Le Blog qui nuit (très) grave !

Je ne suis pas motard. J'ai deux bonnes excuses à cela, je n'ai ni moto ni permis. Ceci ne m'empêche pas de bien aimer le concept de la moto. Je trouve que c'est là un moyen de transport amusant, peu stable, certes, mais amusant.
Pour la première édition de cette fête de la moto, au parc des expositions de Marsac-sur-l'Isle, à côté de Périgueux, il y avait un bon nombre d'exposants qui avaient fait le déplacement de parfois assez loin pour présenter soit des motos, soit des accessoires, soit d'autres choses en rapport avec la moto comme des BD ou des aquarelles.
On pouvait trouver des Royal Enfield ou d'étonnantes petites 125 Leonart.





Un peu plus loin, on trouvait des italiennes. Ducati, Moto Guzzi, Benelli.



Si l'on poursuivait la promenade dans les allées, on ne pouvait manquer la présence des Harley Davidson.



Et presque en face de ces américaines chromées, on trouvait un attelage Ural. Signe patent de la fin de la si regrettable guerre froide qui aura pourri les relations entre ces deux super puissances que sont les USA et l'URSS durant des décennies, non ?



Les allemandes n'étaient pas absentes avec le stand BMW. Un peu plus loin, on trouvait des KTM (oui, je sais, ce n'est pas allemand).



On trouvait aussi d'obscures marques d'extrême orient. Des Kawasaki ou Honda mais aussi des Yamaha représentées par la concession de Boulazac, Liberty Yam. Je ne sais pas s'il y avait des Suzuki et je crois que je m'en fous un peu. Je n'aime pas beaucoup les motos japonaises, au fond.



J'oublie tout un tas de trucs. Mon idée n'était pas de faire un reportage mais d'aller me promener et de retrouver un copain que je n'avais pas vu depuis pas mal de temps. J'avais amené mon appareil photo dans l'espoir qu'il y aurait eu de vieilles motos comme je les aime. Il y en avait quelques une à l'entrée, toutes italiennes, dont une belle Gilera.