l' un aimait les tomies , l'autre aimait les teutons , chacun pour ses amis, tous les deux ils sont morts , moi qui n' aimait personne , et bien je vis z'encor' .."
Vous qui n'aimez personne Michel , vous n'aurez rien à craindre pour la prochaine ! ;o)
8 De Lib - 11/11/2011, 19:24
Mince ! "tommies" prend deux "aime" !
9 De michel - 11/11/2011, 20:06
Ben moi, mon arrière grand-père maternel, il a fait la première guerre mondiale du côté boche.
10 De Lib - 11/11/2011, 20:47
Il a donc du se faire botter le cul par mon grand-père maternel , qui lui a fait toute la guerre en première ligne et en est revenu par miracle avec seulement trois blessures ..
11 De nono - 12/11/2011, 15:08
Certes, il n’y a plus de survivants, mais la terre des zones de combats rend encore des corps après toutes ces années, et la zone rouge bien que réduite, existe toujours.