Photos de mariage

Aujourd'hui, j'ai un peu avancé sur des dessins que j'ai à faire. J'ai aussi un peu perdu du temps sur un site Internet. Et puis, j'ai été plus ou moins engagé pour faire des photos de mariage.

Qu'est-ce donc que je vais vous raconter, moi, ce soir ? Je reviens juste d'une visite à de futurs mariés qui me demandent de leur faire leur photos de mariage, le mois prochain. Je leur ai bien foutu la trouille. A un point tel que je les sens un peu moins enclins à m'accorder leur confiance. J'ai encore joué. Je ne peux pas m'en empêcher, c'est maladif, je pense.
Toujours est-il que si je ne reçois pas un coup de téléphone d'ici là pour m'informer qu'ils ont trouvé un autre photographe pour couvrir l'événement, je serai de mariage vers le milieu du mois de septembre. Il me faudra un peu assurer. Je vais devoir penser à recharger la batterie de mon appareil, par exemple. Ça fait toujours désordre de demander au maire du patelin de surseoir à son acte pour cause de batterie déchargée.
Je connaissais un photographe, à Brive, dans le temps qui avouait être malade à chaque fois qu'il allait "faire un mariage". Il faut bien reconnaître que le numérique a des bons côtés, à ce niveau. On peut sur l'instant se rendre compte de ce que l'on vient de faire. Honnêtement, il y a assez peu de chance pour qu'une carte mémoire s'auto-détruise et le risque de l'égarer est quasi nulle. En théorie, une photo prise en numérique assez peu sensible aux aléas que l'on pouvait craindre avec l'argentique. On contôle en temps réel l'exposition, le rendu approximatif, le post-traitement et même le tirage si l'on veut le faire soi même.
Là, signe des temps modernes, on me dit que l'on ne veut pas spécialement de tirages papier et que l'on pourrait bien mettre les photos en ligne avec un système pour que les invités puissent télécharger et tirer eux-même les photos qui les intéressent. On verra bien comment mettre ça en place en temps voulu.

Et puis c'est tout pour ce soir. Bonne nuit.

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